La théorie de l’Ève africaine

35 pages de Jean-Luc Lys
La théorie de l’Ève africaine Jean-Luc Lys
Synopsis

Les savants du monde entier ont codé l’ADN mitochondrial humain sur un grand nombre de personnes venant de toutes les régions du monde, afin de découvrir notre ancêtre commune.
Par de multiples comparaisons et recoupements, ils identifièrent celle qui fut à l'origine de la lignée humaine.
Elle vivait en Afrique, il y a plusieurs millions d'années.
Elle fut la dernière hominidée, ou la première femme. Pour cette raison ils l’appelèrent Ève, Ève l’Africaine.
Et l'on appela cette théorie : La théorie de l’Ève africaine.

Publié le 15 Janvier 2019

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8 commentaires , 3 notes
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Bonjour @Joëlle Annie Fontaine.
Merci de votre gentille réponse
Amicalement
Jean-Luc Lys

Publié le 09 Février 2019

Bonjour,
c'est vrai j'aurais du préciser, le sujet m'est familier et du coup, peu d'inattendu, par contre, votre présentation du thème est intéressante.
Bien écrire est difficile et j'admire votre performance, rester dans le récit sur un tel sujet c'est une vraie performance.
Amicalement
J.A.Fontaine

Publié le 09 Février 2019

Bonjour @Joëlle Annie Fontaine.
Merci d'avoir lu "La théorie de l’Ève africaine" et de votre critique, même si je regrette que vous soyez restée un peu sur votre faim.
Le sujet était difficile, et décrire en peu de mots, car je ne voulais pas me lancer dans la rédaction d'un pavé, ce qui différencie l'animal (la narratrice, Australopithèque), de l'Humain (sa fille) a été pour moi l'objet de nombreuses et profondes réflexions, d'autant que je ne voulais pas tomber dans le style thèse de biologie ou d'anthropologie, mais plutôt rester dans le genre récit, ou conte.
D'où, peut-être, ce petit manque que vous avez ressenti.
Amicalement
Jean-Luc Lys.

Publié le 08 Février 2019

bonjour,
bien écrit, bien quoi. Mais voilà, j'attendais un petit plus.
Merci.

Publié le 08 Février 2019

Bonjour @Kelly C.
Merci d'avoir lu mon texte et d'avoir pris le temps de laisser ce commentaire bien sympathique.. Effectivement, on voit dans la troupe des hominidés la lutte des mâles pour devenir dominants, leur donnant accès aux femelles en premier, ce qui leur permet de transmettre leurs gènes, et d'en empêcher les autres membres.
On peut penser que c'est comme cela que l'espèce humaine, que nous considérons comme supérieure, a pu émerger.
Ce texte, que vous appelez conte (ce mot me va très bien) essaie de montrer ce qui distingue l'hominidé, qui est encore un animal et qui ne vit que pour sa troupe, de l'Humain, capable de ne vivre que pour lui.
Finalement, l'individualisme est peut-être la marque de l'Homme.
J'espère que vos nièces et votre neveu auront du plaisir à vous écouter lire ce récit, et qu'il leur donnera l'envie d'étudier et de comprendre la biologie, l'anthropologie, la philosophie aussi pourquoi pas. Et de comprendre d'où nous venons.
Cordialement Jean-Luc Lys

Publié le 07 Février 2019
2.4
Récit assez kiffant et magique, on se croirait vraiment dans la faune tellement c’est bien décrit. Qu’est-ce qui est de l’ordre de l’acquis et de l’inné chez les animaux et les humains? En gros c’est fascinant d’étudier le comportement des animaux, des personnes car on se dit que dans la vie tout est question de pouvoir, de domination que ce soit aussi bien chez les bêtes ou les humains. Je pourrais rester des heures et des heures à observer la conduite des bestioles tellement c’est fascinant. Bonne idée cette histoire d’hominidée…. Conte que je lirai à mes nièces et à mon neveu, ils vont grave aimer!
Publié le 07 Février 2019

Bonjour @Sandrine.
Merci d'avoir lu mon récit et d'avoir donné votre avis si positif.
La mise en évidence de l’Ève mitochondriale, aussi appelée Ève africaine, m'a inspiré ce récit où j'ai mis la dernière Hominidée, la narratrice, face à la première Humaine, sa fille.
Bien-sûr, dans la réalité, ce passage fût beaucoup progressif, et il est fort probable que les derniers hominidés n'aient pas été dotés de la parole, et peut-être de la pensée.
S'il est vrai qu'on se laisse porter par "la parole d’amour et d’admiration de la narratrice pour sa fille", on entrevoit aussi la crainte qui l'habite face à "un futur qui ne lui dit rien de bon, et qui sera, elle le pressent, bien différent du sien".
Cordialement - Jean-Luc Lys

Publié le 01 Février 2019

"La théorie de l’Ève africaine" est le "Livre le +" du 1er février. Retrouvez l’article qui vous donnera envie de le lire : https://www.monbestseller.com/actualites-litteraire-conseil/10623-jean-l.... N'oubliez pas de laisser un commentaire à l'auteur, c’est pour cela qu’il a publié son roman sur monBestSeller.

Publié le 01 Février 2019
3
Je n’ai pas souvent lu de long monologue sans jamais le trouver ennuyeux à aucun instant ! Bravo, au delà de la théorie, c’est un très joli conte que vous partagez là. Un tricot, que vous fabriquez maille après maille, dont on ne sait pas la couleur (bien sûr on a lu, mais oublié, le synopsis), et dont on devine la forme, petite révélation après petite révélation, et on se laisse porter par la parole d’amour et d’admiration de la narratrice. Très bel exercice (qui mériterait une jolie mise en page, comme pour un petit roman, ou un essai), encore bravo.
Publié le 30 Janvier 2019

Bonjour @Kroussar
Merci à nouveau de cette bonne critique. Je vois que vous aimez mes récits, et cela me fait bien plaisir.
La théorie de l’Ève africaine fait partie d’une trilogie que je suis en train de terminer, dont l’action se situe durant la préhistoire.
Dans ce récit, j’ai cherché à mettre en opposition la dernière femelle australopithèque, la narratrice, avec la première humaine, sa fille.
J’ai donc commencé par décrire assez longuement la vie de nos lointains ancêtres, dont les mœurs se rapprochent de ceux des singes, et qui se trouvent confrontés à une humaine avec ses caractéristiques, notamment celle de pouvoir agir pour eux seuls, voire de s’essayer aux prémices de l’art, et de faire des choses « inutiles » pour le reste du groupe.
C’est pourquoi, il y a de longues descriptions de leur mode de vie, et l’explication de l’ordre des copulations, donc de la reproduction, qui permet aux « meilleurs » d’assurer leur descendance. Darwin ne m’aurait pas renié.
C'est ainsi qu'au bout d’un grand nombre de générations, un ou une individu.e a émergé, et transmis ses gènes, mieux adaptés que ceux des autres, et a conduit à l’apparition de l’espèce humaine.

Publié le 27 Janvier 2019
3
Cher @Jean-Luc Lys on peut dire que vous avez l'art de la narration. Pour votre deuxième publication, vous nous contez une magnifique histoire, qui surprendrait même Darwin. Car elle pose une hypothèse encore non résolue aujourd'hui. Ayant constaté que d'autres que vous avaient été qualifiés d'hérétiques pour avoir avancé des idées analogues, vous avez opté pour partager vos connaissances sur monBestSeller.com. ET en cela vous avez eu raison ! Même si les pistes sur le "chaînon manquant" de la théorie de l'évolution sont multiples. Même si la science moderne affirme que notre parenté biologique est de 97% avec les grands singes africains, elle n'a jamais romancé la naissance du premier maillon, ni la transmission des caractères acquis, comme vous l'avez si joliment fait. Alors BRAVO, et MERCI pour cet excellent moment de lecture. Aurons-nous le privilège de lire un troisième roman ? Cordialement Kroussar
Publié le 27 Janvier 2019