@Eric M
Très touché par votre commentaire qui est la quintessence de ce que j'ai voulu exprimer dans ce texte, style elliptique ajoutez-vous, c'est aussi ce que j'ai voulu faire, laisser entre les espaces une place au lecteur, témoin déconcerté et perplexe devant l'avancement de notre démocratie. Merci.
Le premier détonateur dramatique de ce roman fait penser au suicide de Pierre Bérégovoy, premier Ministre de François Mitterrand. Son style fluide et elliptique et surtout le ton évoquent avec efficacité la prosternation des hommes politiques devant les lois de l'audiovisuel. Ils se sont dénudés, exhibés et ont vendu leur âme au graveleux et au grossier. Dans une vaste métaphore, ce roman pousse cette logique à son paroxysme : le cynisme et le crime. Sa lecture est hygiénique.
@MartinM
Voici un commentaire qui me fait très plaisir. D'un sujet plutôt sérieux, je désirais un traitement décalé, ironique, corrosif, et c'est exactement le résultat que vous me confirmez. Un grand merci.
Ah oui, très étrange… Pas le récit, probablement pas tant fiction que ça, mais la manière, cet espèce d’humour décalé que vous entretenez, comme si l’ironie était l'évidence de ce monde là. Ça m’a troublé, dérangé, et probablement perturbé ! pour suivre le cours de votre perception perspicace.
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Bonjour Cortex, merci pour le commentaire sur l'Aumakua, le roman du grand requin blanc !
@Eric M
Très touché par votre commentaire qui est la quintessence de ce que j'ai voulu exprimer dans ce texte, style elliptique ajoutez-vous, c'est aussi ce que j'ai voulu faire, laisser entre les espaces une place au lecteur, témoin déconcerté et perplexe devant l'avancement de notre démocratie. Merci.
Le premier détonateur dramatique de ce roman fait penser au suicide de Pierre Bérégovoy, premier Ministre de François Mitterrand. Son style fluide et elliptique et surtout le ton évoquent avec efficacité la prosternation des hommes politiques devant les lois de l'audiovisuel. Ils se sont dénudés, exhibés et ont vendu leur âme au graveleux et au grossier. Dans une vaste métaphore, ce roman pousse cette logique à son paroxysme : le cynisme et le crime. Sa lecture est hygiénique.
@MartinM
Voici un commentaire qui me fait très plaisir. D'un sujet plutôt sérieux, je désirais un traitement décalé, ironique, corrosif, et c'est exactement le résultat que vous me confirmez. Un grand merci.
Ah oui, très étrange… Pas le récit, probablement pas tant fiction que ça, mais la manière, cet espèce d’humour décalé que vous entretenez, comme si l’ironie était l'évidence de ce monde là. Ça m’a troublé, dérangé, et probablement perturbé ! pour suivre le cours de votre perception perspicace.