Julianne est de retour dans sa ville natale et espère pouvoir vivre de sa passion, la peinture.
Elle y retrouve son meilleur ami et y rencontre Simon qui se montre insensible à son art.
Pourtant, ils s'attirent.
Pour rebondir sur le commentaire précédent, dommage je trouve que ce ne soit pas au présent. En revanche, il y aplein d’émotion, mais un peu trop de clichés, d’attendus à mon goût (c’est gros comme le nez c’t’histoire), mais, i repeat, il y a de l’émotion. Et c’est le but des romances, non ? ! Cela dit, dommage aussi que l’on ne puisse pas rentrer dans votre récit réellement, vous nous l’empêchez avec une distanciation, volontaire ? ‘l’université de la ville la plus proche’ pour ne citer que ça. Et j’arrive à la fin me demandant pourquoi vous avez entretenu cette distance ?
Un récit presque distancié qui fleure la nostalgie même s'il se passe au présent. C'est un récit ou le temps qui passe est important, ou les sentiments naissent subtilement.. Retrouver ses repères, la province et la saveur d'une forme de lenteur.
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Pour rebondir sur le commentaire précédent, dommage je trouve que ce ne soit pas au présent. En revanche, il y aplein d’émotion, mais un peu trop de clichés, d’attendus à mon goût (c’est gros comme le nez c’t’histoire), mais, i repeat, il y a de l’émotion. Et c’est le but des romances, non ? ! Cela dit, dommage aussi que l’on ne puisse pas rentrer dans votre récit réellement, vous nous l’empêchez avec une distanciation, volontaire ? ‘l’université de la ville la plus proche’ pour ne citer que ça. Et j’arrive à la fin me demandant pourquoi vous avez entretenu cette distance ?
@suzie fong
Vous avez raison. Ne lisez donc plus de romances.