Persécutions : les déboires d'Ada est un récit qui dénonce l'hypocrisie et la perte des valeurs religieuses dans nos congrégations par le biais de certains prétendus "enfants de Dieu".
Ada l'apprendra à ses dépens en devenant victime d'une terrible manipulation par ceux qui en réalité ne sont que véritables persécuteurs.
Ce livre est noté par
Bonjour Pierre-Claver, j'essaie désespérément de vous laisser un avis sur l'autre site où vous publiez, mais impossible (problème technique), c'est ballot.
Vous devriez poster ici ;-)))
Pour "En attendant que le jour se lève" :
Une nouvelle fois je vous lis avec un immense plaisir.
Cette fois-ci je vous découvre le talent de parler des choses de l'ombre, et vous le faites bien ! avec sensibilité et poésie.
Je vous l'ai déjà dit, je le répète : il y a un je-ne-sais-quoi en plus dans votre langue qui fait des feux-d 'artifice, des champs de fleurs sauvages.
Bonne continuation, et merci pour les partages
@Catarina Viti, bonsoir.
Je prends note de tous vos conseils.
Merci et à bientôt.
Bonjour Pierre-Claver, super, extra, génial ! J'ai trouvé vos deux livres. Ne soyez pas pressé, j'ai pris beaucoup d'engagements auprès de quelques auteurs du site, mais je vais vous lire et laisser des commentaires.
Pour être précise, mes "recherches" ne concernent pas l'Afrique mais l'écriture et j'ai trouvé dans la vôtre une musique tout à fait inattendue qui m'intrigue.
Ne lâchez rien ! Vous avez de grands rêves mais comme vous le dites si bien : ceux qui ont réalisé les leurs ne sont pas meilleurs que nous, c'est juste qu'ils nous ont devancé ! (la route du livre est très longue et elle ressemble de plus en plus à une piste dans la jungle ;-) )
@Catarina Viti, Bonjour.
Merci d'avance. Je reviendrai avec un nouveau genre et qui ne manquerait pas de vous amener jusqu'à moi.
En effet inutile d'attendre. Pour mieux connaître l'Afrique et enrichir vos recherches sur le continent, je vous offre le billet pour y revenir : www.edition999.com. Tapez Pierre-Claver Madouma dans le moteur de recherches de celui-ci et soyez à nouveau la bienvenue avec En Attendant Que Le Jour Se Lève, Entre Illusions Et Confusions.
L'inconvénient ? Certainement le Français qui n'est pas conventionnelle et qui malheureusement avait déjà été utilisé en publiant ces oeuvres.
Merci Catarina, bonne lecture.
À très bientôt.
Nous sommes déjà deux à attendre votre prochain livre !
Encore une fois, merci pour le voyage que vous nous faites faire jusqu'à vous.
@LYS-JEAN-LUC, BONJOUR.
MERCI D'ETRE REVENU. CAR JE VOIS L'INTERET QUE VOUS ACCORDEZ A MON LIVRE. JE DOIS, SINON RAPPELER QUE, N'EST-IL PAS NORMAL DE LIRE UN LIVRE AFRICAIN ET DE SE RETROUVER EN AFRIQUE PAR SON PAYSAGE, SES PERSONNAGES AUSSI BIEN QUE PAR SES EXPRESSIONS ? CELA EN VA DE MEME POUR NOUS QUI LISONS DES ROMANS EUROPEENS VIEUX PARFOIS DE CENT ANS. UN VERITABLE CASSE-TETE. MAIS NOUS FAISONS LE TOUT POUR LE TOUT AFIN DE SAISIR LE FOND.
GRANDE EST MA JOIE DE SAVOIR QUE VOUS ETES SATISFAIT.
DU COUP, JE SUIS ENCORE MOTIVE.
LYS JEAN-LUC, JE REVIENDRAI UNIQUEMENT POUR VOUS.
MERCI.
Cher @P.C Madouma . Merci de votre réponse si prompte à mon commentaire.
J’ai relu avec beaucoup d’attention votre livre, pour en comprendre toutes les subtilités. Il raconte une belle et terrible histoire, celle d’un jeune couple victime de la calomnie, suite de ragots et de rumeurs mensongères que vous nommez des : « on a dit », colportés par des membres de la congrégation à laquelle appartient Ada et, sans doute avec moins de ferveur, (il semble préférer aller boire un coup avec des amis), et plus pour faire plaisir à sa jeune épouse, Bissiélou.
Votre message montre aussi que même celles et ceux qui sont membres de l’église, (ou d’une congrégation), et dont attend un comportement honorable, voire exemplaire, peuvent se conduire très mal et causer du tort à leur.s prochain.s, ce que vous résumez par l’expression suivante : (page 53 « comprendre que le bien et le mal mangent à la même table »). La calomnie, la duperie, la méchanceté, etc. ont alimenté bon nombre de romans et de poèmes : « Le barbier de Séville de Beaumarchais, différentes pièces du théâtre classique de Molière à Racine, et bien d’autres ». En ce sens, votre livre est beau, d’autant que j’y trouve une position « féministe » : vous plaignez Ada et prenez son parti, position qu’il n’est peut-être pas si facile de tenir au Gabon, dans une société traditionnelle (encore que sur ce point, je n’ai aucune certitude).
Il témoigne aussi de l’importance de la famille dans la société africaine, avec le poids de l’oncle Édouard, alors qu’en France, l’omniprésence de la famille a quasiment disparu, sauf peut-être en province et dans certains milieux.
Votre français a des côtés délicieux, avec des expressions typiquement africaines, qui nous rappellent que même pourvus d’une langue commune, les peuples inventent ou génèrent un « langage » qui leur est propre. (J’ai de la famille au Québec, et je pourrais faire la même remarque).
Malheureusement, et pour vous paraphraser : « le bien et le mal mangent à la même table », la lecture de votre ouvrage est très difficile et nécessite beaucoup de concentration. Comme je vous l’ai dit, j’ai dû faire une deuxième lecture de votre roman pour bien l’appréhender. (Ce que je ne regrette pas d’ailleurs, parce que j’y ai trouvé une richesse que je n’avais pas vue au premier abord).
Je ne peux pas lui attribuer de note, car l’histoire mérite 5 étoiles, sans hésitation, mais votre français, du moins lu en France (ce qui est les cas de la majorité des lecteurs de mBS) ne peut prétendre à plus d’une seule étoile. Et comme je crois que ce sont là deux domaines qui n’ont rien de commun, je pense qu’on ne peut en faire la moyenne, qui ne représenterait rien.
Très amicalement. J2L
PS : Je lirai votre deuxième livre, et vous ferai part de mon ressenti.
@Lys-Jean-Luc, bonjour.
Je compte sur vous pour me dire si oui ou non je répond à vos attentes en publiant un nouveau livre d'ici là.
Merci de votre remarque brève et simple.
Bonjour @P.C Madouma . J’ai voulu connaître votre livre après avoir lu les critiques de deux précédentes lectrices. Je dois dire que j’ai eu beaucoup de mal à suivre le déroulement de votre histoire, habitué sans doute à des textes de forme plus conventionnelle, ou plus « européennes » simplement. Il est intéressant de lire un français tel qu’il est parlé et écrit dans les pays africains, et qui a suivi une évolution différente de celui de la France. Néanmoins, je crois que vous gagneriez en clarté en simplifiant votre manière d’écrire, et que la persécution de cette pauvre Ada nous apparaîtrait alors plus clairement. Merci pour cette découverte et ce dépaysement. Amicalement. J2L
@Catarina Viti, bonjour et merci de me faire savoir votre pensée sur ce texte.
Je suis toujours émue à l’idée que des personnes, dont j’ignore tout de la langue, tout du pays à des milliers de kilomètres de moi, connaissent et pratiquent le français. L’Afrique francophone fait partie de mon émerveillement (et de mon grand étonnement aussi : comment pouvez-vous aimer encore à ce point une des dépouilles de votre vil colonisateur ? Par quelle force mystérieuse réussissez-vous encore à lui rendre un hommage, auquel bien souvent il se révèle insensible et répond avec sa morgue habituelle et son souverain mépris de blanc ? Ce sont là pour moi des mystères.)
Quoi qu’il en soit, j’ai lu votre livre de fond en comble. La première valeur qui m’a sautée aux yeux est la musicalité de votre écriture. Ah, bien entendu, si l’on reste dans ses habitudes de lecteur académique, on n’entendra rien. Et comme on n’aime pas passer pour un imbécile à "cervelle de moustique", on vous accusera de n’avoir produit qu’une cacophonie. Selon moi, votre texte n’est pas déstructuré mais échappe à la structure conventionnelle, nuance. Vous démontrez qu’avant d’être écriture, c’est à dire : enfilade de signes inertes sur une page blanche, la langue a été son, musique. Pour entendre la vôtre, j’ai abandonné mes comportements habituels de lectrice et j’ai imaginé que vous me lisiez votre texte. J’y ai reconnu immédiatement le riff du Blues. J’ai eu un instant l’impression de me trouver dans la tête du blanc qui entend pour la première fois ce qu’un musicien du Mississippi est capable de sortir d’une guitare ou d’un piano, et la révolution qu’il apporte à une musique "officielle" en train de crever sur pied.
Je ne dis pas que votre texte est un chef d’œuvre, et d’ailleurs, vous l’avez remarqué je n’ai pas attribué de note. Non, pour moi le débat est vraiment ailleurs. Votre livre est inclassable, il s'apparenterait plutôt à une production d’Art Brut, qui en essayant de reproduire un modèle découvre au contraire une chose absolument neuve, totalement inattendue.
Dommage pour ceux qui n’emprunteront pas le pont que vous avez construit. Je me suis retrouvée avec bonheur invitée chez vous, dans votre univers, dans l’appartement de Bissiélou et Ada, dans leurs rues, leur quartier, leur église, sous la "colère de la pluie". J’ai apprécié cette sombre et amère lucidité de l’Africain envers lui-même, parente (cela pourra vous surprendre) de la férocité que j’ai par mes origines napolitaines à me considérer moi-même.
Bref, votre texte, vous l’aurez compris, ne m’a pas laissée insensible et je le relirai d’ici quelques jours pour réentendre cette musique qui m’intrigue et m’inspire dans ma propre recherche.
Cher ami, merci.
@ Colette Bacro. Bonjour et merci d'être la première à poster un commentaire. Je prends note de vos remarques et je me donne le devoir de répondre à vos attentes.