Chère Parthemise, Une histoire courte remplie de métaphores et écrite d'une plume on ne peut plus humoristique. Poulbot de naissance, j'ai kiffé grave et j'ai adoré imaginer mère Thérèsa en train de dealer des préservatifs sans parler de la vente pur porc sur un marché hallal. Vous dites ne pas toucher à la fumette, je n'ose imaginer cette histoire si vous en aviez pris (J'y pense, ça doit être la picouze) ;0)) Bien à vous Chanelle

Cher Fernand Fallou, Je vous avoue avoir lu une première fois (il y a quelques mois), en diagonale votre nouvelle car j'ai du mal à revenir sur ce genre de lecture qui m'a traumatisé par héritage. Aujourd'hui armée de courage je l'ai relue doucement et calmement. Tout d'abord, je vous félicite pour votre travail de documentation colossal. Quel courage, Quel verbe, un récit qui nous transcende. On est traversé par de multiples sentiments, Horreur, Admiration, Empathie.... La folie des hommes est sans limites, nous sommes entre la réalité et le rêve, nous nageons dans un cauchemar. Assoiffée, j'ai bu votre nouvelle, Affamée, je l'ai mangée d'une traite. Ce "docu-fiction" m'a encore appris des choses et je vous en suis infiniment reconnaissante. Vous êtes un conteur extraordinaire et ce n'est pas pour vous jeter des fleurs. Bien à vous Chanelle

Magnifique ! Tellement joli et mélodieux que je l'ai lu 3 fois Bien à vous Chanelle

Cher Fernand Fallou, Félicitations car voici un travail qui ne laisse pas indifférent. En effet à travers ces deux protagonistes, vous nous emmenez au coeur de la nature destructrice de l'homme. Celui-ci face à l'obstacle et à ses peurs, c'est à dire face à lui-même en perd la raison. Bien à vous Chanelle

Félicitations ! Très bien écrit Comme quoi parfois, l'alcool peut aussi nous sauver la mise Merci pour cet instant de lecture. Bien à vous