Armel, 10 ans, un petit zèbre sans voix éconduit par une mère au passé bouleversant ; Hélène, seule rescapée d’un incendie criminel orchestré par l’homme qu’elle avait fui ; Amélie, dont la mère vient de mourir, en plein divorce avec l’amour de sa vie ou encore Sonia, une lycéenne désabusée sous l’emprise de celui qu’elle nomme « l’homme à la ceinture de cuir » lors de leurs séances sado-masochistes.
Des inconnus liés par le même fil rouge : Camille. Elle connait tout de ces enfers sans avoir besoin de leur parler. Comment ? En entrant dans leurs songes pour les aider à combattre leurs démons intérieurs.
Et un jour vient le drame qui la bascule dans une profonde perdition où son « pouvoir » porterait un nom.
Et d'où vient cette voix inconnue qui ne cesse de clamer "Lema Sabachtani"?
Ce livre est noté par
@capucine fleur
Bonjour Madame,
Tout à bord, merci d'avoir pris de votre énergie pour me lire.
Il s'agit,en effet, d'un drame psycho-fantastique mais je n'ai pas trouvé le moyen de le noter afin que cela soit très visible.
Un prologue interminable vous dites, comme quoi tout est relatif (sourire).
Cordialement.
Il faut vous aborder avec aucun à priori tant vous avez envie de casser tous nos repères. Un prologue interminable qui en repousserait plus d’une qui n’aime pas les prologues, des personnages bardés de mystères et d’introversion, des atmosphères presque surréalistes, bref, il faut mériter votre message et votre univers iconoclaste. Et y plonger sans respirer.
@Patrick Praton
Je vous remercie pour l'attention que vous avez apportée à mon récit.
Comme vous le dites si bien: " quand on est abandonné, cette liberté on s'en passerait bien".
Cette scène de l'oiseau a tendance à faire réagir, en effet. C'est le but recherché. Tout comme vous, j'ai été par moment agacée devant le comportement d'Armel et puis j'ai eu de la compassion aussi.
Bien à vous,
Ella Palace