Auteur
Le 25 mai 2019

Stratégie d'auteur pour trouver ses lecteurs et avoir des commentaires

Muriel E. a, par tâtonnements progressifs, intégré tous les enjeux de l'auto-édition et de l'auto-publication. Elle a compris que la générosité et l'intérêt portés aux autres étaient le moteur de sa propre promotion. En quelques mots, son expérience sur monBestSeller.
Trouver ses bêta lecteurs sur monBestSeller.comTrouvez vos bêta lecteurs sur monBestSeller !

Muriel E., auteur du roman d'aventure Blanche voulait un regard sur son travail. Sa stratégie : publication sur monBestSeller, Pack audience pour compenser son manque de réseau, lecture et commentaires de nombreux ouvrages sur le site... Résultat : elle cumule à son tour les commentaires de lecteurs anonymes sur son roman et parvient ainsi grâce à eux à améliorer son récit. Elle est également repérée par le mCL, le Club des Lecteurs de monBestSeller, et sélectionnée Livre le +, le conseil de lecture hebdomadaire. Aujourd'hui, elle a pris, dit-elle, un peu plus confiance en elle et s'apprête à tenter sa chance auprès des éditeurs...

 

Chers membres de l’équipe monBestSeller,

J’écrivais depuis longtemps, dans mon coin, sans autre regard que le mien sur mon travail. Consciente des exigences du monde de l’édition, je n’ai jamais franchi le pas, celui d’envoyer un manuscrit au risque de le voir revenir accompagné d’une lettre de refus et sans même avoir été ouvert (ce qui est souvent le cas dans la plupart des maisons d’édition…).

Un avis objectif sur mes écrits

Et puis, un jour, au hasard d’une ballade sur le web, je suis tombée sur le site monBestSeller.
J’y ai trouvé un compromis intéressant. Ne disposant de personne dans mon entourage pour me donner un avis objectif sur mon travail, j’ai décidé de prendre le risque d’y déposer mon roman Blanche. Certes, demeurait le choix de ne publier qu’un extrait et de le mettre en vente, option que certains auteurs du site ont prise et qui semble bien fonctionner. Mais j’avais besoin d’avoir un retour sur le livre entier pour évaluer sa pertinence. J’ai donc décidé de le publier entier, tant pis pour les ventes qui n’étaient pas, dans mon cas, le but premier de la manœuvre !
Toutefois, je n’ai pas de réseau (Facebook, Tweeter…) donc il n’était pas évident d’apporter à mon roman assez de visibilité pour qu’il soit lu, parmi les 1 500 autres.
C’est là que ce site m’a apporté une solution. Opter pour un Pack audience et surtout lire pour être lue.

Le secret : lire et commenter le livre des autres.

Ainsi, tout en découvrant des auteurs formidables au talent prometteur, je suis partie en quête de lecteurs. Lorsque l’on écrit, lire est essentiel car c’est une source d’inspiration, un vivier de vocabulaire, de tournures de phrases, d’angles de vue différents.
Alors j’ai lu et commenté beaucoup de nouvelles, de poésies, de témoignages, de romans de tous genres et j’ai adoré ça. L’échange avec les autres auteurs apporte énormément, car leurs observations sur mon travail m’ont permis de m’améliorer, de progresser et d’avoir enfin le regard objectif que je recherchais.
J’espère humblement, leur avoir également apporté par mes commentaires.

Argumenter un minimum un livre... indispensable, surtout quand la critique est négative.

Je me suis appliquée à rester diplomate, mais honnête dans mes commentaires car l’auteur n’a pas besoin d’être simplement flatté sur son travail.
Un simple « Bravo, c’est super. » fait plaisir mais n’apporte pas vraiment, même si pour certains ouvrages, cela s’impose. Toutefois, un minimum d’argumentation permet à l’auteur de savoir ce que l’on a aimé ou moins aimé dans ce qu’il propose.
Ce que l’on a aimé rassure, ce que l’on a moins aimé doit être exprimé avec précaution car l’auteur est une entité fragile. Partager ainsi son travail est un peu une mise à nue, le don d’une part de soi et il ne faut pas l’oublier lorsqu’on note ou commente un ouvrage.
Il ne me semble ni correct, ni productif, d'émettre une critique négative non argumentée. On a le droit de ne pas aimer un texte, que ce soit pour le style, l'histoire ou la forme. Mais l'exprimer avec tact permettra à l'auteur de le comprendre, un conseil pourra peut-être l'aider à améliorer ce qu'il propose. Un avis reste un avis. Sur un tel lieu de partage et d'échange, un commentaire devrait rester bienveillant.

Accepter la critique, la base de toute remise en question, de toute possibilité de progression.

Cependant, l'auteur doit aussi savoir accepter la critique. Aucun ouvrage ne saurait faire l'unanimité et lorsque la critique est étoffée d'explications, d'arguments, il faut savoir les entendre, même si ce n'est pas toujours évident. C'est ce qui nous permet de nous remettre en question, qui ouvre le champ des possibilités, donne parfois de nouvelles idées, parce qu'un auteur ne peut avoir le recul nécessaire sur son propre travail. Répondre de manière agressive à un commentaire qui ne nous donnerait pas satisfaction n'a aucun sens sur un lieu de partage. Soumettre son travail au regard des lecteurs et auteurs du site, revient à accepter la critique. Dans quel but le ferait-on ?
Le commentaire argumenté d'un lecteur, qu'il soit positif ou négatif, apporte bien plus qu'une lettre de refus formelle et impersonnelle de la part d'une maison d'édition...

C'est en gardant tout cela en tête que j'ai attendu les avis des lecteurs et auteurs du site.
Si certains lecteurs viennent spontanément, il faut aller chercher les autres, parce qu’il y a énormément d’ouvrages sur le site. Il faut donc le faire vivre pour permettre que certains, comme Double Voie, un magnifique roman, puisse émerger, être proposé au plus grand nombre et avoir la reconnaissance qu’il mérite.
Les premiers commentaires que j’ai reçus m’ont permis de remédier à certaines longueurs que des lecteurs comme Jean-Claude Marie Lavalette ou Mary Cousin ont soulignées avec beaucoup de tact. Grâce à eux et à ceux qui par la suite ont bien voulu me lire (pour un auteur, prendre le temps de lire un roman complet n’est pas forcément évident) j’ai pu bénéficier d’une jolie mise en avant de mon travail et pour cela, je tiens à les remercier, comme je remercie monBestSeller d’exister.

Prendre confiance pour me lancer dans la bataille de l'édition

Mon roman Blanche a été lu et commenté bien plus que je n'avais osé l’espérer. Je prends et prendrai toujours le temps de lire les commentaires et d'en remercier les auteurs. J'apprécie sincèrement la franchise dont beaucoup ont fait preuve et suis toujours aussi heureuse de recevoir de nouveaux avis.
Après plusieurs mois de présence sur monBestSeller, c’est un peu plus confiante que j’envisage d’imprimer quelques exemplaires pour tenter ma chance auprès des éditeurs. Toutefois, comme beaucoup d’auteurs, je reste dans le doute et dans la quête d’une perfection, certes inaccessible, mais dont on tente désespérément de s’approcher.

Avec toute ma reconnaissance,

Muriel E.

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14 CommentairesAjouter un commentaire

@Muriel E.
Bravo Muriel, vous décrivez parfaitement le cheminement de pensée d'un auteur débutant.
Il me parait intéressant de compléter vos interrogations, en s'attardant un moment sur le monde de l'édition qu'il va devoir affronter, si son souhait est d'être publié .
Il faut savoir qu'il est produit chaque année environ 80000 ouvrages de toutes sortes. Les maisons d'éditions reçoivent environ 8000 manuscrits, dont peu seront lus comme vous le soulignez et très peu seront élus, moins de 10 seront retenus.
De plus la réalité économique du secteur n'est guère brillante. Sur le nombre d'auteurs assujettis à "l'Aguessa", seulement à peine 2500 ont déclarés un revenu supérieur à 700 euros/mois.
Dans une précédente newsletter produite sur le site "monBestSeller", une pertinente question était abordée, qui était "La figure des écrivains pâtit-elle des opportunistes"?
Permettez-moi de rappeler ce que fut alors le commentaire que je fis, qui je crois, complète utilement ce que vous écrivez.

Qui sont ces opportunistes cachés, qui ont initié cette littérature qualifiée très justement "d'industrielle" ?
Y-a-t-il des usines à fabriquer des textes ou seraient employés des "collaborateurs", pratique qualifiée précédemment de "métissage", sans rappeler un autre terme aujourd'hui politiquement incorrect, dont le but serait seulement de la communication plus publicitaire que littéraire ?
L'objectif premier est-il de vendre du papier à des fins alimentaires, soutenu par une promotion bien orchestrée, des distributeurs aux ordres, des moyens médiatiques bien rodés, des animateurs vedettes, qui en assure la promotion aux heures de grande écoute ?
Leurs invités, la plupart connus, du monde de la politique, du show-biz, ou des médias, toutes des signatures connues, chaque fois accompagnés d'un livre à promouvoir, sont-ils téléguidés ?
Pour les autres, inconnus il est vrai "ils sont bien les seuls avocats de leurs écrits" ! Les maisons d'éditions avant les lecteurs, sont leurs juges.
Voilà bien les questions à se poser, afin de bien saisir le réel, l'auteur est-il finalement qu'un faire valoir de cet ensemble bien encadré, au gré des exigences des commanditaires ?
Chez mon "BestSeller.com", et vous avez bien raison de le souligner, ce sont les lecteurs qui constituent le comité de lecture avec une certitude, le manuscrit sera lu et jugé sans concession ni obligation d'une édition papier, qui n'est que la dernière étape à franchir, si l'auteur souhaite s'insérer dans le système établi, sans support autre que son imagination ou ses idées rapportées.
Jean Claude ROBIN

Publié le 22 Novembre 2016

Très bel article dans lequel je me retrouve aussi. Je n'ai écrit qu'un seul roman et je ressentais pas mal d'appréhension à le mettre en ligne au vu de tout le monde. Mais grand bien m'en a pris (je remercie d'ailleurs @Marguerite Rothe pour son premier avis qui a lancé la machine). En tous les cas, vous avez raison de préciser que lire et être lu vont de pair, car sans tomber dans l'échange de bons procédés un peu lèche-cul, c'est nécessaire pour faire vivre les livres et mettre en avant des textes qui le méritent. D'ailleurs, je vais aller lire votre texte :)
Romain

Publié le 21 Novembre 2016

@Marguerite Rothe
Bonjour Marguerite,
Je suis heureuse que mon expérience vous ai donné matière à nous offrir cette longue réflexion. Il est en effet parfois préférable de s'abstenir lorsqu'un ouvrage vous agresse de par ses nombreuses fautes ou que vous n'y adhérez pas. En ce qui concerne les correcteurs professionnels, il n'est pas évident pour tout le monde d'avoir accès à leurs services pour des raisons pratiques ou financières. C'est loin d'être à la portée de tous, mais les lecteurs permettent d'avoir une bonne impression du potentiel et de la pertinence d'une histoire et c'est ce que moi, je recherchais.
Je vous remercie pour votre intervention, et vous souhaite une belle journée,
Bien à vous,
Muriel

Publié le 30 Mai 2016

Très bons conseils, rendez vous donc pour lire LES MARCHANDS DE LA MORT sur monBestseller.com

Publié le 28 Mai 2016

Y a-t-il a une différence, entre un livre qu’on aime et un livre qui nous plaît ? Oui. La première proposition n’implique aucune réserve. Le commentaire est facile. Seconde proposition : l’histoire me plaît, mais j’y ai vu quelques défauts. Rien de méchant, mais ça serait bien d’en parler. C’est là, que ça se corse. Dire, sans en avoir l’air, et surtout, rester bienveillante, respectueuse. L'auteur a besoin d'être encouragé, pas fusillé. L’exercice est casse-gueule. C’est peut-être une des raisons qui fait que peu d’auteurs commentent d’autres auteurs. Pour les livres qui ne me "parlent pas", ceux que je ne comprends pas, je ne vois pas pourquoi j’irai le signifier à l’auteur. Ça serait sans intérêt pour lui comme pour moi. Tous les goûts sont dans la nature, et c’est pourquoi il y a tant d’auteurs et tant d’histoires différents. Et puis il y a tous les autres, tous les livres que je commence et referme aussitôt. Trop de fautes, ou alors, c’est une tonne d’adverbes en l’espace de deux paragraphes qui me saute à la figure. Comment le faire remarquer à l’auteur, alors qu’une multitude de commentaires extasiés démontrent que les lecteurs semblent n’avoir rien vu ? Ce serait une gifle pour l’auteur, plus une autre pour chaque lecteur qui a commenté. C’est impossible, à moins d’avoir envie de se suicider en direct.

Bien sûr que les auteurs attendent que leurs livres soient commentés, moi la première pour commencer ! Mais il faut accepter aussi que nos livres ne le soient pas. Il y a une multitude de raisons à cela. A chacun de se poser les bonnes questions et de trouver ses propres réponses. Et surtout, toujours garder à l’esprit que s’exposer, c’est affronter le réel, et ça, c’est presque toujours douloureux.

@Muriel E. (merci pour cet article, qui provoque une belle réflexion !) Muriel E. nous dit que c’est grâce aux commentaires qu’elle a reçus qui l’ont aidée, et je la crois. Mais je pense sa quête incomplète. Je suis certaine qu’à notre volonté de progresser, il faut s’adjoindre un maître, un professeur. Travailler avec un correcteur professionnel est idéal et un bon compromis (si on déniche l’oiseau rare, bien sûr !) La personne à qui je donne mes textes à corriger va, sans états d’âme, me mettre le nez sur mes bêtises, mes défauts, mes lacunes, et m’obliger à revoir ma copie. C’est elle qui, en plus de mes lecteurs, me fait véritablement progresser.

Pour finir, c’est vrai qu’il est frustrant de n’avoir aucun retour sur un livre qu’on a pris le temps de lire, puis de commenter – surtout s’il fait deux, trois cents pages, voire plus. Et alors ? C’est pareil, dans la vraie vie ! mBs n’est pas le pays des Bisounours. Parmi les gentils, les fragiles, les rêveurs, les délicats, les attentionnés, etc., on peut aussi y croiser des égoïstes, des mal élevés, des roublards, des égos boursoufflés, etc. ; à ces mots, je sens maintenant poindre une légère tension, ainsi qu’une petite surchauffe du mental. Détendez-vous, respirez… Là, voilà, tout va bien…Qui que vous soyez, pensez qu'il y aura toujours quelqu’un, quelque part, qui vous aimera. Désolée, je voulais faire court, mais je n'ai pas pu. Bien amicalement à vous tous, Marguerite.

Publié le 28 Mai 2016

@Yannick A. R. FRADIN
Bonjour, merci pour votre réaction à ce petit texte. La nature humaine est parfois surprenante et pas toujours dans le bon sens. En effet, j'ai eu l'occasion de croiser des commentaires douteux émis sans aucune bienveillance et dans le seul but de nuire. Heureusement, comme le soulignait Michèle, ils sont rares et ne méritent pas qu'on leur porte attention. Les vrais lecteurs qui prennent le temps d'argumenter sur un ouvrage sont les véritables trésors de ce site.
Bien cordialement,
Muriel E.

Publié le 28 Mai 2016

@dany b
Bonjour Dany, vous êtes un soutien formidable pour l'auteur dans le doute que je suis. Votre commentaire et vos encouragements sont précieux. Je vous en remercie sincèrement. N'ayez pas peur des retours car ce sont autant de marques d'intérêt, de personnes qui ont pris le temps de lire votre travail. Certains vous aideront, d'autres moins, mais être lue c est exister en tant qu'auteur. Avec toute mon amitié,
Muriel E.

Publié le 28 Mai 2016

@Muriel E. Bonsoir et merci pour cet article. Je ne peux que vous suivre dans votre raisonnement et vos commentaires. Lire, commenter, argumenter, le tout avec bienveillance mais honnêteté ; accepter de recevoir également. Donner et recevoir, c'est tout simplement cela un échange. Se grandir mutuellement en se soutenant, on a tous à y gagner. Je ne comprends pas non plus quel intérêt certaines personnes peuvent trouver à émettre des messages blessants, voire parfois nauséabonds. Bref, si le tact est un élément peut-être difficile à maîtriser et surtout à doser (car nous n'avons pas tous la même capacité de remise en question et de recul), c'est bel et bien l'intention qui importe. Si l'intention est bienveillante, alors l'auteur saura le sentir. Et si jamais les mots s'avèrent être maladroits, un simple échange et l'affaire sera réglée en quelques commentaires. On construit mieux ensemble que chacun dans son coin, c'est indéniable. Et ensuite, il faut assimiler et appliquer toutes les techniques et points de vue récoltés pour améliorer l'ouvrage. En cela, mBS est indéniablement un site formidable. Bonnes lectures et écriture à tous :-)

Publié le 27 Mai 2016

Bel article. Les retours font peur, mais sont très importants pour se corriger. J'espère que tous les commentaires que vous avez reçu Muriel vous aideront à porter votre projet. Moi, je crois en votre histoire. Bien à vous.

Publié le 27 Mai 2016

@Charles L.
Non, vous n'êtes pas seul ! A l'image de @Michel CANAL et de @Lamish, quelques-uns prennent le temps d'échanger, de partager et c'est un véritable cadeau que nous fait mBS de nous le permettre. Prenez le temps, ça en vaut la peine :)
Bonne soirée,
Muriel

Publié le 26 Mai 2016

@Lamish
Quel plaisir de vous retrouver, Michèle. J'avais vraiment apprécié votre "Ultime Procès" tout comme le commentaire dont vous m'aviez gratifiée suite à la lecture de mon roman. Vous faites partie des quelques "bons joueurs" qui prennent le temps de lire le travail des autres auteurs du site et de commenter. Un autre de mes privilèges... comme Michel qui en effet, joue le jeu également. Merci d'être venue ici me donner votre avis sur ce petit texte. Bien à vous et avec toute mon amitié,
Muriel

Publié le 26 Mai 2016

@Muriel
Comme le dit si bien Michel, il y a Librinova et pour avancer, je suis passé par là et depuis je vole !
Merci Muriel de votre petit commentaire, je crois que je vais en prendre de la graine et m'y mettre un peu. J'avais l'impression jusqu'ici d'être un peu seul, pour ne pas dire isolé mais voilà que l'espoir renaît ! Courage donc et continuons à partager !

Publié le 26 Mai 2016

@Michel CANAL
Je vous remercie pour ce gentil message. En effet, je n'ai pas abordé le thème des "silencieux" pourtant, en effet, il m'est arrivé de laisser des commentaires et de ne pas en être remerciée, mais si nous devions nous attendre à l'être pour tout ce que nous faisons, mon cher Michel, nous irions de déception en déception... Pour ma part, je prends comme un privilège le fait de l'être (voir le verre à moitié plein plutôt qu'à moitié vide !) et vous avez fait partie de ces privilèges. Je vous en remercie encore et également pour vos précieux conseils.
Très bonne soirée, Amicalement,
Muriel E.

Publié le 25 Mai 2016

@Muriel E. Bonjour Muriel, bravo pour cet article auquel j'adhère à 100%.
Nous avons eu des échanges constructifs, bien qu'auteurs dans des genres différents... ce qui fait la richesse de mBS.
Il manque cependant un aspect que vous n'avez peut-être pas voulu évoquer (ou qui ne vous a pas impactée) : le manque de courtoisie, le quant-à-soi (pour ne pas dire l'indifférence... dédaigneuse ?) de certains auteurs que l'on a commentés, notés, et qui ne prennent ni le temps de remercier, ni la peine de partager par leur propre commentaire. Il fallait le dire pour le faire savoir !
Pour les lecteurs non auteurs, c'est un autre sujet. On peut regretter soit leur timidité à se faire connaître par un commentaire, soit leur avis insuffisamment détaillé pour en tirer un enseignement constructif.
Vous ne devez pas ignorer que vous avez, à défaut d'éditeurs traditionnels, la possibilité de vous faire publier par Librinova, partenaire de mBS (à condition d'opter pour le pack incluant la nécessaire publicité de journalistes), ou encore par CreateSpace, partenaire d'Amazon pour l'édition papier.
Quoique vous déciderez, Muriel, je vous souhaite tout le succès que vous méritez pour "Blanche". Avec mon amitié et ma solidarité d'auteur. MC

Publié le 25 Mai 2016