Lorsque les portes de la justice s’ouvrent, que votre âme se fait emporter par les verdicts et les sentences. Quand le monde qui nous était offert vient à s’écrouler et que tout ce que vous avez connu se fait soudainement détruire par le mépris inconsidéré de votre existence pourtant si tranquille. Que faites-vous quand vous avez atteint le bas fond de la société, alors que l’argent et le luxe n'étaient jamais de trop ? Seriez-vous prêt à tuer pour protéger ce qui vous est cher ? C’est ce que Mme Jean a fait. Et aujourd’hui, tient son procès pour un terrible drame dont sa vie est responsable. Quelle sera son histoire dans un monde qui lui est mort ?
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@Patrick Praton, merci beaucoup d'avoir pris le temps d'écrire un commentaire et merci de votre critique, j'en prendrai compte pour mes prochains écrits. Cela me fait aussi plaisir que ma nouvelle vous est plu :).
Franchement votre récit, il est intéressant, vous avez réussi à le rendre prenant,
il y a du mouvement , du rythme, ça swingue comme à Meudon, comme dirait un certain Michel Sardou dans sa chanson, "la java de Broadway". Bon après à la fin, vous êtes tombé dans un certain angélisme, je me suis cru dans Oui Oui ou Alice aux pays des merveilles. L'assemblée est émue, les yeux des jurés sont remplis de larmes et le juge complètement abasourdi, vous nous avez fait la totale ! C’est attendrissant mais on voit que cela dans les films malheureusement. Sinon j’ai trouvé des fautes d’orthographe mais pas tant que cela, donc c'est positif. Merci pour ce récit rythmé et dansant.