En regagnant son domicile après son voyage, Bazoukoula Pascal trouve dans un tiroir de sa commode une enveloppe kaki qu'il n'y avait pas laissée avant son voyage de Mouyondzi. Elle contient une lettre anonyme et des graines des plantes. La lettre dit en une seule phrase : « Vous mourrez si vous ne quittez pas cette maison dans des conditions inattendues. » la maison dont ce jeune vit, est celle de son oncle. Commence alors un long monologue tissé de souvenirs, d'interrogations sur le vécu et les pratiques sociales, culturelles et religieuses en cours, de projections dans l'inconnu, de silences forcés et de découvertes troublantes. L'auteur nous révèle la complexité de l'âme humaine dans un style tantôt inégale tantôt injuste .
L'homme est né juste, mais la nature lui a corrompu.
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Je redécouvre avec plaisir ce français d’Afrique, toujours châtié, poétique, chantant. Vous devriez cependant relire, faire relire, il manque des mots, des ponctuations. Bien sûr on les devine, mais cela rend la lecture un peu fastidieuse. Cela vaudrait le coup, vous avez un résumé bien intrigant.