Un parcours accidenté, c‘est le moins qu’on puisse dire, mais que vous racontez avec un recul qui n’est pas du qu’aux années qui sont passées, mais à un ton sans reproche, sans jugement, un ton simple, comme une conversation entre amies. C’est ça je trouve qui permet de s’approprier vos femmes, comme si on les connaissait. Merci pour ce partage.

J’ai cru au début avoir déjà lu plusieurs fois ce genre d’histoires, mais non, pas du tout ! Plus que la chute, l’atterrissage, c’est la manière d’y arriver qui compte (j’avais envie d’écrire, "qui conte"). Et justement, le ton, le rythme, emballent le tout. C’est à bout de souffle. Je me joins au concert de klaxons en dessous du mien ! (sauf pour la mise en page, collée serrée…)

Quand on aime…. J’ai aimé ce ton léger et gai et je confirme mon précédent commentaire, vous avez créé un équilibre abouti je trouve, entre vos personnages à la personnalité attachante, leurs dialogues, comme si on y était, et la petite aventure que vous leur faites vivre, et à nous, donc, aussi ! Merci et plein d’inspirations pour la suite de vos aventures.

C’est très gai votre petit monde du Pornic. Et certainement plus encore si l’on connait les lieux, ce qui n’est malheureusement pas mon cas. Des situations décalées, des dialogues un peu ubuesques, un personnage truculent, j’imagine que l’on doit en parler au café de la presse du Pornic, et que vous devez être arrêté dans la rue pour vous demander pourquoi donc vous n’avez pas dit un mot sur telle ou telle boutique, ou telle ou telle rue ! Bravo et plein de succès à votre saga.

C’est un exercice difficile celui de retranscrire une correspondance entre des amants qui se manquent, souvent elles se répètent, elles radotent un peu. Mais la poésie de vos mots permet souvent d’éviter cet écueil et de laisser planer les mystères. Et avec eux, les fantasmes. (Apparemment personne ne vous a dit que votre police de caractère était assez illisible sur ordi, vous devriez en choisir une plus… lisible !)