Marthe et Rachel sont-elles la même femme, celle qui a été arrêtée par la Gestapo à Strasbourg en 1942 ? Quelles étaient réellement ses activités ? Pourquoi s'est-elle réfugiée en 1942 chez les grands-parents de Simon, et pourquoi Jean Baptiste, son père, fleurit-il sa tombe chaque année à la Toussaint ? Simon veut savoir, mais sa famille est gênée d'en parler. Il fait alors son enquête dans les milieux lyonnais. Il rencontre des personnes qui ont vécu les événements, certains ont fait partie d'une Fraternité de Chevaliers, d'autre qui se sont peut-être mal comportés mais qui ne veulent pas que ça se sache....
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Bonjour et merci pour votre commentaire.
Tout d'abord il faut que je vous déstresse ! Rassurez vous : Francisque est un prénom tout ce qu'il y a de plus lyonnais (parmi les plus célèbres, on a eu un maire qui portait ce prénom : Francisque Colomb qui n'avait rien à voir avec celui qui nous revient dans une pochette surprise !) ce qui déclenche chez vous peut-être ce réflexe pavlovien des antipétainistes sur le tard tout à fait compréhensible (êtes-vous aussi réactif contre les Philippe, car c'est un pseudo possible ?)
Ceci-dit mon nom d'écriture est Claudin ( J'espère qu'il vous plaira !) et il est sur la première page de couverture de ce pseudo-polar que vous avez commencé à la page 2.
Je dois prendre un nouveau pseudo à chaque compte sur ce site en vertu du règlement (j'en ai six, donc six textes). Je vous promets que pour le prochain, je ferai attention !
Vous voulez tourner le dos à cette partie de l'histoire parce que vous avez d'autres périodes qui vous intéressent ! Moi aussi, car je préfère le Moyen Age, la Renaissance et le début du XVII° siècle. Il faut dire que je joue de la musique ancienne : personne n'est parfait !
Ceci dit, pour moi, vous êtes dans le bon chemin pour tout le reste. J'avais un démon en moi qu'il fallait faire sortir et j'y suis arrivé. Cette Madame CHRIST a bien existé mais mon père n'a jamais voulu m'en parler vraiment. Donc j'ai demandé du secours à l'imaginaire et voilà le résultat quand on se bat contre quelque chose de douloureux au plus profond de soi.
Vous êtes d'une rare perspicacité. Il y a deux types de lecteurs d'après les commentaires que j'ai eus sur l'ensemble des textes : ceux qui lisent au premier degré et qui sont redoutables ; puis ceux qui perçoivent un autre degré et ceux-là, ils m'émeuvent aux larmes. Surtout qu'ils me disent des choses que je n'aurais jamais pu aussi bien exprimer. Eux ils savent bien cacher leurs émotions !
Vous êtes de ceux-là et je vous remercie du fond du coeur.
Quand aux expressions du parler lyonnais, elles n'ont pratiquement plus cours mais elles me parlent encore. En entrant dans la jungle lyonnaise, il n'y a plus besoin d'en connaître le langage pour sauver sa peau. Tout fout le camp mon pauvre Monsieur ! "Mais où le monde va-t-on, sempillerie de bocon ?" me disait ma grand-mère !
Et puis dommage que vous travailliez pour cette entreprise de pompes funèbres littéraires qui veut absolument enterrer les textes en les mettant dans des tiroirs avec des étiquettes pour mieux les oublier en les fermant à double tour !
Bien amicalement.
Claudin !
Vous avez un curieux pseudo et la manière dont vous réveillez l’histoire est finalement curieuse aussi. Ce n’est pas vraiment un polar, ce n’est pas un roman non plus dans la façon dont vous faites part de ce récit. Ça ressemblerait presque à un témoignage tant on ne doute pas de sa véracité. Et je ne saurais dire le sentiment étrange que j’ai eu en vous lisant. Sans doute parce que l’histoire passe et que je ne suis pas sûr d’avoir envie de me replonger dans celle là. Ça mis à part, n’étant pas gone ! j’ai été un peu submergé par toutes ces expressions de chez vous… merci pour ce partage.