@Mary COUSIN Merci de ton commentaire, c'est très gentil. Il est parfaitement vrai que mon Cotentin me manque, exilée que je suis en toulousain depuis plus de trente ans maintenant. J'ai 54 ans aujourd'hui et je me dis que l'âge de la retraite se profilant, je vais bientôt pouvoir revenir chez ce que j'ai toujours considéré comme chez moi. La Manche est dans mon coeur pour l'éternité, je crois. Amicalement.
La fraîcheur, la sensibilité et le naturel de votre plume m’ayant comme aspiré dans votre récit, j’ai été curieuse de savoir qui se cachait derrière « cette rose sans épine » et j’y ai découvert quelqu’un avec qui j’avais beaucoup de points en commun en plus de l’écriture et l’histoire. Déjà, vous portez deux de mes trois prénoms de naissance et nous devons être à peu près du même âge. Mais j’ai vu aussi que vous aviez croisé notre ami Yann Pailleret, animateur du Jeu des 1000 Euros auquel vous avez brillamment participé tandis que moi, je l’ai organisé dans le magnifique château de ma commune lors que j’étais conseillère municipale dans cette contrée perdue de Normandie que vous semblez affectionner si j’en crois vos superbes transcriptions de vos lointains passages dans ma région. Félicitation pour tout. Cordialement.
Je suis très touchée par les commentaires de lecteurs qui acceptent de se laisser embarquer par des souvenirs aussi insignifiants mais dont l'écriture m'a procuré un bonheur inouï.
J'envisage, après ces fondations de L'Edifice intime, d'écrire "le gros-œuvre" avant "les finitions", sur le même mode.
Merci à tous de vos appréciations qui me donnent envie de continuer cette aventure.
Bonjour, j'ai lu avec attention ces délicieuses tranches de vie laissant parfois l'imagination prendre le relais pour en comprendre le sens et la portée.
Pourquoi ce moment en particulier, perdu entre des millions d'autres, est-il resté gravé ?
Du tourment à la douce nostalgie, ces infimes souvenirs forment une destinée, j'en suis sûr, ces fragments insignifiants mais qui nous marquent et peuvent parfois nous obséder jusqu'à en chercher soi même la signification.
Rien que votre prénom invite au voyage, j'ai juste clické sur vous comme on peut clické sur "Camille Briton!". Nouveau sur ce site j'ai de plus en plus l'impression que l'on cache des petit trésors... (voie comico-maléfique) je reviendrai Madame Espina, je reviendrai vous lire...je reviendrrrai.
Je l'avais loupé? Si loin dans le classement, normal. Avec le temps, on finit par dégringoler les étages.
J'aime ce genre d'écriture, dotée de finesse et qui sait capturer des instants pour nous en renvoyer les reflets. Moments ordinaires (?) mais transfigurés, pour moi il ne faut rien toucher: nouvelles ce sont, nouvelles ce doivent rester, miroirs déposés le long d'un chemin.
Très intéressant et agréable. C'est dommage qu'il y ait le principe des nouvelles, c'est trop court. En plus on voudrait bien savoir la suite et la chute.
Mais c'est beau et bien.
L'écriture me séduit, ce qui n'est pas si fréquent sur ce site.
Des tranches de la vie ordinaire, qu'on lit sans ennui, mais dont on se dit, justement, qu'elles sont par trop ordinaires.
Sympathique malgré tout.
Des bulles de champagne ! je comprends le jury du Grand prix Philémon, ces histoires courtes sont amusantes et tendres, avec un art consommé de la chute.
Ce livre est noté par
@Adelyre
Merci, c'est vraiment très gentil. Je suis heureuse que mon écriture vous convienne. Cordialement,
@Mary COUSIN Merci de ton commentaire, c'est très gentil. Il est parfaitement vrai que mon Cotentin me manque, exilée que je suis en toulousain depuis plus de trente ans maintenant. J'ai 54 ans aujourd'hui et je me dis que l'âge de la retraite se profilant, je vais bientôt pouvoir revenir chez ce que j'ai toujours considéré comme chez moi. La Manche est dans mon coeur pour l'éternité, je crois. Amicalement.
Pour ceux qui aiment me lire, je voudrais citer un proverbe espagnol : rosa sin espina, trempa hay.
J'ai donc mis d'autres textes sous le nom de "trempa hay", rubrique Autres, autres.
En espérant ne pas vous décevoir.
Rosa sin espina
Bonjour,
Je suis très touchée par les commentaires de lecteurs qui acceptent de se laisser embarquer par des souvenirs aussi insignifiants mais dont l'écriture m'a procuré un bonheur inouï.
J'envisage, après ces fondations de L'Edifice intime, d'écrire "le gros-œuvre" avant "les finitions", sur le même mode.
Merci à tous de vos appréciations qui me donnent envie de continuer cette aventure.
Bonjour, j'ai lu avec attention ces délicieuses tranches de vie laissant parfois l'imagination prendre le relais pour en comprendre le sens et la portée.
Pourquoi ce moment en particulier, perdu entre des millions d'autres, est-il resté gravé ?
Du tourment à la douce nostalgie, ces infimes souvenirs forment une destinée, j'en suis sûr, ces fragments insignifiants mais qui nous marquent et peuvent parfois nous obséder jusqu'à en chercher soi même la signification.