Daedalus Anima

161 pages de Ella Palace
Daedalus Anima Ella Palace
Synopsis

Armel, 10 ans, un petit zèbre sans voix éconduit par une mère au passé bouleversant ; Hélène, seule rescapée d’un incendie criminel orchestré par l’homme qu’elle avait fui ; Amélie, dont la mère vient de mourir, en plein divorce avec l’amour de sa vie ou encore Sonia, une lycéenne désabusée sous l’emprise de celui qu’elle nomme « l’homme à la ceinture de cuir » lors de leurs séances sado-masochistes.
Des inconnus liés par le même fil rouge : Camille. Elle connait tout de ces enfers sans avoir besoin de leur parler. Comment ? En entrant dans leurs songes pour les aider à combattre leurs démons intérieurs.
Et un jour vient le drame qui la bascule dans une profonde perdition où son « pouvoir » porterait un nom.
Et d'où vient cette voix inconnue qui ne cesse de clamer "Lema Sabachtani"?

Publié le 11 Novembre 2021

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3 commentaires , 1 notes
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@capucine fleur

Bonjour Madame,

Tout à bord, merci d'avoir pris de votre énergie pour me lire.
Il s'agit,en effet, d'un drame psycho-fantastique mais je n'ai pas trouvé le moyen de le noter afin que cela soit très visible.
Un prologue interminable vous dites, comme quoi tout est relatif (sourire).
Cordialement.

Publié le 26 Novembre 2021

Il faut vous aborder avec aucun à priori tant vous avez envie de casser tous nos repères. Un prologue interminable qui en repousserait plus d’une qui n’aime pas les prologues, des personnages bardés de mystères et d’introversion, des atmosphères presque surréalistes, bref, il faut mériter votre message et votre univers iconoclaste. Et y plonger sans respirer.

Publié le 26 Novembre 2021

@Patrick Praton

Je vous remercie pour l'attention que vous avez apportée à mon récit.
Comme vous le dites si bien: " quand on est abandonné, cette liberté on s'en passerait bien".
Cette scène de l'oiseau a tendance à faire réagir, en effet. C'est le but recherché. Tout comme vous, j'ai été par moment agacée devant le comportement d'Armel et puis j'ai eu de la compassion aussi.

Bien à vous,
Ella Palace

Publié le 20 Novembre 2021
4
Vos personnages sont fantasques et bizarres et se retrouvent dans des aventures assez inhabituels, ils aiment pour certains d'entre eux les balades nocturnes ce qui est de nature plutôt à me plaire moi qui ai toujours aimé les "originaux". Il est écrit que dans l'abandon on trouve une certaine liberté, enfin quand on est abandonné cette liberté j'allais dire on s'en passerait bien... La scène de l'oiseau avec Armel, je l'ai trouvée atroce, le gamin désolé mais il m'a bien énervé, en tout cas cette scène m'a fait mal au coeur et elle ne m'a pas laissé indemne, ce qui prouve quelque part la force et la violence de cette scène que vous avez su dégager au travers de votre écrit. En tout cas la description physique de ce petit oiseau est vraiment belle surtout au travers de vos mots. Dans l'ensemble, Ils sont malheureux les personnages dont un qui n'a pas le droit d'aimer . page 32 : " Prisonnier de ma mémoire, enchaîné à ma peine, incarcéré dans cette enveloppe charnelle de merde, je purge ma peine à perpéte". Phrase terrible... "A défaut d'avoir une vie, j'espionne celle des autres". Vous avez des phrases et des mots percutants qui ont le mérite de chambouler.
Publié le 20 Novembre 2021