Synopsis (Polar baroque remanié)
Finalement, tout semblait redevenu calme sur ROUEN -pays réputé des « r’morqueurs » et du canard au sang- après l’affaire de la mère Michel. En tout cas, au moins en ce qui concernait les services policiers du célèbre commissaire FLAMBERGE, cette fameuse fine lame policière bien connue des rouennais, un de ces cadors que même les States nous enviaient. Cette épée flamboyante autant qu'ondoyante, taxée par le petit peuple local d’un affectueux surnom qui le faisait bicher d’aise: « Le commissaire rouge ». La période était au graissage des armes de poing et des sulfateuses suspendues au râtelier. Les blanches colombes de la paix roucoulaient en bande, tandis que les poulets gloussaient d’aise au poulailler. Bref, le temps était suspendu dans son vol...
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Sale temps pour les faisans. SUR LE NET 229791 lectures
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@ Antoine RAGONDIN. Merci pour cette belle appréciation et à bientôt. CC
@Claude CARRON
Très amusant. Et dépaysant, ce qui est un avantage certain. Vous avez du brio, de la gueule et tout ce qui va avec. Résultat : le plat est si goûtu qu'on s'en pourlèche les badigoinces. Bravo.
Ca ne titille pas lourd !!!! On préfère du cousu main? Désolé, je fais dans l'anormal.
EXTRAIT: "Le légiste se bidonnait intérieurement tout en émettant des soubresauts, puis il tira énergiquement sur sa bouffarde comme pour prendre des forces, avant de s’en aller vers son labo, tout en tendant mollement sa main vers FLAMBERGE qui finissait de se marrer de sa propre sortie.
-Bon, messieurs je vous quitte, j’ai du boulot sur la planche. On vient de m’apporter un nouveau cadavre à autopsier. Un vague académicien, de soixante cinq ans. Un ex journaliste ayant sévi à Paris-Normandie, parait-il. Le cœur encore, sans doute… Donc à demain.
FLAMBERGE, maintenant fortement la main qu’il venait de lui serrer en rabattant son autre main dessus pour mieux verrouiller le mouvement, comme s’il voulait retenir encore un peu le légiste pour en savoir un peu plus.
-Ah ! Oui, Je l’ai bien connu l’académicien en question. C’était une sacrée vieille plume révoltée qu’on avait surnommée POUSTIQUET. Il fut appelé ainsi pour avoir géré le concours du même nom quelques mois et qui avait fini par ressembler à sa vedette moustachue à force d’en côtoyer le dessin. Çà, tenir le concours POUSTIQUET, ce n’est pas neutre et il est vrai que çà pouvait vous marquer méchamment son homme. Et pourquoi donc une autopsie ? Ce ne serait finalement pas une mort naturelle ? Il n’aurait pas irrité un membre du club POUSTIQUET par hasard ? Parce que j’aime autant vous dire que les « poustiquistes » c’était plutôt de féroces acharnés.
-Pour l’instant nous en sommes à un arrêt du cœur qui aurait pu être dû à son embonpoint, mais il avait aussi reçu des menaces et le juge d’instruction a donc ordonné une autopsie. Il a dû buter sur quelque chose dans le dossier.
-Çà, le juge MARTIN, il a l’œil et le pif, c’est un pointer. Une truffe de première, come on dit dans le Périgord. Et encore une affaire qui s’avance pour vous mon bon DUGARD. On devrait recevoir çà tout chaud pour demain sur le bureau. Moi je vais continuer à enquêter sur celle du pauvre Dédé. Je lui dois bien çà, à mon pote.
-Bien patron. Pourvu que ces deux affaires ne se télescopent pas, comme c’est souvent le cas dans notre charmante petite ville.
-Oui, pourvu. Auquel cas on fusionnera les deux affaires qui n’en feront plus qu’une seule après tout. On verra çà en temps voulu.
Lors de l’enterrement en grande pompe de son vieux copain trois jours plus tôt, FLAMBERGE avait pris soin de récupérer les coordonnées de toutes les personnes présentes à la cérémonie et notamment qu’il ne connaissait pas. Commençant par les chers neveux et nièces, il fit donc connaissance avec une partie cachée de la vie de Dédé la science. Bien qu’André ne fut pas officiellement fâché avec sa jeune sœur qui avait soufflé ses dix bougies quand il revînt de la grande guerre et pour laquelle il se forçât à assister à son mariage onze ans plus tard pour ne pas déplaire à ses vieux parents vieillissants, il éprouvait par contre une réelle allergie à la vue de la prétention de son jeune beau-frère, militaire de carrière autant que cavalier d’opérette officiant au Cadre Noir de Saumur. C’était un jeune godelureau prétentieux, trop jeune pour avoir connu les tranchées et la mitraille, mais se gargarisant pourtant des faits d’armes des poilus pour en attribuer tout le mérite à son « viandard » et général de père. Un général deux étoiles surnommé MANGEDIN « la boucherie » pour avoir envoyé ses hommes à la mort sur les mitrailleuses allemandes, obsédé qu’il était d’obtenir une étoile de plus sur son képi. Sa médiocrité n’avait d’égale que sa soif de gloire obtenue avec le sang des autres. Dédé avait père et fils en horreur et les très rares entrevues qu’il avait encore avec sa jeune sœur après la disparition de leurs parents, se passaient chez lui, quand elle pouvait venir seule, à la sauvette et à l’insu de son mari et de ses enfants.
C’est que cet anar avait mauvaise presse dans la belle famille de sa sœur. Il est vrai que ce genre de « déserteur » passait plutôt mal pour cette lignée de militaires se targuant d’avoir fourni plusieurs généraux à la grande Muette et même un colonel sous l’Empire qui aurait agonisé à Wagram , en criant : « vive l’Empereur ! » juste avant d'avaler son bulletin de naissance par coup de canon interposé. Dépositaire de tant de gloire, cette dynastie de gradés ne pouvait évidemment pas admettre qu’un militaire puisse prétendre faire fi de ses médailles et tolérer, de surcroît, qu’il s’agisse d’un homme issu de la petite bourgeoisie de province, étant presque de leur monde. Lequel avait, de plus, fait polytechnique, qu'il était de plus bien noté par sa hiérarchie et qu’il avait même été décoré militairement pour fait de bravoure. Et voilà qu'il avait viré tout à coup révolté, sans trop qu’on sache pourquoi dans la bonne société. Un tel reniement des valeurs auxquelles ces pisses-froid attachaient tant de prix, leur paraissait tout bonnement inconcevable et scandaleux. D’autant que celui qu’ils considéraient comme un malappris, rejetait sans ambages, toute cette belle hypocrisie séculaire servant de toile de fond à l’image de la famille idéalisée dans la droite ligne du sabre militaire et du goupillon calotin. Impensable pour cette belle société, devant l’affreuse image de défaitiste, qu’offrait aux yeux de ses neveux, cette espèce de dévergondé. Il y avait là comme qui dirait une double traîtrise, tant par manque d’esprit de corps que par manque de respect de classe. Ainsi, les chers neveux et nièces avaient-ils eu du tonton, à leur tour, une image tellement biaisée, qu’ils ne voyaient pas l’utilité de s’enquérir de son devenir. Du moins jusqu’à ce funeste jour où leur père avait eu la malencontreuse idée d’avaler son bulletin de naissance en même temps qu’un bout de barrière qui lui était resté en travers de la gorge, lors d’un concours hippique. Le seul champ d’honneur où ce colonel de pacotille gagna des médailles et réussît finalement en tout et pour tout à faire valoir son seul exploit militaire consistant à maintenir un uniforme d’apparat sur le dos d’un cheval sautant des obstacles. Enfin presque…"
Bien vu Boris. Fort bien résumé.Merci Boris. a + CC
@Boris Phillips : Merci Boris pour ce gentil message parlant d'Albert Simonin et de Gustave Flaubert (nous sommes tous deux roueunnais) en de tels termes élogieux. Je vous souhaite une bonne lecture. Et attends votre impression finale avec impatience. A Bientôt. Très cordialement. Claude CARRON
@ Claude CARRON.
Je suis un "lecteur lent"... Lorsqu'un livre me passionne ; le vôtre est de ce lot !
Dors et déjà, j'y trouve une maestria de jactance chère à Albert Simonin, et cela me réjouit au plus haut point ; des intrigues familiales et bourgeoises que n'auraient pas reniées Flaubert...
Bref, vos étoiles sont en attente et viendront bientôt !
Fort cordialement.
Boris Phillips.
@ Thierry Tougeron : Merci Thierry pour ce compliment que je partage avec bien d'autres sur ce site. A bientôt. CC
Meilleure que pire c'est mieux que moins bien...Non ?
Charabiesque ? C'est tout ? C'est du tir à blanc ? Je vous ai connue meilleure... CC
@Jezzabel : Très, très chère follette du site. Vous m'en chatouillez une sans déranger l'autre par ce positionnement de critique littéraire de mes deux...En fait de catastrophe littéraire, votre pensum démontre bien que vous en êtes une à vous tout seule. Au point que vous en arrivez à vous faire plaisir à entrer et sortir du site avec votre œuvrette simili sado turlupinesque, pour tenter d'attirer l'attention de quelques lecteurs amateurs de bizarre, comme on déplace sa canne à pêche de long en large pour ferrer la grenouille en mare. Ça mord ? Un petit conseil en ce cas : essayez donc d'asticoter les auteurs qui font un meilleur score que le mien, pour le cas où quelque lumière rejaillirait sur vos œuvres pompeuses et un tantinet dépressives. Sinon, faute d'argot farceur dans vos pisses vinaigre (empilant les hermetica comme on enfle des perles en usine) y parsemer un peu de réelle gaieté, voir d'humour subtil pour en atténuer l'acidité au détour d'une phrase. Vous y avez pensé ? C'est gratuit. Recevez, très chère, mon plus total et sincère mépris. CC
Allez donc vous faire soigner jeune débilitante neurasthénique. Si je suis "venu" vous chercher c'était parce que vous ne faisiez que venir critiquer négativement les écrits de gens qui ne vous demandaient rien. Maintenant si vous souhaitez engager le fer, ca ne me dérange pas, j'ai quelques années d'avance. Mademoiselle Sade qui sait tout et a déjà tout vu de l'auteur des "120 jours de Sodome". La Arletty du Boul'mich' abonnée au sex-toy, estampillée Kamasutra façon puzzle, hésitant d'une ligne à l'autre entre "tape-cul" et " fleur éclatée, pour finir dinde au marron, vieillie avant l'heure version sépia. Continuez donc vos dingueries, après tout, si ca amuse les gosses boutonneux en mal de yoyotage, malgré ce qu'ils nous servent avec les télés "réalités" CC
@Jezzabel. Lao Tseu : "Lorsque le sage montre la lune, le sot observe le doigt et s'émerveille" Vous pas comprendre le procédé de l'allégorie ? Vous y en a avoir du mal à faire différence entre un exemple et la réalité? Quant à votre prose "cucul la praline", j'avais surtout essayé d'en extraire aimablement le plus sympathique effet, bien que pâle copie vaguement remastérisée des écrits érotiques du marquis de Sade. Mal a vous, la follette du site et que le cul vous pèle. Faites comme moi : oubliez-moi ! CC
Venant de la femme des vents à double sortie, ca vaut son pesant de cacahuètes. Vous me faites penser à ces taverniers qui avaient du mal à accepter une toile d'un jeune peintre inconnu nommé Picasso, contre un repas, en prenant ses œuvres pour du gribouillis. Le plus important étant rarement ce que l'on expose, mais ce qui reste caché au profane. Vous manquez de maturité. CC
Remise à jour du polar. 250 pages. CC
Le lieu était un point stratégique pour la bande, situé, qu’il était, pas très loin des quais et même proche du très emprunté quai de Paris, ainsi que du cours
Boëldieu où se trouvaient encore quelques ruines du grand café Victor, autre lieu illustre embaumant encore l’absinthe et le parfum oriental de ces intrigantes qui venaient y guetter le beau parti à marier, au point d’y laisser les traces de leur enivrant passage. Les effluves fantômes de leurs corps hantant encore ce lieu, mêlés à leur parfum envoûtant étaient d’ailleurs restés encore imprégnées des années plus tard, dans les tissus muraux et boiseries de ce monument dédié au tout Rouen des années folles.
C'était une véritable institution limonadière qui avait été construite en 1882 et qui fut malheureusement détruite en partie en 194O par les allemands, puis finalement détruite en totalité quatre ans plus tard par les anglais, lors de la terrible semaine rouge. Ce haut lieu rouennais surnommé : « la plus belle terrasse de France », avec sa superbe marquise créée par Ferdinand BARROU, qu'aimaient tant esquisser, voir croquer ou peindre tour à tour, des impressionnistes célèbres comme: MONET, PISSARRO ou GAUGUIN. C’était un de ces hauts lieux dédiés au romantisme rouennais de la belle époque où il faisait bon vivre et, qu'avait bien connu FLAMBERGE, quand il y venait avec son espiègle tonton Charles, connu, lui aussi, en tant que romancier assez gratiné ayant fait scandale dans les années trente.
Merci Daniel. A bientôt. CC
Forte progression des ventes en version papier au Québec. CC
https://www.armitiere.com/livre/9175059-flamberge-se-rebiffe-claude-carron-edilivre-aparis
Merci Muriel, pour cet encouragement. Pour les fautes, j'en ai corrigé pas mal avant publication, mais il en reste un peu sur le livre publié de 370 pages par EDILIVRE, du fait que chaque nouvelle page corrigée coûte bonbon après le BAT. A bientôt. Cordialement. CC
7000 exemplaires vendus en à peine 3 mois
https://www.lagalerne.com/livre/9175059-flamberge-se-rebiffe-claude-carron-edilivre-aparis
https://www.facebook.com/claude.carron/videos/10205841267654304/
Pas du tout Dany. Au contraire,je trouve votre petit mot élogieux et je comprends qu'on puisse éprouver quelques difficultés à me suivre parfois dans ce style (que j'espère précurseur, un comble pour du vintage) nouveau et (je le reconnaît) assez particulier. Frédéric Dard, lui-même, n'a-il pas eu du mal à imposer son style et son commissaire San Antonio, assisté d'un débonnaire Bérurier, dans la fin des années 50 ? Et puis, je suis persuadé qu'en y revenant d'ici quelques mois, "l'oeuvre" vous apparaîtra différente et plus aisée à suivre,. D'autant que certaines affaires et personnages cités on réellement existé sur ROUEN pendant la collaboration. A bientôt chère payse... CC
Ahh Rouen, toute une épopée sauvage....Non pas de chauvinisme entre nous. Vous avez une écriture "familière" que j'adore et un vocabulaire que je vous jalouse, " chier des bulles" et " peigne-cul" sont deux de mes références. C'est étrange de lire un récit avec des hauts-lieux que vous fréquentez souvent.. Pour ce qui est de l'histoire, je suis navrée mais j'ai dû mal à rentrer dans l'intrigue. Très masculin, à mon ressenti et une farandole de personnages qui font que je me perds et ne sais plus qui est qui. Je le garde malgré tout dans ma bibliothèque parce que le style me plaît, c'est indéniable, j'y reviendrai plus tard. J'espère que vous ne m'en voulez pas?! Dany
Flamberge se rebiffe Rouen 54 : et un poulet sauce pruneaux, un ! Par Claude Carron Thème : Roman policier / suspense Format : Roman (134x204) Nombre de pages : 370 Date de publication : 3 novembre 2015 ISBN : 9782332981813. Editions EDILIVRE. Disponibilité : En stock Livre papier 38,50 € 0 Livre numérique : format Pdf 23,10 € + Livre papier + numérique Prix conseillé : 61,60 € Prix : 39,50 € Economisez : 22,10 € PARTAGEZShare on email Share on google_plusone_shareShare on twitter Flamberge se rebiffe LIRE UN EXTRAIT
Fredo DARD ! Merci Mary pour ce joli compliment qui me fait bicher d'aise. Mes pieds ne posent plus par terre et j'en rougi de plaisir derrière mon écran. Connaissant bien mon FLAMBERGE, je pense qu'il sera content de cette reconnaissance "San Antoniotesque" et s'apprête déjà à sillonner la Normandie pour de nouvelles aventures. C'est que la méthode Flamberge fait école... A très bientôt. CC
https://soundcloud.com/user364284985/quand-je-t-aime-par-jacky-jones-0514 Petit clin d'oeil d'un copain chanteur qui apprécie Flamberge.
Bon, quelle heure il se fait là ? Six heures et demie. Au fait Tarzan, t'as un point de chute pour ce soir ?
-Ben là, pas trop mais j'peux coucher au poste, j'ai l'habitude.
-Ouais, mais enfin bon. Un bon plume d'hôtel quoi, çà serait mieux non ? Çà te dit ? J'ai çà pas bien loin, là à côté, sur la place de la Rougemare. Sache mon brave Tarzan, que le lieu est, de surcroît, hautement historique. C'est qu'il faut savoir que si cette place porte ce nom sanguinolent à faire des cauchemars, c'est qu'il lui fut donné par la quantité de sang déversé au sol, suite à la cuisante défaite infligée en 949, par Richard 1er, à l'encontre de la coalition des envahisseurs commandée par Othon roi de France orientale, Louis IV roi de France Occidentale et Arnould le comte de Flandre. Et comme aurait pu le dire Richard 1er lui-même. A Rouen, on a horreur de se laisser emmerder par les emmerdeurs.
Tarzan était resté comme deux ronds de flan devant ce cours magistral fait par un FLAMBERGE en verve et intarissable sur l’historique de sa chère ville de naissance. Pour ne pas laisser Tarzan dans cet état méditatif le mettant en émoi, FLAMBERGE enchaina :
-Bon et là en face, tu vois la petite enseigne violette gentillette là, à côté du chapelier ? Et bien c'est chez mon copain Léon, un brave mec qui a eu, lui aussi, une enfance difficile. Et il fait aussi restaurant. « Qu'ique” t'en penses mon gars ? »
Bonjour Mary. Oui je suis aussi chez Edilivre. Merci pour le lien et à bientôt. Pour la peine, voici un extrait de : "FLAMBERGE SE REBIFFE", où ledit comissaire propose à un ex détenu d'aller dormir chez son copain tenancier d'hôtel, situé à un jet de noyau du commissariat, place de la ROUGEMARE. Lieux à tout le moins historique (pas l'hôtel, la place... CC
Merci Claude pour le petit mot accompagnant votre ajout de mon livre à votre bibliothèque et pour le lien vers l'école des chartes de Rouen. Je vois que vous êtes tout aussi connaisseur et passionné que moi par l'Histoire et surtout celle de nos ancêtre les "Normands". j'ai hâte de lire vos critiques. Pour ma part, concernant votre "Flamberge" je ne vais pas tarder à vous faire les miennes En attendant je vous mets un lien vers la page facebook de mon livre qui contient des informations sur son parcours ( j'en ai vendu + de 3000 exemplaires en auto-édition et je suis maintenant chez Edilivre comme vous me semble-t-il) : https://www.facebook.com/Manus-De%C3%AF-Lamour-a-l%C3%A9preuve-du-duel-1699245700302619/
Publication papier aux éditions Edilivre active depuis le 3 novembre 2015. Visible bientôt sur Amazon, Fnac, Domaine... 370 pages de rebondissements et de rigolade...
Merci Hubert pour cette excellente analyse amicale et à bientôt. CC
Merci América Grace. A bientôt. CC
Merci dufondesages de cet excellent hommage qui me ravit et où il est tacitement admis que les fautes paraissent moins essentielles que la teneur du texte. Oui, les fameuses fautes d'orthographe (dites d'inattention) et les erreurs de syntaxe sont bien mon grand souci, moi le sans certif des années 60 (je n'en fini plus de me relire et de corriger ce polar qui devrait paraître (si j'arrive à bien tout corriger) dès le mois prochain sous la forme papier, aux éditions Edilivre. CC
DU LUTIN ROSE AU GRAND CAFE VICTOR.
Comme à son habitude, FLAMBERGE avait donc opté sur la technique du tir par la bande et entreprit pour çà d’aller directement interroger lui-même le sieur CARLOTTI dans sa tanière, pour continuer son enquête toute en infiltration et immersion. Rien ne valait mieux, pour lui, que de humer la piste et de tâter le terrain du lieu même où se terre le fauve pour mieux l’enfumer.
Comme c'est souvent le valet qui reflète le mieux les travers du maître, il avait donc décidé de commencer son enquête sur la personne du larbin des basses œuvres. Côté cour, le malfrat s’affichait officiellement en qualité de gérant d’un cabaret hôtel situé place Henri IV, au nom évocateur et sans doute dévolu aux culbutes bourgeoises en perspectives : « Le Lutin Rose ». C’était une grosse bonbonnière toute de rose imprégnée, qui semblait d'abord honnête et où se ruait même une clientèle huppée qui venait s’y encanailler avec la bénédiction des autorités locales. Un lieu plutôt badin où s'ébattaient d'ailleurs certaines vedettes émanant du barreau précitées. La piétaille, quant à elle, se dégourdissait plutôt les pinceaux en chahutant la donzelle au bal à Jojo. Voir, à aller se frotter aux matelots et aux dockers au faciès patibulaire, ayant leurs chaises attitrées au Stockholm bar. C’était un de ces troquets brumeux, réputé pour son ambiance très « Macao » où flottaient vapeur et sueur. De ces bistrots fortement enfumés, à lumière tamisée, avec tripot clandestin en arrière salle. Cette perle rare était située parmi un ensemble de rades à marins construits en bois, à la va vite dans les trois quart de ruines que la guerre avait laissée à la Libération, entre le boulevard des Belges et la rue des charrettes, à une portée de lorgnette à pirate du Lutin Rose.
Merci Kris, pour la note et le clin d’œil en argot typique de l'époque, que n'aurait pas renié le commissaire divisionnaire 1/3 anar et 2/3 original. A très bientôt. CC
Ok Patrick. Je t'envoie çà de suite. CC
Oui Patrick, un petit coucou en passant. CC
Merci Marie pour retweet.
Merci Yann. A bientôt. CC
Merci Thierry. A plus tard. CC
Salut Patrick. Ma fille aussi c'est retrouvée dans cette galère de partition volatilisée avec Windows 8 nous avons essayé de le mettre en Windos 7 (qui marche bien pour moi) mais rien à faire. Il va falloir qu'ils arrêtent de faire ce qu'ils veulent avec notre matériel. A bientôt mon poto. Bonne mer et bon vent. CC
Merci Briceclerc. Voilà bien un clin d’œil comme je les aime. A très bientôt. CC
Merci Joseph, le divisionnaire apprécie. CC
Heureux de retrouver Flamberge… que je mets derechef dans ma bibliothèque !