Le livre a été achevé fin octobre 2020. Plus le temps passe et plus il m’apparait prophétique. De nombreux évènements décrits dans l'histoire à l’époque étaient encore de la prospective. Ils sont devenus depuis une sordide réalité !
2024. Le monde tel qu’on le connaissait a disparu. Les citoyens,
asservis à leur peur, se sont ignominieusement jetés dans les bras
de l’hydre totalitaire. Après avoir
héroïquement résisté, la Hongrie est vaincue. Dans une
Budapest envahie par l’armée migratoire, Sandör et Marie,
transcendés par leur passion, vont livrer un ultime combat pour
éclairer les peuples sur les intentions cachées du Cons Co,
organisme tout puissant dont les membres, dans l’ombre et le
secret, président à la destinée de l’humanité.
Bonjour @Marie Morvan
Tout d'abord, je vous félicite d'avoir obtenu le Prix Concours monBestSeller.
Je vois que vous avez aimé mon poème sur les Simpson. Je vous invite à découvrir mon roman intitulé "SARAH LEADERWAY", où vous trouverez ce poème sur les Simpson, publié sur ce site dans les deux catégories "Roman" et "Jeunesse". J'aimerais bien que vous lisiez mon roman pour donner votre avis sur lui. Voici les deux liens :
https://www.monbestseller.com/manuscrit/15837-sarah-leaderway
https://www.monbestseller.com/manuscrit/15838-sarah-leaderway
@George Parîsse, @Jack Valmont
Merci messieurs de vos commentaires encourageants. A vous lire !
Je n'ai pas adhéré à tout, mais j'ai trouvé intéressant que vous évoquiez les collusions paradoxales. Des lobbies aux finalités différentes concourent au développement du mondialisme. Les entreprises même concurrentes par exemple, promeuvent, par leur représentation du couple ou de la famille un consommateur sans racine et sans identité.
Publié le 10 Décembre 2021
@Annie Pic et @Philippe RIBAGNAC.
Merci de m'avoir lu et d'avoir pris le temps de rédiger un commentaire. Vos suggestions constructives sont très appréciables venant de deux auteurs confirmés.
Je finis mon commentaire interrompu par erreur :
(heureusement pour notre monde d'ailleurs !)
Vous auriez également pu prendre un peu plus de temps pour amender certains passages un peu faibles et les fautes d'orthographes encore un peu trop présentes à mon goût.
En tout cas, ce premier livre est intéressant et je vous encourage à persévérer dans l'écriture.
Au crépuscule de la visibilité de mon ouvrage sur le site, je fais un dernier passage pour remercier tout ceux qui m'auront lu et auront consacré un temps précieux à mon histoire !
Pour répondre particulièrement à :
@JO ZACHWALINSKI, j'aimerais être plus optimiste et je ne me prive jamais des joies simples qui font le sel de la vie (l'apéro figurant dans le top 10 de celles-ci !) Malheureusement, ce n'est pas parce que l'on ignore la réalité qu'elle n'existe pas et je n'arrive pas à l'occulter ! Je vous envie :-)
@Thidud, je ne sais pas si ce sont des prémonitions ou des théories, mais je suis tous les jours moi-même surprise du nombre des hypothèses traitées dans le livre qui se réalisent et surtout à la vitesse à laquelle elles deviennnent réalité. Nous verrons en 2024 où nous en serons mais j'ai toujours un sombre préssentiment ! Tout cela ne sent pas très bon...et mon livre n'a pour but que d'inciter chacun à se poser des questions sur les ressorts et desseins d'une élite mondiale qui orchestre l'asservissement de la population avec zèle, méthode et coordination. Simple bêtise hystérique collective (dur à croire) ou plan d'ensemble ? L'avenir nous le dira ! Mais quelque soit le cas, l'humanité n'en sortira pas grandie.
@Marie Morvant ; Ô Marie, si tu savais... Serait t'on tenté de fredonner, tant le livre que tu nous proposes est sombre, il laisse peu de place à l'espoir ! Juste une petite porte entrouverte sur la nuit d'où, un léger souffle pénètre à peine pour assainir une atmosphère, qui est lourde, pesante et tiède...
As-tu si peur de ce monde ? tu ne lui laisses aucune chance !
Regarde ! les bourgeons sur les arbres dénudés ! Regarde ! Ils prennent de la sève, bientôt ils fleuriront, Le cycle de la vie est fort, plus fort que les tyrans !
Moi, ce midi, je prendrai un pastis à ta santé, dans mon jardin "pauvre petite fille triste", à la santé des monstres qui te hantent, pour qu'eux aussi, t'oublient le temps que tu dormes... Santé ma belle !...
@Louise Morel
Votre commentaire est assez rigolo puisque vous l'aviez déjà mis la veille à 14h02 sous le pseudo Louise Morel puis rapidement enlevé, sans doute en vous rendant compte que vous vous étiez trompé de pseudo !
Vous défendez des thèses identitaires, c'est votre droit. Ce n'est toutefois pas une raison pour m'insulter ! Aucun auteur n'aime les critiques. La seule que j'ai faite à votre endroit est le mot "confusion". Et quand je relève quelques scories orthographiques, c'est évidemment pour vous aider à améliorer votre texte. Je ne doute pas que vous avez utilisé un correcteur orthographique mais les fautes que je vous ai signalées ne sont pas vus par les correcteurs...
Pour votre information, chaque fois que vous mettez un commentaire à un auteur, celui-ci est transmis à l'auteur. Raison pour laquelle j'ai vu votre commentaire signé Louise Morel. Mais si vous vous trompez dans le nom de l'auteur, par exemple en écrivant @Dominique Laurent au lieu de @Dominique LAURENT , ce commentaire se perd, raison pour laquelle je vous réponds seulement maintenant...
Cher @Dominique Laurent.
Wahou ! Je découvre ce matin votre commentaire. Quelle violence sous-jacente ! Et que de fatuité et d'ignorance dans ces quelques lignes qui veulent faire référence à un livre que vous n’avez manifestement pas lu ! Votre argumentation “bien-pensante” pré-mâchée (on retrouve tout le registre lexical médiatique classique : « populiste, anti-migrants...) est la raison même pour laquelle j’ai écrit cette histoire.
Orban n’est en rien le héros du livre. C’est l’âme éternelle de la nation qui en est l'héroïne allégorique. J’ai choisi la Hongrie car elle seule résiste en Europe (avec la Pologne) aux forces mondialistes et progressistes qui volent aux peuples leur identité, façonnant l’homme de demain, qui ne sera plus un citoyen, mais un consommateur universel, sans avenir, pillant les ressources planétaires pour le profit de quelques-uns. L’on sait également très clairement (il suffit de suivre l’actu quotidienne) que la cohabitation de cultures et religions incompatibles et non miscibles crée des dégâts sociétaux irréversibles. Petit pays d'à peine 10 millions d'habitants tout juste sorti de 60 ans de totalitarisme communisme, la Hongrie veut se protéger de cette menace létale. L’Europe doit être une construction économique. En aucun cas un projet de société. De quel droit des pays leaders auto-proclamés, seuls détenteurs d'une prétendue vérité, imposeraient aux nations souveraines leurs choix de mode de vie. Ouvrez un peu les yeux et regardez autour de vous les ravages de cette idéologie !
Votre ouvrage montrant une certaine qualité de réflexion, je vous invite à réellement lire le livre, en ouvrant votre esprit et en vous affranchissant de la propagande du “camp du bien”. Je suis sûre que vous en retirerez quelque-chose.
PS : Je suis désolée des scories subsistantes mais ne cherchez pas à passer pour un intellectuel (et à me dévaloriser pour décrédibiliser le roman) en soumettant mon texte à un logiciel de correction orthographique.
Comme disait le poète Babbits « Nous ne sommes rien, nous ne sommes personne » !
A méditer !
Votre dystopie est intéressante mais la vision politique que vous développez est, à mon sens, d’une grande confusion ! Faire de Viktor Orban le héros de votre saga est plus qu’ahurissant. Ce populiste bon teint et gentil toutou de l’Europe (qu’il se garde bien d’ailleurs de vouloir quitter) s’est surtout distingué par ses philippiques contre les migrants, c’est-à-dire essentiellement les réfugiés de la guerre en Syrie. Trouver glorieux de renvoyer chez eux des réfugiés de guerre est plus qu’une infamie et n’a rien de charismatique. Surtout quand ce même bonhomme vient soutenir les migrants de l’intérieur, c’est-à-dire les trois millions de Hongrois qui ont quitté le pays pour aller dans les pays voisins, en particulier en Ukraine et en Slovaquie !
Sur la forme votre texte comporte encore pas mal de scories. En voici quelques-unes :
les épreuves qu’il avait dû affronter et non les épreuves qu’il avait dues affronter
L’AH suspectait et non L’AH suspectaient
le « Che » et non le « Ché »
pour l’assurer de et non pour l’assuré de
à se soumettre et non à se soumettrent
savent que le partage de valeurs communes est et non savent que le partage de valeurs communes sont
nous suivions le programme établi et non nous suivions le programme établit
A dix heures précises et non A dix heures précise
@Gaspard du Gévaudan. Merci Gaspard de votre commentaire et des remarques constructives au sujet de la mise en forme (j’ai fait l'erreur d’utiliser Google doc ce qui a généré des problèmes de mise en page à la conversion lors de l’enregistrement dont je ne me suis pas aperçus). Je suis moi-même surprise et effrayée de la vitesse à laquelle ce qui était fiction devient réalité. On espère toujours au fond de soi que cela n’arrivera pas. Les avertissements et mises en garde ne trouvent que très peu d’écho face à la peur grégaire. Cassandre en a fait les frais il y a longtemps déjà !
@Henri Castaing. Merci pour votre commentaire. Je viens de finir vos nouvelles et elles m’ont fait passer un bon moment. Que du vécu !
Passionnée de littérature, la période actuelle a été l'occasion pour moi de passer de l'autre côté du miroir. Catharsys et exutoire...
"BUDAPEST 2024" est le "Livre le +" du 22 mars. Retrouvez l’article qui vous donnera envie de le lire : https://www.monbestseller.com/actualites-litteraire-conseil/14577-budape.... N'oubliez pas de laisser un commentaire à Marie Morvan, c’est pour cela qu’elle publie son roman SFF gratuitement sur monBestSeller.