Jean dirige un groupe hôtelier familial fondé par son père. C'est une multinationale dont la gestion est compliquée. La famille est recomposée et vit à Londres, en Suisse, à Paris, sur la Riviera et aux Antilles. Il y a des ambitions, des jalousies et du ressentiment. Les deux filles de Jean et leurs cousins doivent choisir leur avenir, au sein du groupe ou bien à l'extérieur. Jean se sent la responsabilité d'aligner les intérêts divergents. Le moindre faux-pas peut amener un concurrent à mettre la main sur l'héritage. On voyage beaucoup car c'est la vie d'un groupe pan européen. On est accompagné par les banquiers et les avocats. La beauté des lieux qu'on fréquente est effacée par les tensions et les crises. Portant, les sentiments s'expriment, l'humour est possible. C'est la vraie vie.
Ce livre est noté par
@julien marsan @yolaine rivière
Bonjour
Cette semaine, Jungle est en librairie!
L'éditeur a modifié le titre qui est devenu: JUNGLE EN MULTINATIONALE
J'en ai profité pour créer un blog: LA NEWSLETTER DE JEAN-JACQUES D. à laquelle vous pouvez vous inscrire. Vous la trouverez sur le site KESSEL MEDIA. Je posterai quelques bonnes feuilles, des nouvelles et le feedback des lecteurs.
En janvier prochain, le même éditeur a programmé la sortie de LIBRE, sous le titre UN ETRE LIBRE.
Le début d'une aventure...
Bien à vous
JJD
Waouh ! alors ça, c’est un roman à suspens comme je n’en avais pas encore lu. Je n’imaginais même pas qu’une guerre d’actionnaires pouvait avoir un tel enjeu. Vraiment très chouette. Merci ! J’ai dévoré le roman !!
Un roman qui encore une fois m’a beaucoup touchée. Et ce commentaire, je l’ai lu et relu avant de le publier. Un commentaire qui sera un peu long mais vous me donnez l’occasion de dire aussi ma vérité. Je suppose que ce commentaire vous mettra mal à l'aise mais tant pis. C'est ma liberté !
Moi aussi, j’ai travaillé dans un Big For. Humblement, en tant que petite fourmi qui d’assistante juridique est devenue auditrice RH intégrée à l’équipe des fus-ac de Rennes, sous-payée, parce que, entrée par la petite porte et que la règle RH, c’est qu’on ne peut pas accorder un salaire qui correspond à un poste si cette augmentation dépasse un certain pourcentage.
J’ai quitté ce Big Four en ayant compris que la bienveillance et le have fun du management cachait en réalité un management par la peur et la culpabilité de manière à toujours faire retomber les échecs ou les limites sur les petites fourmis. J’ai quitté ce Big For pour intégrer une PME organisée sur un modèle familial. Un autre cabinet d’EC et d’audit qui manageait par… la terreur, la division et l’humiliation. Les collaborateurs m’avaient prévenue quand j’ai commencé à défendre mon équipe : fais attention, c’est inimaginable ce dont ils sont capables.
Toujours est-il que quand la crise sanitaire a débuté, je n’avais plus aucune illusion sur le management à l’américaine. Savez-vous qu’il existait une autre façon de vivre la crise sanitaire ?
Comme tout le monde, j’ai accepté les deux premières semaines de confinement. Et le 30 mars, j’ai éclaté et j’ai levé le poing.
On ne gouverne pas un pays par la peur et la culpabilité.
On n’interdit pas à des personnes en EHPAD dont la vie est finie de recevoir des visites.
On n’interdit pas à des enfants de sortir. On ne cloître pas des parents avec des enfants dans un espace contigu, et encore moins, on les oblige à travailler en gérant la garde de leurs enfants.
C’était une ineptie managériale digne des entreprises : plante tes clous mais sans marteau.
Une de ces décisions débiles de copains d’école de commerce qui décide d’une expérience avec la pensée magique : les salariés y arriveront. Aucun ne proteste donc ils peuvent encore encaisser et puis ils ont trop peur de perdre leur boulot.
Et je suis entrée en résistance sur ces simples valeurs de base de respect de l’être humain.
Puis les décisions absurdes ont commencé à tomber : l’artemisia annua a été interdite alors qu’elle est réputée pour réduire les fièvres et les inflammations.
Alors on interdit des traitements par précaution en laissant mourir les gens ?
C’est quoi ce bins ???
Puis, la censure ne sévissant pas encore, les naturopathes ont pris la parole, expliqué comment renforcer naturellement les défenses immunitaires, pourquoi un virus n’était pas programmé pour tuer !! Sauf s’il avait été modifié artificiellement ! Ben oui, les virus ont besoin de leur hôte pour vivre !
Ces naturopathes ont été traités de gurus sectaires… C’est quoi ce bins ? S’ils aident la population à mieux résister ????
Puis des voix se sont élevées à partir des PV des réunions de l’OMS. NOIR SUR BLANC !!! ouvertement les PV de 2017 expliquaient une pandémie de virus respiratoire avec la volonté, sponsorisée par la fondation Bill et Melinda Gates principal mécène de l’OMS, de créer des pass vaccinaux pour organiser des compagnes de vaccination massive à travers le monde. Soit dit en passant, les autres mécènes de l’OMS sont les industries pharmaceutiques.
C’est quoi ce bins ????
Et puis, à l’été, il y a eu les masques… alors ça… Je crois que c’est un summum de lamentabilité.
En tant qu’ancienne juriste en droit social, j’ai agi rationnellement : j’ai lu la fiche technique des risques professionnels établie par l’INRS sur les masques. Vous savez, ce qui permet ensuite d’établir une éventuelle faute inexcusable de l’employeur en cas d’AT MP.
Et alors là… là… j’ai compris qu’on avait sombré dans l’irrationnel.
Les masques chirurgicaux FFP 1 à 3 sont uniquement antibactériens. Ils n’ont JAMAIS été antiviraux. Pour la bonne et simple raison qu’ils filtrent des particules à partir de 0.6 micromètre… Or, TOUS les virus sont plus petits !!!
C’est quoi ce bins ????
Et puis, il y avait ces études. En 2017, 60 000 morts de la grippe en cinq semaines !!!! Dans le silence général. C’était normal. On avait ensuite étudié l’impact du masque… pour conclure à son inefficacité.
Le virus de la grippe : 0.4 micron. Pas filtrés.
Or, le coronavirus : 0.2 micron.
Du pur rationnel mais là, ceux qui l’ont dit ont été traités de complotistes.
Or à l’école, c’est celui qui dit qui l’est. Et ces dirigeants gouvernaient avec une mentalité et des réflexes d’enfants (manichéisme)… anguilles sou roche.
Et il y a eu les tests PCR. Alors là, grand moment d’irrationnalité. Avec des tests PCR, il faut savoir que nous avons tous le SIDA car c’est uniquement à des fins anthropologiques pour savoir si un cadavre a été en contact avec certains types de virus.
Par ailleurs si la dissolution est trop élevée, on fausse tous les résultats. Un scientifique trouve un de mes cheveux sur vous. Est-ce votre cheveu ou le mien. Si en multipliant par x, on arrive à une masse de cheveux usuelle : c’est donc votre cheveu.
C’est le raisonnement absurde qui a été fait pour les tests PCR.
C’est quoi ce bins ???
Et puis… le rideau s’est levé. En 8 mois, des vaccins à ARNm étaient préparés.
Bon alors, revenons un peu à moi : un virus inactivé qui sert de porteur à une réinformation génique pour modifier le fonctionnement d’une cellule, c’est juste la base d’une thérapie génique !!! Et je le sais, car on voulait me la proposer pour mes yeux.
Sauf que dans une thérapie… on demande aux cellules humaines de produire du matériel HUMAIN.
Or là… on demande à la cellule de produire du matériel NON humain.
Et ça, ça s’appelle une hybridation !!!!!!
C’est quoi ce bins ?
Et on nous interdit d’en discuter ?
C’est quoi ce bins ???
Les documents d’autorisation de mise sur le marché de l’agence européenne sont en libre accès sur internet. Les phases de tests ne sont pas terminées. On autorise en urgence.
On autorise en urgence une expérimentation de masse d’hybridation génique alors l’Artemisia annula, connue depuis la nuit des temps, a été interdite ????
C’est quoi ce bins ???
Pire, les documents montrent noir sur blanc que la substance expérimentale se retrouve dans le cerveau, le cœur, les reins, les ovaires et les testicules.
Et on injecte les gens en âge de procréer ? Et on injecte les femmes enceintes et les fœtus alors qu’elles n’ont même pas le droit de prendre de la gelée de paraffine, donnée aux enfants, quand elles sont constipées ?
C’est quoi ce bins ???
Et alors là… là… là… je m’arrête car la suite est digne du meilleur film hollywoodien.
Et TOUT est en libre accès sur internet.
Et juste : on a exclu, insulté, humilié, privé de ressources, privés de droits économiques et sociaux les suspendus. Le même traitement a été appliqué à ceux qui ont refusé de s’hybrider.
Et la population entière a accepté, s’est tue. Alors qu’il n’y avait aucune sanction.
Les gouvernements ont juste, juste activé… la culpabilisation par le regard de l’Autre pour obtenir l’obéissance.
EXCEPTIONNEL.
Mais je vous jure une chose, c’est que depuis, ils ont recommencé. Avec une seule arme, une seule menace : l’opinion médiatique par des médias entièrement contrôlés. EXCEPTIONNEL.
Et c’est uniquement la méthode de management des cabinets de consultance à l’américaine qui a été utilisée. EXCEPTIONNEL.
Aujourd’hui, par tous les artifices, on tente de cacher les ravages économiques de cette plandémie qui tuera les entreprises plus que les humains et fera sombrer ces derniers dans la pauvreté et la misère. Et tous les pays africains et asiatiques ont géré les patients avec l’artemisia annua et la HCQ….
Vos romans parlent de la liberté. J’ai été libre. Je suis libre. Infiniment plus libre que je ne l’ai jamais été. Libre de m’informer selon les sources que je vais chercher. Libre d’analyser avec mes principes et ma réflexion. Libre de penser. Libre de m’exprimer. Libre d’agir. Jusqu’à me faire exclure du groupe de la majorité municipale qui voulait me pousser à la démission. Libre de créer mon propre groupe de minorité. Libre d’écrire ce que je pense et ce que je dénonce dans la revue municipale. Libre d’avoir été suppléante aux élections législatives. Libre aujourd’hui de dénoncer les abus de l’OTAN. Et un quart de ma famille ayant été yougoslave, des abus, il y en a à la pelle. Tout comme j’ai toujours été libre de dire à mes chefs ce que je pensais. Mais c’est sûr : je n’ai jamais voulu le pouvoir. Être désintéressée, c’est aussi ma liberté.
Bonsoir Julien
Vous y êtes! Mon idée était de faire pénétrer le lecteur au sein d'un groupe familial avec ses vrais problèmes. Je suis heureux que le milieu décrit soit crédible. D'ailleurs le sujet des accords d'actionnaires est techniquement exact.
Cela n'empêche pas le romanesque (je l'espère). Par contre j'ai pensé inutile de faire dans le compassionnel, le sordide et le salace car cela n'aurait apporté que du convenu alors que mon sujet était plus original.
Aux dernières nouvelles, le livre devrait être en librairie en septembre.
JJ Dayries
C’est "la firme" en plus familial, en plus gentil, enfin au début. On a l’impression que vous parlez de votre propre vie tant les faits sont crédibles. Au dépens peut-être un peu du roman, c’est-à-dire une littérature dans laquelle on s’évade. Mais comme vous le dites, c’est la vraie vie, et à part aller en vacances une fois par an, on ne s’évade pas beaucoup dans la vraie vie !