Yvar Brégeant nous invite au déchiffrage des signes laissés par les hommes préhistoriques dans les cavernes.
Et si, sur le socle étymologique des langues archaïques, le monde de la Préhistoire et de l’Histoire ne faisaient qu’un ?
Pendant 30 000 ans, les hommes préhistoriques ont orné les cavernes de signes souvent associés à des représentations animales. Personne n’est jamais parvenu à en percer le mystère.
C’est au déchiffrage de ces signes qu’Yvar Brégeant nous invite.
Ancien missionnaire chrétien dans le monde arabe égyptien (copte et musulman), Yvar Brégeant a développé une expertise en langues archaïques, symboles, mythes, cultes et religions.
Je subodorais déjà que la plupart des croyances, y compris archaïques, sont nées des mêmes mythes qui visaient à mieux appréhender la mort, expliquer les phénomènes naturels qui ont longtemps échappé à l’entendement, calmer la colère du ou des dieux censés les provoquer, créer une hiérarchie, instrumenter le pouvoir, éveiller la conscience du bien et du mal… Ce qui revient à dire que, de nos jours, les religions trouvent leur origine dans ce mythe initial du Dieu juge et créateur.
Vous m’en avez convaincue en vous attachant au sens symbolique plutôt que littéral de langues idéographiques à significations multiples, en mettant le doigt sur leurs similarités d’un site à un autre, d’une civilisation à une autre, en minimisant l’impact des coïncidences par l’improbabilité de leur nombre.
En réduisant les marges d’interprétations, la démonstration par les similitudes symboliques devient rationnelle, de même que la démonstration des similitudes relevées dans la Bible et le Coran renforce la notion de témoignage historique au-delà d’un style allégorique sujet à exégèse.
C’est pour ces échanges avec vous qu’il l’a publié sur monBestSeller.