Celui qui est heureux n’a aucune excuse. Le malheureux a au moins le bénéfice du doute. Pour savoir dans quel camp vous vous trouvez, rien de plus simple. Il suffit de poser vos fesses quelque part. Ecouter le temps qui passe. Et ouvrir les yeux.
Soit vous êtes pris d’une sensation agréable, douceur de vivre et cocotiers. Soit vous êtes saisi d’une angoisse vertigineuse, l’âme qui tremble. Les premiers ne comprendront pas dans quelle langue a été écrit ce livre. Les seconds l’ont déjà lu en quelque sorte. D’où l’idée de mots clefs, susceptibles d’ouvrir quelques portes entre les deux mondes. Sans espoir d’une rencontre. Juste pour faire courant d’air.
Ce livre parle de mes mots clefs.: mort, con, monde, politique, économie, progrès, « susperdu », question, essentiel
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@Oblomovetbartleby (beau programme !)
Permettez-moi de me gausser d'un Zeus qui se gosse ! (façon de dire qu'il est tenté par la paternité ?)...