Aussi lyrique que diabolique avec sa construction énigmatique, le murmure de la bête vous infligera d'insoutenables maux de tête... Pire qu'une incurable migraine, il y cache la racine de toute haine. Qui diable est cet être sanguinaire et sans visage qui semble tirer les ficelles tapis dans l'ombre depuis le premier meurtre sordide sur le pavé ensanglanté d'un Londres poisseux et traumatisé pour l'éternité du 19ème siècle...
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Très space cette ambiance tout au long de ce récit. Le genre épistolaire conduit à ces longs monologues, très écrits de facto, et parfois un peu rébarbatifs. J’imagine la difficulté d’à la fois construire le suspense et de n’oublier aucuns détails qui peuvent intéresser le lecteur. Mais la forme est vraiment bizarre. D’abord toutes ces typos (vraiment nécessaires ?), dont l’italique bold, j’ai été gênée par ça et me demande comment j’aurais apprécié votre étrange thriller si je n’avais pas été gênée par la forme ?