
Aubin, revenu sur les terres de son enfance à la mort de son oncle, se retrouve plongé dans la découverte d'un passé familial dont il ignorait tout. Pourquoi cet oncle, longtemps taxé de folie par son propre frère, a-t-il toujours refusé de quitter Mons-la-trivalle, au pied du massif du Caroux ? Et quel est ce secret qui fit basculer la vie de son grand-père ? Cette double enquête, où se mêlent histoire et ésotérisme, va mener Aubin sur les traces d'une révélation qu'une partie de l'humanité a voulu taire pour ne pas troubler l'ordre naturel.
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Ajout du chapitre 2. Les suivants le seront à mesure qu'ils seront disponibles, puisque ce livre est encore en phase d'écriture. Mais vous pouvez vous rendre directement sur le site et vous inscrire à la newsletter pour rester informés des mises à jour.
Bonne lecture à tous, en espérant que ce second chapitre vous fasse rentrer davantage dans l'histoire.
@federer36 J'ai fait cette première maj un peu plus tôt que prévu, en partie pour vous, afin de tenter de réduire votre frustration initiale. J'espère que vous reviendrez lire cette suite, et les suivantes.
@federer36 Merci beaucoup pour ce commentaire. Je comprends la frustration à la lecture de ce premier chapitre seul. Si vous êtes intéressé, sachez que ce livre est un projet d'écriture, mis en ligne à partir de septembre. Les chapitres seront publiés sur un rythme qui reste à définir, mais le site associé à ce projet existe déjà. Vous pouvez le visiter à l'adresse :
https://le-chemin-du-secadou.jimdofree.com/
Si vous le souhaitez, vous pouvez donc laisser votre commentaire sur le site également.
Bonne lecture, quelle qu'elle soit. Surtout en cette période d'été, propice au farniente et idéale pour se plonger dans un bon bouquin !
Extrait mystérieux qui a éveillé ma curiosité mais malheureusement un peu trop court car on n’a pas le temps de vraiment se plonger dans l’histoire et de se faire une idée. En effet pourquoi l’oncle est-t-il toujours resté à Mons-la-trivalle ? Après j’ai particulièrement aimé les dernières pages avec l’entrée dans la maison du cambrioleur. La scène est effrayante car on s’imagine dans une maison située au milieu de nulle part, on est dans la pénombre et l’obscurité avec apparemment pas ou peu de voisinage. Tous les éléments sont présents pour faire monter la pression et pour attiser la peur chez le narrateur qui, pourtant, semble bien téméraire lorsqu’il se lance à la poursuite du voleur.