L'almanach noir - chronique dahoméenne -

451 pages
Extrait
de Marc Girot
L'almanach noir - chronique dahoméenne - Marc Girot
Synopsis

AVERTISSEMENT: J'ai converti le format de ce livre de A4 à A5. Concrètement, en multipliant par deux la dernière page lue, vous devriez retrouver le fil du récit. Désolé pour ce désagrément qui vise néanmoins à donner plus de fluidité à votre lecture. En espérant que ce soit réussi ...

Dans les années 1930, les tribulations d'un jeune dahoméen, de la Côte des esclaves aux allées de l'Exposition coloniale universelle, entre vaudou et catéchisme, entre les Amazones du roi Behanzin et la "pax colonica", à travers les générosités, les médiocrités et les impatiences de son époque.
Ce livre se présente sous la forme d'un almanach. Il s'agit ici de la première partie qui court de mars à août. La seconde sera en ligne mois après mois à partir de septembre et s'achèvera au mois de février.

Publié le 21 Juin 2024

Les statistiques du livre

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Ce livre est noté par

7 commentaires , 2 notes
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@Annie Pic
Merci Annie pour l'attention que vous avez apporté à l'Almanach. C'est quelque chose qui m'étonnera toujours, cette attention sur deux ou trois mots qui errent parmi les myriades de mots qui sont prononcés chaque jour dans notre société bavarde. Merci aussi pour votre bienveillance. Des compliments dont vous avez eu la gentillesse de me gratifier, celui qui me touche le plus est celui d'humanité. Face à ce type de compliment, je l'avoue, j'abandonne toute humilité. J'aime croire qu'il est fondé. Oui, j'aime les gens - c'est quelquefois incompréhensible.
Parmi toutes les prétentions qui m'affligent, vous avez, comme Zoé, touché juste.
Peut-être vous rappelez-vous nos échanges sur " l'origine des mondes" et "les portes de corne et d'ivoire"? Pour ma part, je m'en souviens encore. De votre lecture toute en finesse, de votre regard tout d'indulgence. J'ai plaisir à les retrouver ici.
Tout cela me donne envie de retourner à vos œuvres. Pour l'heure, je me consacre à celles de Zoé. Je reviendrai vers vous.
Bien amicalement, Marc

Publié le 06 Novembre 2024
3
Bonjour Marc Girot / D'une plume tout en finesse vous révélez une poésie des mots, à couper le souffle. Vos phrases sont ciselées et transpirent une humanité presque tangible. Pour le jeune Tiko, quitter sa terre natale s'avère être un déchirement, et dans un panel d'émotions, vous écrivez au fil des pages, comment l'enfant s'éloigne peu à peu d'un monde presque au ralenti, pour découvrir l'apprentissage de la vie. Marc Girot, vous apportez une vision exacerbée sur le début du siècle dernier, quand les a priori étaient légions sur les peuplades nègres jugées primitives, vos personnages sont très touchants et la qualité de votre œuvre est indéniable. Bravo pour cette chronique Dahoméenne riche en détails, pour la somme de travail et les recherches effectuées. Amicalement, Annie
Publié le 02 Novembre 2024

@Marc Girot À mon tour de ne savoir que répondre à la lecture de vos compliments, cher Marc.
Quant à "Le désert est féminin", tel que vous l'amenez dans votre roman, oui, c'est réellement l’un des plus beaux compliments que l’on puisse faire à notre genre, le clin d'oeil associé et sa touche d'humour relevant des difficultés à le recevoir sans modestie ni pudeur.
J'ai hâte de lire la suite, aussi je vous souhaite bon courage.
À très vite, je l'espère.
Amicalement,
Mihèle

Publié le 30 Octobre 2024

@ZoéFlorent
Merci, Michèle, pour ce long, ce très long commentaire. Il n'est pas de ces saluts un peu convenus que l'on s'adresse quelquefois de loin. J'y vois une marque d'intérêt qui me touche beaucoup.
Mais qu'il est difficile de faire face à l'éloge !
Hélas, je vous sais sincère. Je me connais, moi, mes œuvres et mes pompes, terriblement imparfait (même si, à des moments d'exaltation, je me prends à aimer mes livres ...).
Alors?
Alors, il y a des personnes qui, par nature, en toute ingénuité, embellissent ce qu'elles voient, lui communiquent de leur charme. Gentillesse? Bienveillance ? Rien de tout ça: la grâce, une délicatesse de pensée. Voilà: je suis convaincu, Michèle, que vous possédez cette grâce. Les commentaires de votre main, qui émaillent la chronique de MBS, en témoignent assez.
Oui, ce n'est pas toujours l'œuvre qui est enchantée mais le regard qui est enchanteur.
Mais que ces regards donnent de force ! Quelquefois, - peut-être avez-vous éprouvé ce sentiment -, l'élan créateur s'essouffle, l'envie s'anémie. Aussi je ne saurais trop vous remercier du regard dont vous gratifiez mon livre au moment où j'entreprends - laborieusement, si laborieusement - l'écriture de la deuxième partie de l'Almanach.
A bientôt le plaisir d'échanger sur vos œuvres.
Bien sincèrement, Marc
PS: vous avez relevé cette phrase: "le désert est féminin". J'ai décelé, dans le commentaire que vous en faîtes, comme une pointe d'ironie malicieuse, une sorte de taquinerie. Ai-je raison ?
Re-PS: merci pour la coquille p315. Je l'ai corrigée.

Publié le 30 Octobre 2024
3
@Marc Girot Bonjour Marc. Me voici pour un retour de lecture, non sans avoir relu le premier chapitre, “Entre ciel et terre”, afin de mieux savourer les promesses de ce beau roman. Un roman que, dans l’esprit du titre de votre “L’air de l’éternité”, vous auriez pu nommer “L’air de l’humanité”, tant les rapports entre les Êtres dans ce qu’il ont de plus beau y sont magnifiés. /// “L'almanach noir, chronique dahoméenne” fait plus que nous dépayser : il fait plonger le lecteur dans un océan de goûts, d’odeurs, de couleurs, de sensations fortes et subtiles. Suivre Tiko, faire connaissance avec le Père Juel, Amédée et Léo, entre autres, ajoute en émotions simples et profondes qui réconcilient avec l’humanité en contrebalançant efficacement les bassesses du colonialisme et du racisme. Dire que l'Exposition coloniale universelle se déroulait il y a moins d’un siècle ! /// Quant à votre plume, qu’en dire sans sombrer dans l’exagération ? Riche, poétique, intense, elle est toujours aussi envoûtante. Les fulgurances sont légion, aussi est-il difficile de faire un tri, mais j’ai particulièrement aimé celle-ci : “Il ne voit que l’enfance qui s’éloigne, comme une main qu’on lâche et qui tombe le long du corps”. / Et puis mention spéciale pour celle-ci aussi : “Le désert est féminin”… L’un des plus beaux compliments que l’on puisse faire à notre genre, je ne pouvais pas passer à côté ;-). /// Félicitations pour ce gros travail de recherches et merci pour ce beau partage dont je suis encore imprégnée, alors que je vous écris. Bonne fin de journée. Amicalement, Michèle
Publié le 29 Octobre 2024

@mambouckou

Merci pour votre commentaire. Je ne suis pas très fan de football mais je lirai avec in grand intérêt votre ouvrage sur la grammaire.
Bien cordialement, Marc Girot

Publié le 14 Juillet 2024

@Loulou PF

Merci pour votre commentaire ... et vos conseils. Pourriez-vous m'en dire plus sur la calligraphie? Faut-il grossir les caractères, aérer le texte, changer de police, etc. ?

Publié le 14 Juillet 2024

Un texte sans aucun doute ambitieux et passionnant, d’une partie d’histoire et de géographie bien mal connues, mais… peu lisible dans cette présentation, il faudrait que vous lui donniez une présentation pour ordi, merci.

Publié le 14 Juillet 2024

Marc GIROT mes félicitations pour votre Roma, qui me parle énormément.

Je l'ai mis immédiatement dans ma bibliothèque pour le lire plus tard.

Par ailleurs, n'hésitez pas à aller jeter un oeil sur mon compte où j'ai publié deux ouvrages.

Merci à vous pour votre soutien et prenez soin de vous !

Au plaisir Marc.

Publié le 03 Juillet 2024
Marc Girot
Biographie

Marc Girot est né en 1956 dans un village du Var. Après une vie de marin, il se consacre désormais à la littérature et à la musique.
Auteur...


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