Difficile d'apporter un jugement (qui n'aurait je pense que peu d'intérêts), par contre je peux te donner mon ressenti. J'ai été enfermé dans ton angoisse, pris en otage par ta détresse. Je cherchai, en urgence une porte de sortie, une libération, et j'ai plongé avec toi. Bravo et merci pour le partage...
Chère @lamish, j'ai préféré répondre à votre sainte horreur du trash sur "Un homme d'honneur". Selon moi, une femme, un homme ne saurait être constitué d'une unique matière. Nous avons tous, qu'on le veuille/l'accepte ou non un côté trash, un côté tendre, un côté humaniste, un côté funeste. Cela dépend des mouvements cycliques de la lune, des marées, de l'effet papillon de la mort de nos ancêtres et, pour certaines dont je suis, de leurs règles douloureuses.
J'ai adoré votre texte. J'espère que si vous le retravaillez, il ne perdra ni sa nervosité, ni sa violence. N'en déplaise au monsieur qui s'étonne qu'une femme jeune et belle écrive des récits un peu noirs, Il y a là une belle énergie, continuez !
C'est du brutal. Il y a bien évidement besoin de corriger deux ou trois "patés" ici ou là, mais c'est souvent le prix a payer pour pouvoir balancer à jet continu. Attention en cas de correction à ne pas perdre ce coté cash qui donne son poids à ce petit texte.
Encore une fois, cher @Boris Phillips, je ne veux pas prendre parti entre le sieur Vespucci ou vous-même. Cela dit, je n'ai pas trouvé qu'il fut des plus désobligeants envers mon texte. À part de grands nouvellistes tels que Maupassant, P.K.Dick ou Dino Buzzati, je ne vois pas beaucoup de monde capable de se targuer d'avoir produit l'un ou l'autre chef-d'oeuvre du premier coup. Si vous relisez bien, le sieur Vespucci m'a simplement proposé gentiment de peaufiner mon ouvrage, ouvrage dont il croit receler une potentialité supérieure. Ce en quoi, je ne lui donne pas tout à fait tord, car je comptais déjà moi-même en parfaire certains pans inaboutis, pour cause, et j'en suis un peu contrite, de légère paresse. Je tiens cependant à vous remercier encore une fois pour vos touchants encouragements quant à mon écriture, ainsi que pour vos très prévenants services d'ange-gardien post-virtuel.
@ Luciane Nutin.
Rassurez-vous, il ne s'agit pas d'une "querelle de ménage façon Boulingrin".
Donc pas de "rabidochage" possible.
Cet individu - sous un autre pseudonyme -, il y a quelques mois, a empoisonné l'esprit de camaraderie littéraire qui régnait sur mBS entre les auteurs avec ses commentaires fielleux.
Voir ce phénomène réapparaître m'a choqué au delà de toute mesure.
Je me suis servi des pages d'autres "confrères" afin de dénoncer ce retour.
Je suis d'accord avec vous lorsque vous affirmez qu'il y a des choses bien plus importantes en ce monde... Seulement, nous, créateurs de textes littéraires, devons garder à l'esprit que dénoncer certaines aberrations de la société - et vous le faites fort bien - peut se passer de basses critiques enrobées dans des "conseils" insipides !
Comme vous le dit Fanny Dumond "ne changez rien et continuez l'aventure"... Lisez Fanny ainsi que d'autres auteurs - je n'ose vous inviter à vous porter sur mes pages -.
Fort cordialement et avec beaucoup d'humour.
Philippe.
@Luciane Nutin, un texte percutant évoquant le sentiment d'abandon, la quête de la disparue et de l'absolu, la fausse compassion hypocrite, l'impression de n'être jamais à sa place, comme transparente. Le mal- être de Lilou m'a fortement impressionnée.J'ai beaucoup, beaucoup apprécié votre écriture spontanée, dite intuitive. Surtout ne changez rien. Que la roue de la vie vous apporte la sérénité et l'envie de poursuivre la belle aventure de l'écriture. Cordialement. Fanny
Je nage un peu au milieu de cette polémique qui me rappelle la scène de ménage des Boulingrin. Je me vois mal en peine de faire l'arbitrage de cette mésentente qui me dépasse. Je vous souhaite cependant bien vite de vous rabibocher. Il y a des choses beaucoup plus graves en ce monde que la littérature. Du moins, à mes yeux. Non ?
Mon très cher et très estimé @ vespucci.
Heureux de vous savoir en vie et sous un nouvel "avatar"... Quoique sans aucune originalité dans la forme de vos "critiques".
Qu'attendez-vous pour poser vos doigts crochus sur mon dernier opus ? Afin de vous faciliter la tâche, je vous signale que "C'est pas d'la soupe..." contient, au moins, deux coquilles... Voyez à quel point je suis prévenant à votre égard : les phases de la métempsychose pouvant faire perdre de l'acuité intellectuelle ; alors, passer au "minéral" a dû vous faire perdre pas mal de masse cérébrale ( ? - ! ).
Votre dévoué "triste pion".
P.S. Désolé, @Luciane Nutin d'utiliser votre page afin de reprendre contact avec mon "Troll" préféré... Je ne savais comment faire autrement. Ceci n'enlève rien au fait que je considère que vous avez un réel talent de conteuse pouvant se passer de tous les - mauvais - "conseils".
Cordialement.
Boris
@Luciane Nutin.
Violent et vulgaire juste ce qu'il faut pour rendre un vrai sentiment de révolte !
Bravo, j'ai aimé.
Cordialement.
Boris Phillips.
P.S. Qui peut bien être ce "vespucci" donneur de leçon et compteur de virgules ? Végétal ou animal ?. Ne tenez pas compte de ce genre de remarques : les gens de cette espèce n'ont - en général - pas assez de talent pour écrire eux mêmes !
Vous avez cent fois raison, les conseilleurs ne sont pas les payeurs mais ils ont ce pouvoir justement de conseiller, et ce, de manière bien souvent désintéressée. Je comptais déjà reprendre ce texte et lui apporter une fin plus lumineuse, moins téléphonée. Merci à vous d'être venu consolider mon désir d'amélioration.
Merci @vespucci pour cet aimable commentaire. Comme je ne suis pas très sérieuse, je vais tâcher de corriger ma ponctuation avec un certain recul et de l'auto-dérision.
Merci beaucoup @Romain Lebastard pour cet aimable commentaire. Pour tout vous avouer, j'ai écrit cette nouvelle quasiment d'un seul jet, en essayant de me tenir au plus proche de l'état de panique grandissant de Lilou, qui s'achève malheureusement par cette pulsion fatale. Ce passage du "elle" au "je" s'est donc effectué en pure inconscience, à l'approche des questions des "pachydermes" qui lui deviennent de plus en plus insupportables à écouter. Cependant si cela choquait d'autres lecteurs, je pourrais très bien revoir ma copie.
Ultra-violent dans le propos, ultra-nerveux dans l'écriture, on ne peut pas dire qu'on ne ressent pas la boule d'angoisse qui tenaille Lilou. Les symptômes sont extrêmement bien décrits, on l'accompagne dans ce cercle vicieux de la peur qui entraîne la peur, le cerveau qui s'égare et qui ne sait plus réfléchir, au bord de l'implosion. Bravo à vous ! PS : ça ne m'a pas gêné, mais je me demandais si vous aviez fait exprès de passer du "elle" au "je" en cours de récit.
Publié le 17 Mai 2017
Luciane Nutin
Biographie
J'aurais adoré être Karen Blixen et avoir pu écrire "La Ferme Africaine". Mais je ne suis que moi-même pour l'instant, à...
Ce livre est noté par
Un sincère merci, cher@Hubert, pour cet aimable commentaire à caractère tristement, et croyez bien que je le regrette, claustrophobique.
Chère @lamish, j'ai préféré répondre à votre sainte horreur du trash sur "Un homme d'honneur". Selon moi, une femme, un homme ne saurait être constitué d'une unique matière. Nous avons tous, qu'on le veuille/l'accepte ou non un côté trash, un côté tendre, un côté humaniste, un côté funeste. Cela dépend des mouvements cycliques de la lune, des marées, de l'effet papillon de la mort de nos ancêtres et, pour certaines dont je suis, de leurs règles douloureuses.
Désolée pour ce coup de poing cher @Zultabix. Grand merci de ne pas m'en avoir tenue rigueur. Peace and love !
Un commentaire qui fait plaisir chère @Amy Bres. J'adore votre nuque.
Une nouvelle coup de poing. Bravo, j'ai adoré.
La peau n'est qu'un couvercle qui cache la moisissure, mon cher Mokeddem X.
Grand merci pour votre lecture @Hermann Sboniek ! Oui, ne vous inquiétez pas, j'allégerai et garderai ce côté cash.
Encore une fois, cher @Boris Phillips, je ne veux pas prendre parti entre le sieur Vespucci ou vous-même. Cela dit, je n'ai pas trouvé qu'il fut des plus désobligeants envers mon texte. À part de grands nouvellistes tels que Maupassant, P.K.Dick ou Dino Buzzati, je ne vois pas beaucoup de monde capable de se targuer d'avoir produit l'un ou l'autre chef-d'oeuvre du premier coup. Si vous relisez bien, le sieur Vespucci m'a simplement proposé gentiment de peaufiner mon ouvrage, ouvrage dont il croit receler une potentialité supérieure. Ce en quoi, je ne lui donne pas tout à fait tord, car je comptais déjà moi-même en parfaire certains pans inaboutis, pour cause, et j'en suis un peu contrite, de légère paresse. Je tiens cependant à vous remercier encore une fois pour vos touchants encouragements quant à mon écriture, ainsi que pour vos très prévenants services d'ange-gardien post-virtuel.
Merci beaucoup chère @FANNY DUMOND. Votre commentaire me trouble autant qu'il me réjouit. Cordialement, en retour. Luciane.
@ Luciane Nutin.
Rassurez-vous, il ne s'agit pas d'une "querelle de ménage façon Boulingrin".
Donc pas de "rabidochage" possible.
Cet individu - sous un autre pseudonyme -, il y a quelques mois, a empoisonné l'esprit de camaraderie littéraire qui régnait sur mBS entre les auteurs avec ses commentaires fielleux.
Voir ce phénomène réapparaître m'a choqué au delà de toute mesure.
Je me suis servi des pages d'autres "confrères" afin de dénoncer ce retour.
Je suis d'accord avec vous lorsque vous affirmez qu'il y a des choses bien plus importantes en ce monde... Seulement, nous, créateurs de textes littéraires, devons garder à l'esprit que dénoncer certaines aberrations de la société - et vous le faites fort bien - peut se passer de basses critiques enrobées dans des "conseils" insipides !
Comme vous le dit Fanny Dumond "ne changez rien et continuez l'aventure"... Lisez Fanny ainsi que d'autres auteurs - je n'ose vous inviter à vous porter sur mes pages -.
Fort cordialement et avec beaucoup d'humour.
Philippe.
Je nage un peu au milieu de cette polémique qui me rappelle la scène de ménage des Boulingrin. Je me vois mal en peine de faire l'arbitrage de cette mésentente qui me dépasse. Je vous souhaite cependant bien vite de vous rabibocher. Il y a des choses beaucoup plus graves en ce monde que la littérature. Du moins, à mes yeux. Non ?
Mon très cher et très estimé @ vespucci.
Heureux de vous savoir en vie et sous un nouvel "avatar"... Quoique sans aucune originalité dans la forme de vos "critiques".
Qu'attendez-vous pour poser vos doigts crochus sur mon dernier opus ? Afin de vous faciliter la tâche, je vous signale que "C'est pas d'la soupe..." contient, au moins, deux coquilles... Voyez à quel point je suis prévenant à votre égard : les phases de la métempsychose pouvant faire perdre de l'acuité intellectuelle ; alors, passer au "minéral" a dû vous faire perdre pas mal de masse cérébrale ( ? - ! ).
Votre dévoué "triste pion".
P.S. Désolé, @Luciane Nutin d'utiliser votre page afin de reprendre contact avec mon "Troll" préféré... Je ne savais comment faire autrement. Ceci n'enlève rien au fait que je considère que vous avez un réel talent de conteuse pouvant se passer de tous les - mauvais - "conseils".
Cordialement.
Boris
Vous avez cent fois raison, les conseilleurs ne sont pas les payeurs mais ils ont ce pouvoir justement de conseiller, et ce, de manière bien souvent désintéressée. Je comptais déjà reprendre ce texte et lui apporter une fin plus lumineuse, moins téléphonée. Merci à vous d'être venu consolider mon désir d'amélioration.
Merci @vespucci pour cet aimable commentaire. Comme je ne suis pas très sérieuse, je vais tâcher de corriger ma ponctuation avec un certain recul et de l'auto-dérision.
Merci beaucoup @Romain Lebastard pour cet aimable commentaire. Pour tout vous avouer, j'ai écrit cette nouvelle quasiment d'un seul jet, en essayant de me tenir au plus proche de l'état de panique grandissant de Lilou, qui s'achève malheureusement par cette pulsion fatale. Ce passage du "elle" au "je" s'est donc effectué en pure inconscience, à l'approche des questions des "pachydermes" qui lui deviennent de plus en plus insupportables à écouter. Cependant si cela choquait d'autres lecteurs, je pourrais très bien revoir ma copie.