Je ne suis plus tout à fait objective quand il s'agit de commenter Stog... à moins que... ********** A moins que ce soit l'inverse : que j'aie choisi depuis longtemps de lire Stog parce que je sais que je vais aimer. ********** Alors, bien, aimer quoi ?****** Toujours la même chose : une vision du monde, la générosité, la fraternité. Et ici, dans ce texte, c'est énorme. "Toute comparaison est odieuse", je sais, mais je ne peux m'empêcher : il y a du Springsteen, il y a des Cohens (The Big Lebowski) dans l'amitié qui unit les deux amis, en galère sur une coquille de noix dans l'immensité de l'existence, ballotés par les vents mauvais de la saloperie... Enfin, voilà que je m'égare. Et pis, y a aussi une langue... ça y est, y s'lâch" notre chum d'outre-Atlantique, notre cher cousin.****** Voilà, c'est dit "quand j'aime un jour, j'aime pour toujours". Lisez donc, Tabernacle !
Publié le 19 Février 2022