Jean Daigle-Roy

Biographie

Après une tournée panoramique de notre planète au fil des trois derniers millénaires de l’histoire (Les Arabesques), après une exploration spirituelle de cinq générations d’une lignée féminine (Hymne à la liberté de Dieu), je vous avais entraînés en plein quinzième siècle dans un polar médiéval (Le concile de 14-18), puis projetés en 2063 dans un roman policier (Phœnyxx). Qu’à cela ne tienne, replongeons en arrière, dans un cinquième siècle franchement burlesque, avec Les cassandreries érotiques de Sainte Thérèse d’Attila. Âmes pudiques, s’abstenir!

Jean Daigle-Roy a noté ces livres

3
J'ai été heureux de constater que vous faites partie comme moi des auteurs de la première mouture de monBestLibraire. Je viens de lire l'extrait de votre livre. J'en ai pleinement goûté la belle écriture, avec un sens aigu de la description, ainsi que la présentation magistrale du personnage titre de votre roman. Merci. J'ai voulu tout à l'heure le commander. Malheureusement, pour l'instant, il est impossible de le faire avec une adresse au Canada. je surveillerai le moment où cela deviendra possible. En attendant, félicitations à nouveau!
Publié le 06 Mai 2025
3
Je me suis laissé surprendre par cette micro-nouvelle, qui a justement mérité un prix lors d'un concours de monBestSeller. Bravo, Philippe!
Publié le 06 Mai 2025
3
Belles métaphores qui illustrent ce cheminement du petit Eliott ; la souffrance et le bébé requin, le silence pourvu d'ailes, la peur, la vague babylonienne et la méduses noire. C'est tout un pèlerinage intérieur qui se déploie radieusement en ce conte. Bravo!
Publié le 15 Avril 2025
3
Bien qu’elles manquent quelque peu de vivacité, les deux premières parties (ICI et LÀ-BAS) rappellent les riches et vastes mises en scène de Marcel Proust et de certains romanciers du XIXe siècle. Pour ma part, je me suis laissé captiver par le récit de Pépé Lucien, au fil du troisième chapitre (PARTOUT), personnage relayant les propos de sa bisaïeule Mémé Étiennette. L’intrigue se noue, entrelaçant ces réminiscences mémorables d’un lointain passé aux aventures fantasmagoriques vécues par l’héroïne, Ophélie, au cours de la nuit précédente, perdue dans une forêt enchantée. Le dernier chapitre (AILLEURS) s’ouvre sur une très belle évocation nimbée de poésie, puis nous entraîne dans une course effrénée, à la poursuite d’un dénouement qui pourrait nous fournir une explication crédible à l’univers étrange dans lequel Ophélie est plongée. Très belle écriture. Un certain nombre de fautes d’orthographe; ici et là, quelques structures grammaticales défectueuses, rien de bien conséquent que détecterait aisément un excellent correcteur tel que le logiciel Antidote (qui s’intègre de façon conviviale aux logiciels de traitement de textes). Bravo! J’ai hâte de lire d’autres textes de votre main.
Publié le 23 Mars 2025
3
Très intéressant. Je me suis rapidement pris d’affection pour le brave commandant Uzel Marzin. J’ai dévoré votre récit – trop bref, hélas! – avec un intérêt grandissant. La conclusion est bien trouvée, inattendue et pourtant en accord avec le thème. J’anticiperais une suite, où ce serait au tour d’Hortense de se porter au secours de son sauveteur. Comment cela serait-il possible? Je vous fais confiance pour trouver une réponse à cette interrogation. Après tout, l’amour, dit-on, déplace des montagnes.
Publié le 20 Juin 2024

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