Roman de la lente reconstruction, Le Printemps de Chloé explore la puissance du lien à la terre, à l’autre et à soi-même. Dans un vallon provençal presque hors du temps, deux femmes cherchent un nouveau départ après la perte et le silence.
Bonjour @Zoé Florent,
C'est gentil de venir dire de belles choses par ici, d'autant que je te crois très occupée en ce moment! J'ai effectivement abandonné la forme initiale pour ne favoriser qu'une seule ligne de scénario, un arc narratif que je pense plus intense.
Bises
@Carpov Belles descriptions de bourgades et paysages provençaux, belle complicité féminine naissante, et une adorable petite Juliette à laquelle on s'attache vite... Beaucoup de douceur dans ce début de roman dans lequel on s'installe en nous glissant progressivement dans les peaux de Chloé et de Claudia. Deux femmes aux tempéraments opposés que tu détailles avec justesse. / Deux suites possibles dans la première version... Aussi vais-je voir de ce pas (empressé ;-)) pour laquelle tu as finalement opté. / Merci pour ce nouveau partage, cher Laurent. Bises et bonne fin de journée, Michèle
Bonjour, @St-Bleyras,
Il y a tant de mots, et si peu que je connais, que lorsqu'il y a quelque chose à dire et que j'ai la chance de connaître le terme exact, je l'utilise volontiers. Aussi, tu risques de tomber sur un luctueux dans la deuxième partie, si tu vas jusque là, et ce matin j'ai employé précellence dans un paragraphe de la troisième... Je sais que cela peut gêner la lecture, mais j'ai toujours aimé apprendre de nouveaux mots, alors j'essaie de les partager. J'ai grandi un peu plus au nord que St-Louis, à St-Antoine, et je ne devais avoir alors qu'une centaine de mots à mon vocabulaire. Tout ce que j'ai appris depuis, c'est une richesse pour moi, et elle fait effectivement de moi un parvenu.
@Carpov
J'ai passé toute ma scolarité secondaire à Marseille, au lycée Nord Saint-Exupéry. Je n'ai jamais entendu cet "omineux" que vous employez, au féminin, à la page trois de votre écrit. Tout au plus ai-je pu ouïr des "Oh, minot !"
L'emploi de mots rares me semble ne pas devoir entraver la lecture. Je me rappelle "siccité".
Ceci dit, je m'apprête à continuer avec votre texte, a priori avec plaisir. En espérant ne pas être bloqué par un "apocatastase" qui ferait, lui aussi, nouveau riche.
Publié le 14 Avril 2025
carpov
Biographie
J'ai grandi dans le nord de Marseille. Comme tous les gamins du quartier, je jouais au foot et je fumais des clopes devant les filles qui...
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Bonjour @Zoé Florent,
C'est gentil de venir dire de belles choses par ici, d'autant que je te crois très occupée en ce moment! J'ai effectivement abandonné la forme initiale pour ne favoriser qu'une seule ligne de scénario, un arc narratif que je pense plus intense.
Bises
@Mathieu Langeon
Tout va bien alors, Carpov, car un homme averti en vaut deux !
Bonjour, @St-Bleyras,
Il y a tant de mots, et si peu que je connais, que lorsqu'il y a quelque chose à dire et que j'ai la chance de connaître le terme exact, je l'utilise volontiers. Aussi, tu risques de tomber sur un luctueux dans la deuxième partie, si tu vas jusque là, et ce matin j'ai employé précellence dans un paragraphe de la troisième... Je sais que cela peut gêner la lecture, mais j'ai toujours aimé apprendre de nouveaux mots, alors j'essaie de les partager. J'ai grandi un peu plus au nord que St-Louis, à St-Antoine, et je ne devais avoir alors qu'une centaine de mots à mon vocabulaire. Tout ce que j'ai appris depuis, c'est une richesse pour moi, et elle fait effectivement de moi un parvenu.
@Carpov
J'ai passé toute ma scolarité secondaire à Marseille, au lycée Nord Saint-Exupéry. Je n'ai jamais entendu cet "omineux" que vous employez, au féminin, à la page trois de votre écrit. Tout au plus ai-je pu ouïr des "Oh, minot !"
L'emploi de mots rares me semble ne pas devoir entraver la lecture. Je me rappelle "siccité".
Ceci dit, je m'apprête à continuer avec votre texte, a priori avec plaisir. En espérant ne pas être bloqué par un "apocatastase" qui ferait, lui aussi, nouveau riche.