A notre histoire, comme on dirait à notre santé ! à notre bonheur ! un verre levé à des rêves à venir. Belle histoire. Si j’avais un petit point de critique, je dirais que dans certains épisodes, la narration m’a semblé un peu délayée, que les choses étant posées, on a envie de savoir plus vite ce que vous avez concocté (mais je suis impatiente)

Pas facile comme exercice l’anthropomorphisme, mais le résultat pour moi, c’est un très beau conte pour enfants, c’est comme ça que je vous ai lu. Tout d’un coup, changer de perspectives, change le regard, l’analyse que l’on fait des choses. Cela permet aussi d’être plus direct, de ne pas essayer de ménager la chèvre et le chou ! C’est en cela que le conte prend le pas sur la réalité et ça fait du bien de s’en échapper. Merci pour le téléchargement qui me permettra de le partager avec mes petits-enfants.

Tout d’abord, mention très spéciale pour très joli titre. Si vrai. Et très bien trouvé pour votre histoire. On rentre dedans, comme ça, immédiatement. Vous avez certainement ce talent pour raconter simplement ce quotidien que nous connaissons toutes, de près ou de loin. On s’attache à vos personnages, on met nos pieds dans les leurs, et les pages déroulent. Bonne analyse de ce genre de problématiques, une fois encore qui ne l’a pas connue ?, avec toujours cette lumière au bout du tunnel.

C’est très gai cette carricature de working-woman-des-années-2000-je-m’habille-en-prada-je-suis-ELLE-(et-je-suis-ELLE-à-la-lettre)-et-j’ai-des-rêves-que-je-rêverais-de-réaliser. Mais pas que, pas que carricature, car votre écriture porte ses personnages et votre contre-pied, que l’on connait, puisque vous nous le dites, mais qui est très bien amené. On suit Alexandra dans ses certitudes, et ses doutes. Bien vu.

Direct dans le feu de l’action, vous vous passez des préliminaires, et nous demandez en conséquence de sauter dans le wagon avec vous. Pas habituel ! On ne sait pas où on est, on ne sait pas où on va, ni pourquoi on y va, peut-être serait-il nécessaire de nous le dire ou suggérer ? Car le ton est alerte, agréable à lire. Evidemment, dès la page 6, vous avez remis les choses à l’endroit. Et nous, on a refait le voyage dans le bon sens. Bref, si je ne suis pas la seule à le penser, peut-être un petit recalibrage des premières pages s’imposerait pour ne pas décourager des plus impatients que moi ? Et rebref, c’est très gai, bien vu, amusant à lire, mais j’ai trouvé que vous nous baladiez un peu trop dans les détours de votre imagination fertile et qu’un peu plus de centrage sur le sujet ne serait, à mon goût, pas totalement superflu ! Merci pour ce partage très plaisant à lire (néanmoins !)