Automne 1963. Entre le discours de Martin Luther King et l'assassinat de JFK, les jours s'égrènent dans une Amérique en pleine mutation. Russel Evans, un jeune journaliste anglais traverse l'Atlantique pour témoigner de cette période. En empruntant ce chemin il part à la rencontre d'européens partis à la conquête d'une liberté promise. Il s'installe au sein d'une petite communauté de Hoboken où les rencontres se succèdent et les histoires de vie se dévoilent.
Soixante ans plus tard, devenu écrivain, il raconte le destin de ceux qu'il a côtoyés et prend la mesure du lien sordide qui lie certains d'entre eux.
Un récit sur le réel qui transite par le romanesque à l'ombre de la Grande Histoire qui tisse sa toile entre l'Europe et l'Amérique.
Ce livre est noté par
Merci @sandraroussarie. Je suis heureuse de vous avoir fait passer un excellent moment.
@alicehouan merci. A lire votre commentaire, durant quelques instants, j'ai cru que vous parliez d'un autre roman. Mais il s'agit bien du mien. Je crois qu'une fois de plus, ce que j'aime dans le travail de création qui m'occupe, c'est le regard qui est posé dessus. Et vos mots éclairent d'une belle lumière la vie des mes personnages.
Merci @desbordes pour cet éloge flatteur d'une histoire qui m'a tenue trois ans !
Les Yeux de Chester vous tient jusqu'à la dernière page. L'histoire vous attrape et ne vous lâche plus. Vous découvrez des personnages forts et des personnalités bouleversantes. C'est un véritable bouquet d'émotions qui se déploie au fil des pages.
Merci @pvp de votre commentaire. Je suis ravie que vous ayez apprécié mon roman.
J’ai découvert « les yeux de chester » grâce à un ami. Et j’ai aimé ce roman car je l’ai lu jusqu’à la dernière page. Dans le décor d’un quartier de New-York, au début des années soixante, les personnages se croisent, se découvrent. Des histoires de vie se révèlent et l’apparition de Chester nous plonge dans un univers sordide et la fin du roman nous révèle le terrible secret des yeux de Chester. J’ai aimé le style de l’auteur, la justesse de ses références historiques, la description de la vie d’Hoboken à travers des personnages réunis autour d’un vieux monsieur, Herman, et la singularité de ce roman qui pourrait parfaitement se transposer sur un écran. Je vous conseille vivement la lecture « des yeux de chester »