Dans les rues animées de Douala, Amina, une jeune poétesse camerounaise, mène un groupe d'écrivains dans un petit café. Ensemble, ils fondent "Plumes en Révolution Camerounaise" pour promouvoir la créativité locale et contrer l'influence étrangère. Leur mission : substituer les formes littéraires importées par des expressions authentiquement camerounaises, en réhabilitant les langues locales souvent négligées. Malgré les défis d'un paysage littéraire dominé par l'étranger et les pressions sociales, leur mouvement organise des ateliers, publie des anthologies et inspire une nouvelle génération d'écrivains à embrasser leur héritage culturel.
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@Djodjo GAELLE je viens de finir à l'instant l'ouvrage et j'ai beaucoup aimé l'esprit de solidarité et de détermination dans cet ouvrage. Un ouvrage à lire avec une très grande attention ! bravo à vous.
@Djodjo Gaelle je suis en train de lire votre livre et je dois dire que le sujet m'intéresse particulièrement car étant camerounais d'origine j'aimerai découvrir un peu plus cette littérature camerounaise.
@mambouckou , je vous en prie, je vous remercie infiniment pour votre commentaire et je vous fais également la promesse de vous revenir très bientôt pour un petit rapport sur :les histoires vraies des survivants de l’extrême, vous pouvez compter sur moi là dessus.
@DJODJO GAELLE je vous félicite pour votre roman qui m'intéresse beaucoup. C'est d'ailleurs pour cette raison que je l'ai immédiatement enregistré dans ma bibliothèque de livre pour le lire plus tard.
Je vous souhaite plein de succès et n'hésitez pas à m'apporter votre avis sur mon nouvel ouvrage qui se nomme : les histoires vraies des survivants de l'extrême. J'aimerai beaucoup que vous puissiez me dire ce que vous en pensez.
Bon dimanche à vous et au plaisir d'échanger avec vous !
Bonjour Gaëlle, avez-vous pensé à participer au concours de nouvelles "Le Pont de l'Harmattan" ? Ce que vous exposez dans votre ouvrage est précisément ce que nous recherchons comme textes : une interrogation de l'identité africaine.
Le concours se passe chez vos voisins... au Tchad, oui ! Où nous aussi lançons notre révolution.
Prenez contact avec moi, je vous en dirai plus.
Cordialement, Catarina