Je viens de lire votre premier récit, Naraha. Au-delà de la morale de l’histoire, vous avez écrit un poème. Magnifique. Les mystères dont vous entourez chacun de vos personnages, ce qu’ils révèlent sans qu’on ne s’attende à quoi que ce soit, comment ils se révèlent à nous, la pudeur des mots qui traduit bien leur propre discrétion, leur effacement, cette narration au quotidien nourrie de pensées bousculantes, on en oublie ce qui vous fait écrire ce post Fukushima, pour ne retenir que la puissance évocatrice des images que vous créez. Dramatiquement beau.
Publié le 18 Février 2025