Un témoignage historique complet et important sur des évènements cruciaux de l’Histoire. Une mise en perspective de cette époque par l’intermédiaire d’un petit village, de ses habitants, de Ramzi et sa famille, montrant que toute sa vie en sera fortement imprégnée.
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Ramzi comme son nom laisse insinuer symbolise Beni Saf comme une référence géographique qui représente ce beau qui est l'Algérie et qui invite même au tourisme. La zone est un trésor à regarder, à conerver et surtout à protéger. Il est regrettable que ce lieu féerique ait subi tant les aléas de la guerre et autres par la suite. Pour avoir visité Tlemcen, puis passé des vacances à Rachgoun, je comprends votre nostalgie et votre regard attendrissant sur la région et elle mérite bien plus. Merci de votre partage.
Portrait d’une Algérie en devenir. Derrière des décors et une mise en scène digne des Mille et une nuits, l’auteur narre l’histoire de son ami Ramzi, dans la petite ville de Béni-Saf.
Une vie qui va être remuée, bercée par le climat politique de l’époque. Né en 1954, Ramzi va suivre une éducation scolaire française et un apprentissage de l’arabe à la maison. Il devra faire face aux répercussions de la guerre en même temps qu’il se construit.
Un témoignage historique complet et important sur des évènements cruciaux de l’Histoire. Une mise en perspective de cette époque par l’intermédiaire d’un petit village, de ses habitants, de Ramzi et sa famille, montrant que toute sa vie en sera fortement imprégnée.
Paris, le 28 octobre 2008
Editions Publibook
14, rue des Volontaires –
75015 Paris – France
Je viens de recevoir la première impression de mon ami Roger ALBERT, originaire de La Tardière en Vendée, auteur de de plusieurs ouvrages dont Carnets de route d'un soldat d'Algérie, Vent de galerne.Il a reçu le Prix Charette 2010 au Refuge du livre de Grasla pour l'ouvrage Fiers d'être paysans écrit en collaboration avec Gilles Bély. Il s'exprime ainsi :"Ton ouvrage témoigne de tout l'amour que tu portes à ta commune de Béni-Saf, sa langueur méditerranéenne blottie entre les falaises, ses escaliers, la place du marché ..." et ajoute : Ton ouvrage exprime des remords, surtout des regrets, ceux de voir une classe dirigeante confisquer à son profit les acquis de votre révolution et les sacrifices consentis pour votre indépendance si chèrement payée. Je mesure l'ampleur de la désillusion de nombreux algériens quand Ramzi écrit, page 179 : « L’État lui-même perd de son essence, ni probité, ni compétence » Et ce cri du désespoir, page 180 : « Le crépuscule de cette quatorzième année du troisième millénaire. »
La fin du livre laisse entrevoir une lueur d'espoir. "