Ondine, la Fée des Fontaines

Bonsoir et agréable lecture que celle de votre conte... il y a du sens et c'est peut-être bien ce qui nous manque cruellement à notre époque d'où sa bienfaisance. Merci pour votre écriture !

@Alhéna Skat Quelle contraste saisissant que celui entre les fées Morgane et Ondine ! L'ambiguïté, la versatilité et l'immoralité de la première sont en tous points opposés à la rectitude, la fidélité et la profondeur des sentiments de la deuxième. /// J'ai souri tout en mémorisant l'expression "l'amitié de ses cuisses", découverte dans la première, ainsi que la "fata morgana" pour définir une combinaison de mirages. Vous lire est décidément très instructif, chère amie ! Mais j'ai de loin préféré l'histoire d'Ondine et de sa belle rencontre, tout en étant attristée par la trahison qu'elle subit en dépit de nombreuses mises en garde. /// Merci infiniment pour ces partages aussi fascinants que riches en enseignements, pour qui sait lire entre les lignes. Mes amitiés à Sir Jan ! Je vous embrasse fort, chère Alhéna, en vous espérant tous deux en meilleure forme, Michèle

@Alain Lamoliatte
Bonjour, cher ami,
Tout d’abord, merci pour ces cœurs généreux qui m’encouragent.
Merci aussi de votre commentaire plein de bon sens sur la durée du mariage !
Mais, par contre, ne seriez-vous un peu fleur bleue pour ne voir que l’amour d’Ondine pour son chevalier ? N’oublions pas sa triste fin après qu’il l’ait trahie.
Vous allez retrouver Loreleï vers le 25 ou 30 mars environ…
Amicalement,
Alhéna.

Chère Alhéna. Voilà une belle histoire qui nous rapelle l'importance de la parole donnée. De nos jours où les mariages sont généralement à durée déterminée il faudrait ressucité Ondine. Aprés je ne doute pas que certains machos se feront une autre interprétation. Ce que je retiens pour ma part est l'amour qu'ont partagé Ondine et son chevalier. Ach, ich warte an Loreleï. (j'attend Loreleï). Alain.

@Michel CANAL
Merci à vous, cher ami, toujours très fidèle à apprécier ces contes que j’écris pour éviter qu’ils ne sombrent définitivement dans l’oubli. Ainsi que Loreleï, que je vais publier incessamment. Merci aussi pour cette envolée de cœurs qui sont le résultat de l’œuvre du grand A. Dumas, dont je ne suis que l’interprète.
Je tiens à vous remercier doublement pour le temps que vous m’avez consacré alors que je vous sais débordé par ces débats politiques qui m’angoissent par les propos guerriers qui sont proférés de part et d’autre.
Très amicalement à vous, cher ami,
Alhéna.