L'Albatros

5 pages
Extrait
de Catherine Muggon
L'Albatros Catherine Muggon
Synopsis

Je n'aime pas parler de moi-même. La vie est belle et on devrait en profiter pour mieux vivre ensemble, en bonne intelligence, les uns avec les autres. La haine n'est pas bonne. Il faut savoir s'aimer.
Je suis une femme triste et malheureuse. Divorcée depuis plus de vingt-ans. Que de difficultés je vaincs ! J'ai du mal à vivre en paix, puisque les problèmes de la vie ne s'achèvent jamais. Que faire pour vivre en paix ? Y a-t-il des solutions pour nos problèmes et nos difficultés de la vie ? J'en ai marre de cette vie. Je ne sais plus quoi faire pour que je puisse enfin trouver la paix et la joie dans la vie. Ma vie n'est rien moins que ce que je veux qu'elle soit.
Néanmoins, si je trouve des lecteurs qui apprécient mes écrits, je serai vraiment si heureuse et tellement gaie. Voilà tout.

Publié le 05 Décembre 2021

Les statistiques du livre

  3815 Classement
  19 Lectures 30 jours
  1387 Lectures totales
  +145 Progression
  8 Téléchargement
  0 Bibliothèque
 

Ce livre est noté par

2 commentaires , 1 notes
Pour répondre à un membre, précédez d'un @ son nom d'utilisateur , et il sera prévenu de votre réponse !

C’est de la poésie d’un haut niveau, je suis assez admiratif face à votre performance et jaloux car moi aussi j'aimerais écrire aussi bien que vous... D'ailleurs je vais sans doute passer pour un bêta car je n’ai pas toujours compris le sens de vos vers.... mais l’albatros reste en tout cas un oiseau majestueux, unique et beau, vous avez su le mettre en valeur au travers de vos vers et cela, c'est bien chouette et cool!

Publié le 22 Décembre 2021
3
... Et j'ajoute à mon commentaire les étoiles qui l'accompagnent, et viennent du fond de leur ciel vous féliciter pour votre œuvre et vous invitent à continuer ! Bien à vous -LGA
Publié le 08 Décembre 2021

Les yeux écarquillés, n'en croyant leur iris,
Le cœur se soulevant devant tant de surprise,
Je demeure interdit devant la douce brise
De vos strophes parfaites et vos vers exquis.

Oui, je désespérais, en ces lustres moisis,
Où la règle est carcan, où la rime imprécise
Impose aux yeux bouffis sa balance indécise,
Qu'un poème s'offrît à mes regards ravis.

La règle de Boileau, que nous prisons, Madame,
Semblait agoniser dans cette ère sans âme
Où le vers qu'on dit libre fait force de loi.

Mais voici que surgit, dans sa belle auréole,
La poésie antique en ce morceau de roi
Que vous offrez ici, dont mon âme raffole !

Chère Catherine, je me permets cette entrée en matière pour vous exprimer ma joie de lire de la poésie classique excellemment tournée, loin de cette prose déguisée que l’on nomme vers libre, et qui reflète le soin appliqué à sa recherche tant musicale qu’esthétique. Car, on l’oublie souvent, la poésie se doit de charmer l’œil tout autant que l’ouïe. Et ils sont bien peu nombreux, de nos jours, les poètes qui font l’effort d’offrir à leurs lecteurs des odes dignes de ce nom.
Et voyez, je suis si ravi par la forme que j’allais en oublier le fond !
Car votre Albatros en rappelle évidemment un autre, célébrissime, auquel il fait écho… Me trompé-je en y sentant un cœur désabusé, blasé, et, peut-être à cause des blessures de la vie, sachant se contenter, du bord de sa fenêtre, de montrer à qui veut la douceur d’un sourire ?
Sachez, s’il en est ainsi, que j’y ai avec joie accroché mon regard, et plongeant à l’envi dans le flot de vos rimes, je formule l’espoir d’en découvrir encore !
Poétiquement vôtre
L. Galo d’Arsac

Publié le 08 Décembre 2021