J’ai taillé ma plume au fil de « Manus Deï » l’épée de Jean IV de Carrouges pour relater le fabuleux destin de ce chevalier normand qui fut, par amour, l’instigateur du dernier duel judiciaire autorisé en France par le Parlement de Paris comme Judicium Deï (Ce duel eut lieu à l’abbaye St Martin des Champs en 1386 en présence des plus grands du royaume). Au vu de sa vie et des épreuves qui l’ont amené à faire appel à cette solution ultime de faire valoir son droit en exposant sa vie pour défendre l'honneur de son épouse, j’ai décidé de prendre les armes. En raccrochant tout ses évènements à l'épopée d'une épée célèbre de l'époque j'ai tenté de faire guerroyer le lecteur aux côtés de personnages illustres tels Du Guesclin ou Jehanne La Pucelle qui l'ont tenue dans leurs mains.
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Bonjour Mary, tout d'abord encore merci pour votre commentaire sur me recueil. Je viens de mettre votre livre dans ma bibliothèque et le lirai dès que possible, là, je suis beaucoup prise par mes petits enfants qui sont là en vacances.
Bonne journée et bon Noël à toi.
Tiamaraa
Merci Céline pour vos louanges concernant mon ouvrage pour lequel j’ai, en effet, fait des années de recherches pointues aboutissant parfois sur des trouvailles passionnantes pour l’historienne que je suis. Je reconnais avoir eu du mal à m’en éloigner, d’où mon besoin d’en restituer un maximum au lecteur dans de longs dialogues qui, a priori, vous ont semblé alourdir le texte. Je peux le comprendre. C’est vrai que j’ai choisi d’adopter, pour rendre l’histoire plus vivante, la règle des trois unités : un lieu, une date, un événement marquant, comme au théâtre. J’ai donc pris le parti du dialogue, parfois dans le cadre de repas festifs pour présenter les personnages de cette histoire « vraie » et faire relater leurs hauts faits ou épopées chevaleresques, par les hôtes présents. J’avoue que ça peut sembler fastidieux de se familiariser avec tous (comme dans un véritable banquet de mariage) mais je me devais de les situer, car ils interviennent pour la plupart dans les événements qui suivent. Comme vous, j'ai maintes fois lu "Les Rois Maudits", et je sais que je n’arrive pas à la cheville de Maurice Druon, mais mon ouvrage se situant à une période qui suit la sienne, j’y fais référence et vous avez dû vous y retrouver aisément. Une petite précision concernant l’épée de mon chevalier : son histoire est avérée à partir du moment où elle est dans les mains de Du Guesclin jusqu’à son terme dans celles de Jehanne la pucelle qui la brise à Gien juste avant d’aller faire couronner le dauphin Charles VII.
Merci aussi a Adelyre, Christine Léo, Navizim et Gauthier d'avoir mis mon ouvrage dans leur bibliothèque. J'attends vos commentaires avec impatience.
Merci, Philippe, comme vous devez vous en douter, tout ce qui concerne l'histoire (en particulier médiévale) me passionne. Je serai donc ravie de découvrir votre travail (surtout que j'ai un ami qui vient d'écrire une thèse sur votre ami ... Bossuet) En attendant, je me permets de vous souhaiter de passer de bonnes fêtes de fin d'année. Mary
Bonjour Mary.
Je n'ai pas encore fini ma lecture. Je réserve donc (provisoirement) mon nombre d'étoiles... Ne soyez pas paranoïaque, c'est de l'humour!
Toutefois, ancien professeur d'histoire, j'y trouve tous les ingrédients de la littérature chevaleresque médiévale: les généalogies; la naissance; l'éducation; les exploits... Le tout agrémenté d'une superbe cartographie!
Si cela vous intéresse, une partie de mon nouveau roman est consacrée à cette littérature. Je peux vous la faire parvenir sur votre boîte courriel personnelle. Cette nouvelle version de "Bossuet était un c..." n'est pas encore protégée par un "isbn", mais je ne pense pas que mon éditrice y voit un inconvénient ( ? - ! )... Si nous pouvons nous aider entre auteurs, c'est toujours un plaisir!
Fort cordialement et en attendant de vous lire à nouveau.
Philippe. / Boris.
Votre critique Elisa, me va droit au cœur, venant de vous dont j'ai gouté l'art poétique.Merci aussi Ben d'avoir ajouté mon livre qui je l'espère saura vous séduire, à votre bibliothèque.
Merci Mary pour votre commentaire si bienveillant, je suis touché.
J'ai commencé à lire votre roman et je vous donnerai mes impressions en janvier. Je vous souhaite de passer de bonnes fêtes de fin d'année.
A bientôt :-)
Merci Mary pour votre commentaire auquel j'ai répondu sur ma page. je mets votre livre dans ma bibliothèque. Amitiés, AnouK.
Bonjour Mary !
Je vous ai répondu à votre formidable commentaire sur ma page, je mets votre livre dans ma bibliothèque.
A très vite
Ben.
Bonsoir Mary Cousin. Merci de tout cœur pour vos propos élogieux et étoilés. Chaque mot que vous m’avez offert dans vos commentaires est un encouragement à récidiver, à reprendre la plume. Ma plus grande récompense, ce sont vos rires, mon plus beau rêve, celui de voir des comédiennes et des comédiens prendre à bras le corps le jeu de cette comédie déjantée.
Je suis très curieux d’entrer dans votre univers, celui d’une écrivaine qui, par le biais du roman, fait revivre l’histoire. Je trouve cette démarche érudite passionnante. Je vous préviens, je lis lentement mais je vous donnerai bientôt de mes nouvelles. Promis ! Cordialement. JCML.
Je vais lire votre ouvrage... Suivant mon rythme: comme beaucoup d'intellectuels, je suis assez lent! Ancien professeur d'histoire (nul n'est parfait...); j'ai été, dès le début, séduit par le sérieux de votre documentation.
En vous remerciant de vos appréciations quant à "Galerie de portraits...". j'y ai répondu dans la page de ce livre. je vais vous contacter par courriel en suivant le lien que vous avez indiqué.
Cordialement.
Boris Phillips.
Bonjour Mary, vous m'avez fait la surprise de découvrir — sans passer par la case bibliothèque — un commentaire élogieux assorti d'une notation qui m'enchante, et je vous en remercie chaleureusement. J'ai pu constater qu'il s'agissait pour vous d'une première incursion dans le genre. Vous avez raison, c'est un hommage à celle que j'ai prénommée Claire (prénom d'emprunt) et qui a laissé une marque indélébile dans mon coeur. Femme admirable, brillantissime, tellement +++ dans tous les domaines, je ne pouvais qu'adapter mon roman (notre romance) à son Journal. Journal dans lequel, femme de lettres, historienne, elle a évoqué son ressenti, ses émotions, ses attentes et ses intentions pour un avenir qui lui a échappé trop tôt. Vous l'aurez compris, elle ne faisait pas les choses à moitié, et j'ai dû gommer tout ce qui était trop intime, ou qui aurait choqué un lectorat parfois prude et romantique comme vous-même. Et cependant, elle était — à sa manière — profondément romantique. Puisque vous m'avez tendu la perche, Mary, historien dans l'âme moi aussi, je vous annonce que je vais savourer "Manus Deï" dont j'ai déjà parcouru la préface, la table des matières et la généalogie de ce chevalier. Merci pour ce partage enrichissant. Très cordialement. MC
Chère Sylvie, comme je l'ai signalé à notre ami Alain Richier qui m'a fait la même demande, j'ai fait une auto-édition et je peux vous le faire parvenir par la poste pour 20€, contactez-moi par le biais de mon mail: mary-cousin@orange.fr.
Autrement, vous pouvez vous le procurer chez Edilivre mais l'édition papier est, je trouve, exorbitante!
Merci Mary pour votre appréciation au sujet de mon 2ème roman:"Matriochkas".
Cependant, je suis très intriguée car il n'est pas sur ce site et je me demande où vous avez pu le lire?
Il est sur"Nouvelles plumes", mais non accessible à la lecture.
Merci encore pour ce roman que j'ai écrit avec tellement de plaisir.
j'ai fait une auto-édition et je peux vous le faire parvenir par la poste, contactez-moi par le biais de mon mail: mary-cousin@orange.fr.
Autrement, vous pouvez vous le procurer chez Edilivre mais l'édition papier est, je trouve, exorbitante!
Merci, Dufondesages, pour votre commentaire et pour vous être donné la peine de faire toutes ces corrections en si peu de temps. Heureusement pour moi, tous les lecteurs n'ont pas votre perspicacité à détecter les fautes de typographie ou d'orthographe. Pour amener de l'eau à mon moulin, j'ai l'excuse d'avoir compulsé pendant plus de 6 ans des documents écrits en latin ou vieux français d'une époque où, justement, l'orthographe n'était pas posée et où il n'était pas rare de trouver, dans la même page, les mêmes mots ou noms écrits différemment. J'avais d'ailleurs fait la première édition papier de mon livre en police gothique et en employant ces termes et tournures moyenâgeuses pour mieux plonger le lecteur dans l'esprit de cette période. Pour l’édition sur MBS, j'ai dû abandonner le procédé mais certains mots qui sont passé à l’as ou qui tombe sous le sens, n’ont pas forcément un astérisque les renvoyant à l’index. Merci aussi à BiblioPhil pour votre gentil message qui met du baume au cœur. Cordialement Mary
M. Scorsèse est venu faire des repérages, seulement a rencontré un problème: il ne reste pratiquement plus aucuns vestiges des lieux où eurent lieu les événements et de plus, il devait faire deux autres films avant " the last duel" qui ne sont toujours pas tournés.
Est-ce que les silences de M. Scorsèse et de L Besson ne seraient pas plutôt liés à un quiproquo ? Peut-être ont-ils mal compris votre démarche. Car enfin, je pense qu'en lisant votre oeuvre, ils ne peuvent qu'en tirer une source inépuisable de renseignements utiles dans la création d'un superbe film médiéval. CC
Merci beaucoup Claude pour ce plaisant commentaire sur mon livre et sur le fait que vous pensiez que cette histoire mériterait d’être adaptée à l’écran. Elle a bien manqué l’être, en 2009 par le cinéaste américain Martin Scorcese (« Taxi driver », « Les infiltrés »). Il projetait alors de réaliser une adaptation cinématographique du " Last duel", d’après un ouvrage écrit par un professeur d'université américain de Californie, Eric Jagger avec qui j’étais en contact et, qui rapporte uniquement ledit « événement ». J’avais donc fait parvenir mon ouvrage au cinéaste en lui indiquant que ce fait historique n’avait de sens que si on connaissait les raisons qui ont poussé Jehan IV de Carrouges à demander ce fameux duel et pour cela il y avait mon ouvrage qui met en scène, au fil de son épée, la vie de page, d'écuyer puis de chevalier de notre valeureux seigneur que les épreuves ont amené à cette solution ultime de faire valoir son droit en appelant au "Judicium Deï" pour défendre l'honneur de son épouse ( décision inconcevable en 1386 tenu compte de la place de la femme dans la société de l’époque). Seulement depuis, Martins Scorcese a abandonné son projet de film. Par la suite, j'ai envoyé mon livre à la Société de Luc Besson, Digital Factory, implantée pas très loin de chez moi, au château de la Trinité-des-Laitiers, qui n’a pas donné signe de vie.
Mais je ne désespère pas qu’un jour …
Normand moi-même et amoureux d'histoire de France, mon père m' avait fait visiter le château de Carrouges dans l'Orne pour mes dix ans (1961) et le guide nous avait fait un véritable panégyrique de notre belle Normandie et de Carrouges. C'est d’ailleurs ce que je retrouve avec joie dans votre livre. Je l'emporte dans ma bibliothèque et reviendrai le noter. Je peux cependant dire d'ors et déjà, que tous les détails parcourus sur les premières pages lues sont une vraie mine de connaissance pour le normand que je suis. En ce qui concerne Rollon, il semblerait qu'il soit l’initiateur de la création du port de ROUEN. Qu'en pensez-vous ? A très bientôt payse. CC http://www.persee.fr/doc/bec_0373-6237_1847_num_8_1_452059
Merci à vous, Val-Elysa pour votre gentil commentaire. Je suis ravie que mon roman vous ait plu. Je sais, c’est un ouvrage historique qui me contraint à une grande rigueur. De ce fait, il peut y avoir des passages fastidieux pour les lecteurs non férus d’histoire. A ceux là, je conseille de sauter lesdits passages pour ne suivre que le côté romanesque du livre. Souvent, ils y reviennent par la suite. Pour aider le lecteur à se retrouver dans les dédales de la Guerre de Cent Ans, j’ai d’ailleurs mis en ligne une page internet qui situe le roman dans l’Histoire de France : http://gite.de.mary.pagesperso-orange.fr/manus-dei/Nouveau%20table.htm Merci en tout cas de vos appréciations très gratifiantes.
Bonjour Mary et merci d'avoir ajouté BLANCHE à votre bibliothèque. J'ai commencé à lire MANUS DEÏ et je ne peux pour l'instant que vous féliciter pour le travail de recherche énorme que vous nous proposez dans votre oeuvre. Nos univers ne sont pas vraiment du même ordre, mais j'aime la diversité et j'espère que vous apprécierez le mien aussi. Je reviendrai vers vous ma lecture achevée pour vous donner mes impressions.
Bien cordialement,
Muriel
Merci beaucoup Kuntur Kingdom d'avoir mis " "Manus Deï" L'amour à l'épreuve du duel" dans votre bibliothèque et deux fois merci pour vos commentaires sur son contenu qui est le fruit d'un très long travail de recherches historiques. C'est très réconfortant de recevoir la reconnaissance de confrères ou consœurs. J'ai également glissé dans ma bibliothèque votre ouvrage que je vais m'empresser de lire dès que possible.
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