Orpheline, Zoé est pensionnaire dans un foyer éducatif pour mineurs. Elle identifie deux bourreaux responsables de son mal-être : « les gens » et « la vie ». Mais bientôt, un tragique engrenage va lui rappeler que dans l'ombre, d'autres bourreaux guettent leurs proies.
Ce livre est noté par
Je suis nouvelle sur cette plateforme, et c'est le premier livre que j'ai lu ! J'ai tout simplement adoré. J'ai tout de suite réussi à m'identifier à Zoé (malgré que le personnage est très différent de moi). Je suis restée en haleine durant tout le livre. J'ai beaucoup apprécier le ton du récit, et la pensée de Zoé sur chaque situation.
Les articles mis à la fin du livre sont une très bonne idée je trouve.
En tout cas merci pour ce très bon moment passé à vous lire.
@Watt sonne (pseudo plein d'humour !)
Merci d'avoir pris la peine de laisser un commentaire. Je me permettrai simplement de rectifier un petit malentendu : il ne s'agit pas d'un polar avorté, mais d'une nouvelle conforme aux règles du genre, c'est-à-dire courte par définition.
Bien cordialement,
Elen
@Desales
Votre commentaire me touche, c'est très gentil à vous ! J'espère que mes autres livres vous ont apporté d'agréables moments.
Bien amicalement,
Elen
@Audeo
Merci beaucoup pour votre commentaire. Je suis vraiment ravie que vous partagiez ma façon de ressentir la fin de Zoé. La plupart des lecteurs sont tout simplement horrifiés, mais je trouve que, dans le noir le plus absolu, la tragédie la plus sordide, il y a toujours une petite lueur. Là réside l'humanité.
Bien amicalement,
Elen
Waooh c’est très génial et je vous assure que je suis très flatté en tant que novice sur best-seller je ne veux frustrer personne mais ce roman fait le 5e donc j’ai lu et je suis tout satisfait
je n’ai pas de mots je vous tire le chapeau même si l’histoire me rend triste mais c’est du génie.
Je lirais vos différents romans je meurs de curiosité cas je suis certain que je tomberai sur de grandes histoires intéressantes et mémorables merci bien à vous je vous en suis reconnaissant
@Alix Cordouan
Chère Alix, apparemment nous sommes entre "atypiques paradoxales" : enchantée ! :-)
Merci pour votre très beau commentaire, qui me confirme que nous avons pour le moins quelques modes de pensée et de fonctionnement communs. Au plaisir d'échanger à nouveau !
Bien amicalement,
Elen
@Sarah K
Chère Sarah, j'ai dû faire une fausse manœuvre, puisque ma précédente réponse n'a pas été prise en compte ; désolée de ce retard. Merci pour votre commentaire/notation ! J'espère que d'autres de mes Apéribooks, sur des thèmes moins tragiques, vous feront également passer de bons moments.
Bien amicalement,
Elen
@Elen Brig Koridwen.
À travers l'émotion provoquée par un crime sordide, vous avez su décrire avec justesse et sans tabous la révolte de la narratrice et le rejet de ses contemporains résumé en une phrase : " Même pas sûre qu'il existe un pont au départ de moi". Sa vision des rapports humains, dépouillée de tous faux-semblants, décapante, pleine de lucidité, est remarquablement exprimée et, je l'espère, dérangeante. Vous faites la démonstration en quelques pages que l’on peut divertir en traitant de sujets profonds. À une époque où l'inflation verbale fait recette, c'est réconfortant. Une belle leçon qui mérite largement 5 étoiles. Vive la liberté et les "atypiques paradoxales" !
@Alexandre Majorczyk
Merci beaucoup pour ce beau commentaire, Alexandre, et pour les points que vous abordez.
Un auteur a toute latitude pour faire parler son héros en faisant de lui le narrateur. L'histoire n'a alors aucun besoin d'être racontée "après coup" par un héros qui reviendrait d'entre les morts : le narrateur la livre en direct, comme si ses pensées, ses sentiments se communiquaient au lecteur, ou comme s'il dialoguait mentalement avec lui. Qu'il meure ou non à la fin du livre ne change rien au récit, ou témoignage, de ce qui l'a conduit jusque là. Donc, la remarque de votre professeur n'avait pas lieu d'être et prouvait une certaine méconnaissance des procédés littéraires :vous pouvez oublier son commentaire et sa note. :-)
"Apéribook" est un terme conçu pour des textes courts dont l'objectif est de faire tester aux lecteurs mes différents genres et styles. Il semble que, davantage que le mot "nouvelles" (un genre qui ne séduit plus guère, et c'est fort dommage), il leur évoque efficacement cet assortiment destiné à des petits moments de dégustation.
Bien amicalement,
Elen
@Elen Brig Koridwen,
J'ai pris un petit temps de réflexion avant d'écrire ce commentaire.
D'abord j'ai adoré le ton et l'immersion totale dans les pensées de Zoé. Ça m'a permis de presque immédiatement m'identifier avec le personnage, qui est relativement éloigné de ma personne.
L'intrigue est menée dynamiquement, le jeu entre la perception qu'elle a de la situation et la réalité est parfaitement maitrisé.
Enfin, les bouts d'articles de journaux à la fin du texte, expliquant le pourquoi du comment est une superbe idée qui met en valeur tout le récit.
J'aimerais mettre un petit bémol à tout çà, j'espère que vous ne m'en tiendrez pas rigueur: étant donné la fin (tragique) de votre héroine, la question qui m'est apparue est la suivante: a-t-elle pu écrire toute cette histoire de sa main d'adolescente après sa mort? Ça m'a rappelé une rédaction au collège ou mon professeur m'avait indiqué à la marge en commentaire: "un revenant a-t-il écrit cette histoire?" avec la note qui l'accompagnait...
Je n'ai jamais eu des notes exceptionnelles de toute façon en francais, à part une fois au lycée, lorsque la professeur m'a demandé de lire à voix haute le quatrain que j'avais écrit pour un exercice sur les métaphores filées.
Et donc, je ne suis pas non plus le plus qualifié pour juger de la logique d'un texte.
Juste pour terminer mon bémol, je préfère le terme de "nouvelle" à "apéribook" (c'est une remarque personnelle).
Aussi je vais rester sur le fait que ce texte a été ecrit avec un style efficace et dynamique et j'invite les éventuels lecteurs qui ne l'ont pas lu à le découvrir ici.
Amicalement, Alexandre.
@bourez
Merci pour votre note et commentaire. Ravie que vous ayez aimé !
Bien cordialement
@elisabeth
Merci, ma chère Élisabeth ! Qu'une fidèle lectrice comme toi me suive dans tous les genres littéraires ou presque, même les plus durs, cela compte beaucoup à mes yeux.
Amitiés
@CinthyaSamsonDagenais
J'en suis ravie. Merci d'avoir répondu ! Excellente fin de journée.
J’ai lu en entier et vraiment aimer!
@CinthyaSamsonDagenais
Merci beaucoup, Cynthia, je suis très touchée. Puis-je vous demander si vous avez lu l'extrait seulement, ou l'Apéribook en entier ?
Je vous souhaite une merveilleuse année 2018 !
Bien amicalement,
Elen
@Jean-Bernard Hamaïde
Merci pour votre commentaire.
Bien amicalement,
Elen
@Ewen Penanguer
Merci pour cette attention, Ewen. Beaucoup de gens oublient, c'est vrai, y compris parmi les auteurs, ce qui est assez paradoxal.
Amitiés,
Elen
@Henri 44
Merci à vous pour votre commentaire.
Bien amicalement,
Elen
@Ewen Penanguer
Merci Ewen, je vous ai répondu en commentaire de votre article.
Amitiés,
Elen
@Mokeddem X
Cher Mokeddem, merci pour votre commentaire. À travers ces deux remarques plus concises que jamais, je crois comprendre qu'Une nuit très noire vous a plu, et j'en suis très flattée.
Bien amicalement,
Elen
@Loulou PF
Merci à vous pour pour votre commentaire.
Cordialement,
Elen
Attiré par le noir, je suis venu vous voir. Je ne suis plus ado, et de loin, alors c’est difficile pour moi de lire l’ado. C’est une langue que je ne connais plus du tout. Cela m’a donc été difficile de me laisser porter par votre fiction. Tout en appréciant votre talent à vous mettre dans la tête et les mots de Zoé. Merci d’avoir partagé
@Sytoun
Merci pour ce commentaire. Oui, c'est un thriller qui assume sa noirceur... Il en faut, ça change ;-)
Pour ce bac, je croise les doigts, alors ! :-)
Bien amicalement,
Elen
Chère Maryse,
merci beaucoup pour ce commentaire à la fois expert et sensitif sur un Apéribook dont le style, proche de celui de "Spi", est inconnu de la plupart de mes lecteurs. Je suis enchantée que l'atmosphère de ce texte et son intrigue vous aient conquise. Ravie aussi que le milieu dans lequel il se déroule apparaisse aussi vraisemblable. Et j'aime beaucoup votre superbe formule "ils apprennent à penser comme les murs et les barreaux", qui traduit si justement cet auto-enfermement.
Amitiés,
Elen
@Loly h
Chère Loly, merci pour votre commentaire.
Bien amicalement,
Elen