Les années d'or

@pierred'arlet
Merci Pierre pour ce beau commentaire. Malheureusement, et ceci depuis un entêtement de plusieurs années, aucun éditeur n'a été intéresse par mes histoires! Heureusement qu'il y a les cher(e)s lectrices et lecteurs de Montbestseller!

J'ai lu votre livre il y a quelques semaines, et ne l'ai pas oublié. Je l'ai lu peu de temps après avoir lu une saga de ce type qui se déroulait en Sicile, et ce livre avait un certain succès. Votre ouvrage n'a rien à lui envier et devrait pouvoir être largement édité pour le bonheur des lecteurs. J'aime votre style fluide, simple, qui nous fait côtoyer des personnages attachants. Très bon livre.

@Delpopolo Antonia Bonjour, je n'ai pas encore reçu aucun commentaire sur l'extrait de mon roman court, je ne sais pas pourquoi. (Il n'y a même pas de téléchargement.)

@jean Daigle-Roy
Cher Jean, vous avez remarquablement synthétisé ce qui fait "l'âme corse" comme on dit dans l'île. Ce mélange, parfois cette lutte, entre respect des sacro saintes contraintes sociétales et la volonté de s'y soustraire pour construire sa propre vie envers et contre tout. Et la force d'y réussir. Je suis vraiment très intéressée par le parallèle que vous établissez avec vos compatriotes et les miens. Je ne connais du Québec et de ses habitants que le si sympathique portrait que l'on fait de leur chaleur humaine et de leur fraternité. Comme beaucoup j'ai été et je suis encore bouleversée par les textes de G.Vigneault, F.Leclers ou R.Charlebois, bref ce que peut connaitre "une femme ben' ordinaire". Je regrette sincèrement ne pas en savoir plus. Merci, encore merci de votre intérêt

@Delpopolo Antonia. Antonia, j’aimerais ajouter un élément à mon précédent commentaire. Malgré le carcan social qui pesait sur la Corse au XIXe siècle, époque où se situe votre récit, les personnages que vous mettez en scène évoluent. Les fils s’opposent aux décisions de leurs pères, lorsque celles-ci engagent leur avenir. Les femmes de la famille influencent avec tact et intelligence le cours des choses. Le courage n’y est pas l’apanage des figures patriarcales. Les changements qui transforment, pas à pas, cette société insulaire proviennent certes, en partie, de l’extérieur, mais ils puisent surtout leur force au cœur même des caractéristiques inhérentes à la communauté corse. J’oserais une comparaison. L’élan paradoxal qui a permis au peuple québécois, dont je fais partie, de réaliser une « révolution tranquille » plonge ses racines dans l’ADN même de notre histoire. Ce dynamisme de nos sociétés respectives est source de métamorphose et, partant, d’espoir.

@jean Daigle-Roy
Je ne sais vraiment pas quoi dire après un commentaire aussi touchant et élogieux. Je suis très émue de vous savoir touché par cette histoire familiale qui est la mienne et par cette terre orgueilleuse et pourtant farouchement tendre que l'on connait si mal. Merci cher Jean, merci du fond du cœur.

Antonia, permettez-moi un jeu de mots facile : qui ne connaît la Corse et « l’écorce » rugueuse de ces insulaires farouchement arcboutés aux implacables impératifs de l’orgueil, de l’honneur, du courage? Vous déployez sous nos yeux une fresque sociale impressionnante, qui nous ouvre les secrets enfouis derrière la sévère retenue de ces hommes et de ces femmes énigmatiques. Vous explorez l’infinie diversité de l’île de Beauté avec un talent exceptionnel pour la description, entrecoupée de dialogues souvent sobres, à l’image de vos personnages, ou empreints de sagesse et de réflexion, comme en fait preuve l’attachante figure d’Antonia, votre homonyme. Je ne peux que vous laisser la parole, en reprenant votre évocation de la mer qui enserre la Corse, sublime métaphore du destin de ses habitants : « La Méditerranée joue, auprès des hommes qu'elle entoure, son rôle ancestral : elle promène, dans ses eaux plates, leurs rêves de beauté et d’exotisme mais fracasse dans la folie de ses tempêtes inattendues, leurs espoirs de conquêtes. Tantôt désirable, tantôt destructrice au gré de ses humeurs, elle protège à les étrangler ses îles perdues dans le bleu assassin de ses eaux capricieuses. » Bravo pour cette œuvre admirable! Je m’empresse, Antonia, de me plonger dans Les mondes contraires, roman qui fait suite aux Années d’or!

@laulaula. D'abord toutes mes excuses pour cette réponse tardive mais j'ai eu un problème de réseau informatique. Et surtout merci, merci beaucoup pour ce commentaire qui me va droit au cœur. En effet marcher ainsi dans les traces d'ancêtres que l'on n'a pas connus demande du travail, certes, mais c'est aussi un long chemin de mémoire plein d'émotion pour tenter de leur redonner vie et, parfois, dignité. Merci d'y avoir été sensible. J'espère que le deuxième tome: de cette saga, Les mondes contraires, que je viens de mettre sur le site vous apportera autant de plaisir

Une extraordinaire saga familiale qui noue et dénoue au fil des générations, les alliances, naissances, décès de plusieurs familles Corses. Bravo Antonia, je ne sais pas comment vous avez reussi ce tour de force de faire vivre toutes ces existences en les ancrant si bien dans leur vie quotidienne mais aussi dans la grande histoire, jusqu'à reconstituer leurs pensées, leurs paroles et leurs actes et leur décor. En même temps nous revivons ces époques où periodes de calme et de guerres ou d’épidémies se succèdent avec pourtant toujours le même attachement à la vie et aux siens. Remarquable ! Je n'ose imaginer tout le travail de recherche, en plus de celui d'écriture qui a sans doute été nécessaire pour façonner cette saga ! Merci Antonia, au plaisir. Laurence

@Delpopolo Antonia félicitations pour cet ouvrage qui m'a l'air intéressant.

Le résumé donne déjà envie d'en savoir plus sur l'histoire.

@ChrisMartelli. Merci, merci encore, tout d'abord d'être une si fidèle lectrice, puis de votre commentaire si encourageant. Je suis touchée que cette histoire familiale vous ai intéressée et j'espère que le deuxième tome vous apportera peut-être ce surplus d'émotion qui vous a manqué ici. Mais je ne promets rien!

@KatyF87
Merci de votre intérêt, je vous souhaite une bonne lecture. Du moins je l'espère!