Turquoise, la Fée des Larmes

@Michel CANAL
Tout d'abord, merci pour cette note indulgente et ce commentaire qui ne peut que m'encourager à continuer...
Vous, comme Michèle, savez décrire et résumer vos impressions avec une telle sensibilité et une telle culture que je me sens bien petite à vos côtés...
Amicalement,
Alhéna.

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Bonjour, Michel,
Je deviens une fée ! Il ne faudrait pas que votre amitié pour Alhéna vous fasse perdre le sens commun ! Je vais essayer de me raisonner et de ne pas sauter par la fenêtre pour voir si je peux voler !
Amicalement,
Jan.

@Zoé Florent
Merci ! chère Michèle, vous avez, comme à chaque fois, su résumer ce petit conte avec concision et efficacité. Mille mercis pour votre note magnanime et votre commentaire très sensible.
Je vous embrasse,
Alhéna.

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Bonjour, Dame Zoé,
Je vous embaucherais avec plaisir pour lui faire les synopsis, vous avez des talents de commerciale en littérature !
Veuillez recevoir mes salutations les plus fantaisistes !
Amicalement,
Jan

Chère @Alhéna Skat, une histoire magnifique, comme toujours dans les histoires dont vous nous faites le cadeau du partage. Celle-ci a quelque chose en plus, cette leçon de vie enseignée par l'utilité des larmes qu'il ne faut pas voir comme une faiblesse mais comme une richesse, la capacité d'humanité et de sentiments. Il n'y a qu'à observer la société qui gravite autour de nous pour en mesurer la portée. Un grand merci aussi à votre fée Jan qui vous permet cette transmission pour notre culture. Avec toute mon amitié à tous les deux... et continuez de contribuer à notre culture avec toutes ces histoires merveilleuses de fées. MC

@Alhéna Skat Quel joli conte, chère Alhéna ! Tel un nuage de fraîcheur dans un monde où l'égocentrieme est roi, où pleurer se réduit trop souvent aux larmes insipides de l'apitoiement sur soi, où trop longtemps l'on a considéré pleurer comme une faiblesse, au masculin, une sensibilité naïve, au féminin, alors que pour aimer, il faut savoir faire abstraction de soi, savoir compatir, savoir se réjouir pour autrui et laisser monter les torrents de larmes de joie, de tristesse ou de désespoir. /// "“On finirait par devenir fou, ou par mourir, si on ne pouvait pas pleurer”, écrivait à raison Guy de Maupassant. /// Merci, amie très chère, merci, Sir Jan, et vu l'heure, bonne nuit ! Je vous embrasse, Michèle

@Alain Lamoliatte
Cher Alain,
Merci de ce commentaire attendrissant et votre note généreuse.
Vous avez très bien saisi le sens de ce petit conte. Et je vous sais un grand courage pour continuer à garder le sourire dans les épreuves de la vie. Merci encore de votre fidélité à continuer à me lire.
Amicalement,
Alhéna.