Délire... Ou le récit d'une femme éperdue 'extrait)

Merci pour votre commentaire. votre lecture perspicace est entrée au cœur du problème soulevé par ce personnage. .

Ce texte est intégral. Cependant, le premier récit a été ajouté bien après l'écriture de récit original qui est le second Lorsque j'ai voulu publié cette nouvelle ayant une forme de journal intime, je me suis dit qu'il faudrait éclairer le lecteur au sujet de ce personnage féminin délirant d'amour au point de perdre conscience de son environnement, toute sa raison étant déjà happée par sa passion amoureuse ; c'est ainsi que j'ai eu l'idée de confronter ces deux personnages.

Je me suis mise à lire votre histoire, et je ne manquerai de vous envoyer mon analyse.

Je trouve ces échanges vraiment intéressants.

Joyce, étant un homme qui n'a voulu que le bonheur de la femme, je n'aurai hélas pas la même analyse que Mary au sujet de ces deux nouvelles. Antithèses du roman évoquant ma romance et du Journal intime qui en fait le récit au jour le jour par la plume de Claire, j'en ai ressenti une profondeur noire qui m'a attristé. J'ai préféré le premier récit, plus compréhensible, plus certainement fréquent dans la vraie vie. Le second (publié en premier comme une erreur), écrit à la demande de la narratrice Estelle, est la parfaite illustration du titre avec les termes "délire" et "femme éperdue". Ce récit est à l'opposé de ce que j'aurais pu, ou su, ou aimé raconter. Il faut être femme pour développer un imaginaire aussi prolixe, et concevoir une narration aussi philosophique. De mon point de vue, c'est un exploit littéraire. De vous à moi, Joyce, il conviendrait d'améliorer la présentation pour faciliter la lecture en augmentant les interlignes, et pour le 1er récit (le second dans la publication), en changeant la police. J'ajouterai qu'une relecture serait nécessaire pour corriger les trop nombreuses fautes. Avec mon amitié, mon encouragement et ma complicité d'auteur. MC

Cet extrait de « Délire... Ou le récit d'une femme éperdue », c’est de l’émotion féminine pure. Sans jamais être un récit fleur bleue, ni à l’eau de rose, c’est un délice pour les sens, versée sur la page blanche par une plume à fleurs de peau qui effleure le cœur et affleure le rêve, fantasmagorie de l’inconscient, pour explorer ces images mentales aux frontières de l'imaginaire amoureux que vos mots savent si bien reproduire. Ce récit révèle cette capacité qu’a la femme en souffrance de s’inventer un univers purement imaginaire où la raison vacille et se perd pour trouver réconfort en accordant une foi totale dans l’Être tout aimé en niant totalement celui, tyrannique, brutal et infidèle qui l’a abandonné. Je suis tombée sous le charme des mots de Stella, que j’aurais rêvé rencontrer à une certaine période de ma vie, pour apprendre à désaimer suffisamment tôt pour ne pas se perdre. Où trouve-t-on la suite de votre récit ? Bravo et merci à vous, d'avoir ajouté mon livre " Manus Deï" à votre bibliothèque. J'attends votre commentaire avec impatience, espérant que vous apprécierez marcher dans les pas de mon valeureux chevalier!

Bonjour Joyce, merci de me faire l'honneur de vous intéresser à L'éveil de Claire. Votre avis me sera très utile et je serai très heureux de lire le récit de votre héroïne... pour voir à quel point elle est une femme éperdue.
Si vous souhaitez parcourir les extraits de L'éveil de Claire plus confortablement, je vous invite à le faire sur mon site, accessible très facilement d'un clic à partir de "Voir son profil" sur le logo "W" ou sur "En savoir plus". Merci de ce partage, Joyce, et bonne lecture. MC