L’Apocalypse en Krjoy est un essai sur le thème de l’intégrité, mais aussi un pamphlet satirique sur l’obsolescence d’une sacro-sainte pensée linéaire, un fantastic-voyage au cœur d’un étrange univers : « la barrière entre l’inerte et le vivant est un leurre et la frontière entre les inconscients un confort d’esprit. Tous les règnes, toutes les espèces, sont intriqués et profitent des mêmes mouvements, telles des poupées russes plongées dans un Univers multidimensionnel en perpétuel changement ».
L’auteur invite le lecteur isolé à sortir de son placard et exprimer ouvertement ses choix de cœur. Présentée ici comme un pouvoir interne, mais aussi comme une denrée énergétique vitale pour de nombreux prédateurs, l’intégrité recèle selon l’auteur le véritable pouvoir de la pensée créatrice.
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J’admire ce talent de savoir écrire des phrases dont tous les mots ont un sens propre, et figuré, mais dont l’adition suitale est absconde. Il y a en peinture de nombreux talents de la sorte dont des célèbres dont il est bien sûr inutile de rappeler le nom, et de moins célèbres, voire totalement incélèbres qui fleurissent dans les puces et les brocs. Et sans doute cette comparaison picturale permet de mieux comprendre le sens que vous avez voulu donner à votre tout l’univers. Une galaxie ordonnée et parfaitement chaotique. C’est, je trouve, ce qui fait le sel de votre pensée. Et en cela, j’applaudis.
J’avoue que je n’ai pas tout compris, loin delà, j’espère que je ne vous mettrai pas en colère en disant cela ... Pourtant je me suis accroché… A partir du chapitre 2 qui m'a paru plus concret que le chapitre 1, j'ai commencé à comprendre certains passages. Je suis d'accord pour dire que nous sommes sous l’influence des médias de masse qui régulièrement nous manipulent et diffusent du macabre. Cela produit chez les gens l’anxiété de vivre. Je suis également d'accord avec vous pour dire que certaines personnes sont schizophrènes et ont des masques selon les circonstances et les gens avec qui ils se trouvent. Et oui les animaux entre eux sont parfois impitoyables, parfois égoïstes, cherchant à assouvir leurs besoins primaires.