Les savants du monde entier ont codé l’ADN mitochondrial humain sur un grand nombre de personnes venant de toutes les régions du monde, afin de découvrir notre ancêtre commune.
Par de multiples comparaisons et recoupements, ils identifièrent celle qui fut à l'origine de la lignée humaine.
Elle vivait en Afrique, il y a plusieurs millions d'années.
Elle fut la dernière hominidée, ou la première femme. Pour cette raison ils l’appelèrent Ève, Ève l’Africaine.
Et l'on appela cette théorie : La théorie de l’Ève africaine.
Ce livre est noté par
Bonjour @Joëlle Annie Fontaine.
Merci de votre gentille réponse
Amicalement
Jean-Luc Lys
Bonjour,
c'est vrai j'aurais du préciser, le sujet m'est familier et du coup, peu d'inattendu, par contre, votre présentation du thème est intéressante.
Bien écrire est difficile et j'admire votre performance, rester dans le récit sur un tel sujet c'est une vraie performance.
Amicalement
J.A.Fontaine
Bonjour @Joëlle Annie Fontaine.
Merci d'avoir lu "La théorie de l’Ève africaine" et de votre critique, même si je regrette que vous soyez restée un peu sur votre faim.
Le sujet était difficile, et décrire en peu de mots, car je ne voulais pas me lancer dans la rédaction d'un pavé, ce qui différencie l'animal (la narratrice, Australopithèque), de l'Humain (sa fille) a été pour moi l'objet de nombreuses et profondes réflexions, d'autant que je ne voulais pas tomber dans le style thèse de biologie ou d'anthropologie, mais plutôt rester dans le genre récit, ou conte.
D'où, peut-être, ce petit manque que vous avez ressenti.
Amicalement
Jean-Luc Lys.
bonjour,
bien écrit, bien quoi. Mais voilà, j'attendais un petit plus.
Merci.
Bonjour @Kelly C.
Merci d'avoir lu mon texte et d'avoir pris le temps de laisser ce commentaire bien sympathique.. Effectivement, on voit dans la troupe des hominidés la lutte des mâles pour devenir dominants, leur donnant accès aux femelles en premier, ce qui leur permet de transmettre leurs gènes, et d'en empêcher les autres membres.
On peut penser que c'est comme cela que l'espèce humaine, que nous considérons comme supérieure, a pu émerger.
Ce texte, que vous appelez conte (ce mot me va très bien) essaie de montrer ce qui distingue l'hominidé, qui est encore un animal et qui ne vit que pour sa troupe, de l'Humain, capable de ne vivre que pour lui.
Finalement, l'individualisme est peut-être la marque de l'Homme.
J'espère que vos nièces et votre neveu auront du plaisir à vous écouter lire ce récit, et qu'il leur donnera l'envie d'étudier et de comprendre la biologie, l'anthropologie, la philosophie aussi pourquoi pas. Et de comprendre d'où nous venons.
Cordialement Jean-Luc Lys
Bonjour @Sandrine.
Merci d'avoir lu mon récit et d'avoir donné votre avis si positif.
La mise en évidence de l’Ève mitochondriale, aussi appelée Ève africaine, m'a inspiré ce récit où j'ai mis la dernière Hominidée, la narratrice, face à la première Humaine, sa fille.
Bien-sûr, dans la réalité, ce passage fût beaucoup progressif, et il est fort probable que les derniers hominidés n'aient pas été dotés de la parole, et peut-être de la pensée.
S'il est vrai qu'on se laisse porter par "la parole d’amour et d’admiration de la narratrice pour sa fille", on entrevoit aussi la crainte qui l'habite face à "un futur qui ne lui dit rien de bon, et qui sera, elle le pressent, bien différent du sien".
Cordialement - Jean-Luc Lys
"La théorie de l’Ève africaine" est le "Livre le +" du 1er février. Retrouvez l’article qui vous donnera envie de le lire : https://www.monbestseller.com/actualites-litteraire-conseil/10623-jean-l.... N'oubliez pas de laisser un commentaire à l'auteur, c’est pour cela qu’il a publié son roman sur monBestSeller.
Bonjour @Kroussar
Merci à nouveau de cette bonne critique. Je vois que vous aimez mes récits, et cela me fait bien plaisir.
La théorie de l’Ève africaine fait partie d’une trilogie que je suis en train de terminer, dont l’action se situe durant la préhistoire.
Dans ce récit, j’ai cherché à mettre en opposition la dernière femelle australopithèque, la narratrice, avec la première humaine, sa fille.
J’ai donc commencé par décrire assez longuement la vie de nos lointains ancêtres, dont les mœurs se rapprochent de ceux des singes, et qui se trouvent confrontés à une humaine avec ses caractéristiques, notamment celle de pouvoir agir pour eux seuls, voire de s’essayer aux prémices de l’art, et de faire des choses « inutiles » pour le reste du groupe.
C’est pourquoi, il y a de longues descriptions de leur mode de vie, et l’explication de l’ordre des copulations, donc de la reproduction, qui permet aux « meilleurs » d’assurer leur descendance. Darwin ne m’aurait pas renié.
C'est ainsi qu'au bout d’un grand nombre de générations, un ou une individu.e a émergé, et transmis ses gènes, mieux adaptés que ceux des autres, et a conduit à l’apparition de l’espèce humaine.