Jean Daigle-Roy

Biographie

Après une tournée panoramique de notre planète au fil des trois derniers millénaires de l’histoire (Les Arabesques), après une exploration spirituelle de cinq générations d’une lignée féminine (Hymne à la liberté de Dieu), je vous avais entraînés en plein quinzième siècle dans un polar médiéval (Le concile de 14-18), puis projetés en 2063 dans un roman policier (Phœnyxx). Qu’à cela ne tienne, replongeons en arrière, dans un cinquième siècle franchement burlesque, avec Les cassandreries érotiques de Sainte Thérèse d’Attila. Âmes pudiques, s’abstenir!

Jean Daigle-Roy a noté ces livres

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@catarinaviti. Merci, Catarina, pour cet outil indispensable aux novices en Instagram. J’éprouve un sentiment partagé par rapport aux réseaux sociaux, dont les dérives ne nous révèlent pas la plus belle part de l’humanité. En revanche, la création de mon compte Instagram, en vue de participer à l’effort de promotion de monBestLibraire, m’a permis d’explorer des facettes inattendues de mon recueil de contes et de nouvelles. J’y ai puisé une source d’inspiration pour mes écrits à venir. J’ai pu également découvrir une solidarité avec les autres écrivaines et écrivains, engagés dans ce projet commun. Encore une fois, merci! J’ai hâte de lire tes prochains tutoriels.
Publié le 04 Octobre 2025
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@Christian Gros. MONSIEUR Bonnebeau n’était certes pas un Tartarin de Tarascon, mais son étrange plongeon dans l’univers si pittoresque de Madagascar n’avait rien à envier aux aventures prodigieuses du bouillonnant provençal. . Christian Gros, l’auteur du roman Le syndrome du caméléon, prend tout d’abord la peine de bien camper ce personnage : directeur des ressources humaines de l’entreprise pour laquelle il travaille, François Bonnebeau – que ses collègues de bureau avaient surnommé Bonobo – « n’était pas raciste, non, mais il n’aimait ni les arabes, ni les noirs ». Son attitude, qu’on pourrait qualifier de malhabilement tyrannique envers ses employés et ses enfants adolescents, nous prédisposait à découvrir avec délectation les avanies auxquelles il allait être confronté lors d’un voyage d’affaires, imposé par son patron, dans l’île de Madagascar, infestée, selon ses pires cauchemars, par « des crocodiles énormes, des araignées mortelles, des serpents sans fin terriblement constricteurs ». . Heureusement, pour ce cher Bonobo, les Malgaches, certes gouailleurs et profiteurs comme partout ailleurs sur la planète, se révéleront d’une bienveillance légèrement moqueuse à son égard. Puis, un de ces jours, il arriva à François Bonnebeau une aventure singulière… N’anticipons pas, cependant, ne me demandez pas de divulgâcher le secret du syndrome du caméléon, ce savoureux roman par ailleurs bien documenté par l’auteur, qui mène chaque année des missions humanitaires médicales à l’île rouge. Non, n’anticipons pas… mais quel dénouement!
Publié le 27 Septembre 2025
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Témoignage poignant. Extrême sensibilité, incompréhension face aux codes sociaux. Soif d’apprendre aussi, imagination fertile d’une enfant qui s’invente des histoires formidables avec ses figurines de dinosaures. Par petites touches successives, un lien intime se tisse, paradoxalement, entre le lecteur et cette petite fille désarçonnée par ses difficultés à créer des liens avec les autres. Progressivement, un mur s’érige. École, collège, lycée : les interactions sociales tournent au cauchemar. Bientôt, aux approches initiales infructueuses succèdent, de la part des autres élèves, de la moquerie, du rejet, de l’hostilité, de la méchanceté, voire de la brutalité. Ce sera une longue descente aux enfers. Pourtant, ici et là, des rayons de lumière tentent de percer : « Dans le monde réel, j’ai trouvé un univers où je me sens réellement épanouie : les animaux. Dans ce monde, je suis parfaitement heureuse. » … « Quand on me met un microscope en mains, je suis en transe. » … « En écriture, je fais ce que je veux. Pas étonnant que j’y prenne du plaisir. » … « Je m’accroche à mes chansons préférées. » . Permettez-moi de faire un rapprochement avec un personnage de mon recueil L’Arche aux Arabesques : Tian, un marchand chinois du cinquième siècle avant notre ère, entreprend, depuis la Chine jusqu’à la Méditerranée, un long déplacement semé d’embûches, mais aussi de rencontres initiatiques. Tout au long de son parcours, il prend soin d’entretenir la modeste lampe qui éclaire son chemin, n’hésitant pas à chaque étape à permettre aux voyageurs, pèlerins ou marchands, moins précautionneux que lui, de venir rallumer leurs propres lampes à la sienne. . C’est ainsi que ces rayons de lumière qui parsèment la vie de la narratrice du témoignage Le mur entretiennent, tout au long de son périlleux cheminement personnel, son aspiration au bonheur, au point de pouvoir affirmer : « Toute ma vie a désormais du sens, elle n’est plus si incompréhensible. Et le monde brille différemment. » Merci, Prescillia, pour ce touchant récit de votre part. Je suis persuadé que bien d’autres « pèlerins » pourront y puiser courage et résilience tout au long du difficile voyage de leur vie.
Publié le 21 Août 2025
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Publié le 18 Août 2025
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J'ai été heureux de constater que vous faites partie comme moi des auteurs de la première mouture de monBestLibraire. Je viens de lire l'extrait de votre livre. J'en ai pleinement goûté la belle écriture, avec un sens aigu de la description, ainsi que la présentation magistrale du personnage titre de votre roman. Merci. J'ai voulu tout à l'heure le commander. Malheureusement, pour l'instant, il est impossible de le faire avec une adresse au Canada. je surveillerai le moment où cela deviendra possible. En attendant, félicitations à nouveau!
Publié le 06 Mai 2025

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