
A la suite d'un burn-out professionnel, Lya n'a plus goût à rien. En arrêt maladie, recluse dans son appartement, personne ne semble pouvoir l'aider, et surtout pas Sylvie, sa mère, qui pense que tout est une question de volonté. Les circonstances vont amener Lya à devoir demander de l'aide à Emilie, l'amie à qui elle n'a pas donné signe de vie depuis des mois. Cette dernière va alors proposé à la jeune femme de partir avec elle en vacances. Lya décline, mais un évènement aussi inattendu que bouleversant va lui faire reconsidérer sa proposition et l'amener en Bretagne. Ses hôtesses, Jo et Moune, leurs petits-enfants, Vincent l'épicier, sans oublier Emilie et son fils Léo vont se révéler de précieux alliés pour l'aider à partir doucement à la conquête d'elle-même.
Ce livre est noté par
@Judith Le Ribaut
merci infiniment Judith ! Je suis ravie que cet extrait vous ai plu.
@laurenBack
merci beaucoup pour ce commentaire et votre ressenti. C'est ce qui nous permet aussi d'avancer et d'oser davantage.
Très bien vu, décrit, montré, cette maladie qui n’est pas vraiment reconnue, acceptée, mais qui mine, une bombe à retardement. Et la progression, les hauts les bas, les relations avec les autres personnages, oui, bien vu. Manquent sans doute pour moi, à la fois l’empathie qui fait que l’on s’attache à elle tout de suite, à sa cause, à son combat, et, et sans doute c’est lié, au fait que l’on espère la fin programmée, ou au contraire que l’on redoute la fin programmée… quelque chose qui rende presque angoissant le chapitre d’après. En même temps, difficile sur un extrait, fût-il long, d’être catégorique.
@VERNON Anthony
merci infiniment Sophielou (LOL, comme on disait autrefois) !
@Thalie Denay, commentaire déposé sur Amazon par "Sophielou". Tous mes vœux de succès !
@VERNON Anthony
encore merci Anthony pour cette analyse et votre générosité. J'ai déjà lu deux ou trois livres de Virginie Grimaldi effectivement, et je vois ce que vous voulez dire. Me concernant, j'ai l'impression qu'on peut difficilement faire abstraction de qui on est quand on écrit (je parle pour moi bien sûr) et les gens qui me connaissent, me retrouvent dans ma façon d'écrire. Du coup, j'ai bien du mal à me départir de mes petites touches d'humour. Quant à savoir si je ressemble à Lya, je vais peut-être vous décevoir, mais pas du tout. Par contre, la p'tite dévergondée qui lui tient lieu de copine est un mélange de gens de mon entourage avec un zeste de moi.
J'ai eu un doute quand il a fallu choisir une rubrique pour classer ce texte, mais d'après ce que vous dites, je ne me suis pas trompée, ouf ! Je craignais de décevoir les amateurs de ce genre littéraire.
Merci aussi pour votre remarque sur l'erreur de prénom ! On a beau se lire et se relire encore, il y en a toujours une qui nous échappe. Surtout dans les prénoms : quelle plaie ! J'ai beau faire des listes, je m'y perds encore. J'ai entendu Pierre Lemaître dire qu'il passait sans doute plus de temps à réécrire qu'à écrire, hé bien, ça ne m'étonne pas !
Accepteriez-vous éventuellement de me laisser un commentaire sur Amazon ? Je ne me formaliserai pas si vous n'y tenez pas, ne vous en faites pas. C'est toujours délicat à demander ce genre de chose, surtout quand on ne se connait pas.
Je vous retrouve bientôt pour échanger sur votre texte, amitiés
Une petite erreur s'est glissé page 133 : Pablo ne peut pas être garçon d'honneur à son mariage, je crois plutôt que c'est Léo ! C'est un détail, mais cela prouve, si besoin, que j'ai lu votre roman avec attention !
@VERNON Anthony,
Merci beaucoup Anthony !
Voilà qui me va droit au cœur. Je prends, même si la suite vous plaît moins.
Je m'en vais moi aussi vous lire. Pardon si je suis un peu lente à faire un commentaire en revanche, j'ai dû mal à lire longtemps sur un écran
A bientôt
Lu d'une traite jusqu'à la page 50. Je poursuis et vous ferai un retour complet à la fin, mais je peux déjà vous dire que vos années d’écriture se ressentent dès les premières lignes : maîtrise, rythme, formulation, vocabulaire adapté, style… tout cela est très prometteur. Bravo !