Élise, assistante parlementaire de vingt-neuf ans, n’a jamais aimé choisir. Elle s’est toujours laissé porter par le cours des choses au point de travailler pour un ancien ministre qu’elle surnomme Herr Goebbels. Même l’amour lui est devenu indifférent. Ce qu’elle aime le plus ? La tranquillité et un bon livre au coin du feu mais, un jour, encouragée par ses amis, Vivienne, amazone contemporaine décomplexée et Mahaut, son séduisant collègue à la bonne humeur contagieuse, elle accepte de partir en vacances, aux États-Unis avec deux « presque » inconnus, Shazad et Gabriel. Là-bas, leur complicité les mènera sur un chemin qu'elle n'avait jamais envisagé. De retour à Paris, ce sera l'heure des choix pour Elise, des choix auxquels elle ne pourra pas, cette fois, échapper.
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L'ancien proverbe dit que: les voyages forment la jeunesse. L'histoire du roman prouve que le changement de l'environnement induit un changement des idées. En plus, le voyage en groupe aide à mieux connaître les amis qui nous accompagnent. L'environnement peut mener vers la routine qui tue nos âmes, mais les voyages nous incitent à évoluer!!!
Merci beaucoup @MinaTwig, vous venez d'illuminer mon week-end ! J'avais envie d'écrire un roman chick-lit avec pour seule ambition de détendre et visiblement j'y suis parvenue avec vous. Concernant les clichés, j'en voulais encore plus mais d'après mon entourage il y en avait déjà suffisamment pour le nombre de pages ;-) Perso, je préfère la charcuterie au chips... Merci encoooooore !!!
@Michel CANAL Merci beaucoup Michel pour ce commentaire auquel je suis particulièrement sensible. Je vais évidemment tenir compte de vos remarques et corriger le manuscrit. Votre bienveillance, votre oeil aiguisé et votre analyse de TROIS constituent une aide précieuse que j'apprécie énormément. MERCI beaucoup !!! A bientôt..
@Ann LIERE, une histoire que j'ai eu plaisir à savourer de bout en bout, qui correspond parfaitement au genre que vous avez annoncé : roman feel good. C'est à dire "qui peut avoir un effet bénéfique et être un vecteur de véritable changement dans la vie des lecteur".
Il était plus difficile de lui trouver un titre. Finalement, celui que vous avez choisi est pertinent pour qui aura lu l'histoire d'Elise et celle d'autres personnages de ce roman.
La force de ce roman est d'avoir brossé plusieurs sujets sociétaux dans l'air du temps (que je ne dévoile pas, laissant aux futurs lecteurs le soin de le découvrir).
Le style est plaisant, traité une finesse d'esprit qui résulte de votre formation, en accord avec la singularité des personnages, leur vocabulaire adapté à la fois à leur personnalité, à leur profession, et aux circonstances. Vous avez su, en prime, introduire un humour bienvenu.
Par contre, chère Ann, il reste beaucoup à faire pour mieux structurer ce long roman et en faire un écrit abouti (je vous dirai tout cela en aparté).
Cordialement. MC
@J-Pierre LAURIER Je viens de vous envoyer un mail... A très vite.
...Je viens de me connecter avec cet autre compte et j'ai lu votre réponse. Ouf ! J'avais tellement peur ! Me voilà rassuré car l'interprétation des mots, à travers un message, n'est pas toujours celle à laquelle on s'attend. Nous nous sommes compris, c'est le plus important.
Je profite de cette tribune ... J'ai aussi écris un roman mais j'ai énormément de doute sur mon écriture et n'ose pas le publier, pas tout de suite et pas sans l'avoir "soumis " à quelqu'un que je connais pas, loin du cercle bienveillant à qui je demande son avis habituellement.
J'ai laissé mon adresse @mail à la fin de mes deux nouvelles publiées sur ce site et si vous acceptiez de le lire, je serai heureux de vous le transmettre...
@J-Pierre LAURIER Avant tout, je voulais vous remercier d'avoir pris le temps et la "peine" de lire TROIS. J'y suis très sensible. Je comprends parfaitement votre ressenti et je vais, sûrement, vous surprendre, je partage votre vision de la relation amoureuse. TROIS est une fiction sur la protéiformité de l'amour. Un regard sans jugement sur la manière dont chacun trouve sa voie sentimentale aujourd'hui. J'ai bien conscience que suivre la formation d'un trouple peut paraitre provocateur même s'il ne s'agit pas d'un sujet récent (Max Ernst, Paul Éluard et Gala ou Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir et Olga Kosakiewicz en sont des exemples), Sans être un « modèle » amoureux courant, il n’en demeure pas moins davantage visible. Pour info, la Colombie a même autorisé le mariage à trois en 2017. Le ton cru et le comportement "débridé" de certains des personnages ne sauraient masquer leur quête d'être aimés sincèrement même s'ils empruntent des chemins différents des nôtres. Peut-être, n'ai-je pas réussi, à vous transmettre cette dimension et je le regrette. Tout comme je regrette de ne pas avoir su vous divertir un peu car je dois bien l’avouer TROIS n’a pas de véritable ambition littéraire, il se range davantage dans le genre du chick-lit. Quoi qu’il en soit merci encore pour votre commentaire très utile.