Sublime moment. Je l’ai relue plusieurs fois tellement c’est romantique. Les odeurs, les couleurs et les émotions tout y est. On aurait presque envie d’un deuxième poème, pour savoir si la demoiselle là elle aussi remarqué. Vos poème laisse l’imaginaire ouvert.
@ Pierre D'Arlet. Beau texte bien imagé, nous voyions petit à petit de décors qui se construit dans notre pensée. Et, chemin menant emmène à l'éclosion de l'amour.
@Pierre d'Arlet
Bien évidemment ! Si je les utilise, ce sera de la même manière que j'ai utilisé les vers de Toulet et de Desbordes-Valmore dans la nouvelle que j'ai postée. Et puis vous savez quoi ? La beauté d'un poème ne dépend pas nécessairement de la réputation de son auteur !
Amitiés.
@Hannah Planck
Bien sûr, à condition que de ne pas laisser croire que c'est vous( ou un de vos personnages) qui qui les avez écrits.
Je suis vraiment très flatté par votre demande, quand on pense aux milliers de beaux vers que les poètes français mettent à notre disposition depuis des siècles... !!!
Me citer ne servirait à rien, je suis un parfait inconnu.
Bien amicalement
@Pierre d'Arlet
Bonjour, monsieur. Je viens de nouveau vous embêter, parce que j'ai une demande à vous faire. Je viens d'entamer l'écriture d'une nouvelle (je ne sais pas si j'irai jusqu'au bout ; je ne sais jamais si j'irai jusqu'au bout) et j'aimerais beaucoup vous emprunter (sans que nécessairement votre nom soit cité) quelques vers. Cela est-il possible ?
Je vous salue.
@Hannah Planck
Bonjour Hannah,
Merci de ce commentaire intéressant.
Les deux virgules qui vous dérangent, je les ai mises, enlevées, et finalement remises, à tort ou à raison, pour qu'on comprenne "...murmuraient les rimes de Prévert.." le verbe pouvant être transitif ou intransitif.
"où paissent les moutons" est une proposition descriptive du mot enclos, pas narrative, et à mon avis supporte parfaitement l'indicatif.
Vous pouvez dire indifféremment:
"Je vais à l'enclos où paissent les moutons
J'irai à l'enclos où paissent les moutons
Je suis allée à l'enclos où paissent les moutons"
.(même s'il n'y a pas de moutons dans l'enclos.)
Je vous suggère de compter mes moutons pour bien vous endormir, faire de beaux rêves, et surtout imaginer des textes aussi beaux que celui dont vous venez de nous gratifier.
Blague à part, je vous remercie beaucoup de l'intérêt que vous manifestez pour ce texte.
Bien amicalement
@Pierre d'Arlet
Bonjour, monsieur. Etant actuellement en congé, je profite de mon temps libre pour rendre visite à celles et ceux qui ont eu la gentillesse de laisser un message sur ma page. Ca me paraît la moindre des politesses. J'ai donc lu votre poème et je suis heureuse de pouvoir dire que je l'ai beaucoup apprécié. Je ne vous ferai qu'une remarque que, j'espère, vous trouverez peut-être utile : dans les trois derniers vers de votre troisième strophe, je trouve que votre ponctuation est dommageable, en ce sens qu'elle interrompt à plusieurs reprises le murmure que vous évoquez. D'autre part, ne pas utiliser à cet endroit-là de virgules ne mettrait pas la syntaxe en péril . On pourrait aussi peut-être discuter du présent que vous employez (plutôt que l'imparfait) pour conjuguer le verbe "paître", mais je ne veux pas vous apparaître comme une empapaouteuse de mouches !
PS : J'ignorais les liens de Prévert avec La Hague. Merci d'avoir contribué ainsi à ma culture générale.
@Pierre d'Arlet
J'ai bien compris, allez, que mes compliments vous gênent, il n'empêche que j'ai trouvé ce poème très beau et très bien tourné. Vous savez quoi ? Un jour, il faudra que vous abandonniez l'alexandrin : il y tant d'autres vers plaisants à travailler !
Publié le 13 Septembre 2022
Pierre d'Arlet
Biographie
Je suis Ingénieur de formation, et m'amuse à raconter des histoires.
Quelquefois elles sont...
Ce livre est noté par
@ Pierre D'Arlet. Beau texte bien imagé, nous voyions petit à petit de décors qui se construit dans notre pensée. Et, chemin menant emmène à l'éclosion de l'amour.
@Pierre d'Arlet
Bien évidemment ! Si je les utilise, ce sera de la même manière que j'ai utilisé les vers de Toulet et de Desbordes-Valmore dans la nouvelle que j'ai postée. Et puis vous savez quoi ? La beauté d'un poème ne dépend pas nécessairement de la réputation de son auteur !
Amitiés.
@Hannah Planck
Bien sûr, à condition que de ne pas laisser croire que c'est vous( ou un de vos personnages) qui qui les avez écrits.
Je suis vraiment très flatté par votre demande, quand on pense aux milliers de beaux vers que les poètes français mettent à notre disposition depuis des siècles... !!!
Me citer ne servirait à rien, je suis un parfait inconnu.
Bien amicalement
@Pierre d'Arlet
Bonjour, monsieur. Je viens de nouveau vous embêter, parce que j'ai une demande à vous faire. Je viens d'entamer l'écriture d'une nouvelle (je ne sais pas si j'irai jusqu'au bout ; je ne sais jamais si j'irai jusqu'au bout) et j'aimerais beaucoup vous emprunter (sans que nécessairement votre nom soit cité) quelques vers. Cela est-il possible ?
Je vous salue.
@galodarsac
Merci cher maître pour vos étoiles.
Je vais essayer ce continuer à suivre vos bons conseils.
Bien à vous
@Hannah Planck
Bonjour Hannah,
Merci de ce commentaire intéressant.
Les deux virgules qui vous dérangent, je les ai mises, enlevées, et finalement remises, à tort ou à raison, pour qu'on comprenne "...murmuraient les rimes de Prévert.." le verbe pouvant être transitif ou intransitif.
"où paissent les moutons" est une proposition descriptive du mot enclos, pas narrative, et à mon avis supporte parfaitement l'indicatif.
Vous pouvez dire indifféremment:
"Je vais à l'enclos où paissent les moutons
J'irai à l'enclos où paissent les moutons
Je suis allée à l'enclos où paissent les moutons"
.(même s'il n'y a pas de moutons dans l'enclos.)
Je vous suggère de compter mes moutons pour bien vous endormir, faire de beaux rêves, et surtout imaginer des textes aussi beaux que celui dont vous venez de nous gratifier.
Blague à part, je vous remercie beaucoup de l'intérêt que vous manifestez pour ce texte.
Bien amicalement
@Pierre d'Arlet
J'ai bien compris, allez, que mes compliments vous gênent, il n'empêche que j'ai trouvé ce poème très beau et très bien tourné. Vous savez quoi ? Un jour, il faudra que vous abandonniez l'alexandrin : il y tant d'autres vers plaisants à travailler !