ON S'LES JAIL EN PRISON

Aimable Deville vient signaler la disparition de son ami anglais, Robert Collins, au commissaire Trouff.
Son visiteur l’ayant informé recevoir des SMS du disparu, le flic considère qu’il n’y a pas matière à s’inquiéter. Mais Deville ne lâche pas le policier d’un pouce. Sa ténacité finira par payer quand, au fil de leurs échanges, Trouff réalise la fausse interprétation qu’il a faite des messages de Collins car, outre manche, leur contenu revêt un caractère beaucoup plus grave. Après relecture, il s’avère en effet que les mots mis bout à bout alertent sur une situation nettement plus inquiétante, augurant un drame à venir pour l’anglais. Trouff cheminera au gré de lacets, flanqué de son bâton de pèlerin et d’un assistant retord avec pour boussole a pair of tongues.