Fernand Fallou

@Zoé Florent J’ai lu tes deux textes qui sont dans ton style reconnaissable branchés psychologie. Je ne vais pas recommencer ce que les autres ont déjà dit. Elle y croit, et puis ça tombe à l’eau ! Mais quand on a envie de s’en aller, attendre que l’autre fasse une faute pour partir avec tous les honneurs, c’est beaucoup de temps de jeunesse qui fout le camp quel que soit l’âge, vu que la vie est un long vieillissement et pas dans l’autre sens. Donc beaucoup de temps perdu ! Quant à l’autre, le mec, il a déjà une pension alimentaire sur le dos qui lui coute un œil, (dans le texte) on comprend qu’il ne veuille pas perdre l’autre, la vue étant le plus important de nos cinq sens. Bref ! je me permets une pensée de « mec » : c’est des nanas comme ça qui font les célibataires ! FF

Oh, tuer les petits oiseaux, ce n’est pas beau, et voilà que nous sommes envahis par les moustiques, les mouches, les coléoptères, les chenilles, les sauterelles, les fourmis, etc. Quant à ceux qui vaporisent toute la journée des produits mortels pour toutes ces bestioles, pour avoir de beaux maïs, de beaux tournesols, de beaux raisins, etc., ce n’est pas mieux. Et nous n'aurons plus d’oiseaux quand même parce qu’ils mourront de faim. Mais c’est une autre histoire, la vraie histoire. Mais ton conte est très beau @Parthemise33. C’est vrai, on ne peut pas vivre sans le chant des oiseaux. Si on exterminait tous les imbéciles, être « un mec bien » ne voudrait plus rien dire. Il doit y avoir une faille dans « le malheur des uns fait le bonheur des autres ». Le bon proverbe doit être « le malheur des uns fait le malheur de tous ». La complexité de ton histoire est là ! FF

Ma chère Michele alias @Zoé Florent J‘ai lu cette histoire comme d’habitude très bien écrite, qui pourrait être banale, mais qui nous emmène grâce à ta plume dans la pensée élaborée des protagonistes. Bravo pour ce texte dans lequel je me sens comme un neurone qui voyage dans d’autres cerveaux. FF

@Parthémise33 J’ai visité la maison de Giono, ce qui m’a le plus impressionné, c’est le nombre de porteplumes et les inoubliables plumes Sergent-Major. Exactement les mêmes que ceux que j’utilisais quand j’étais écolier dans l’odeur de l’encre et du papier. Quand le pastis coule à flot à la terrasse du Cigaloun, j’ai entendu un des quatre joueurs de belote avec cet accent incontournable comme l’antenne sur la tête d’un martien : Peuchère, quelle histoire, c’est un buffet ou un tableau, pas commode à comprendre et un autre de lui répondre : Oh fan ! tu la connais, cette Parthemise ? Vé ! Il parait qu'elle coure la nuit dans la garrigue avec le « Lou Garagaï » entre les rayons de lavande. Boudiou ! mais non, la nuit elle écrit des super-histoires de buffet, "Aïoli ! fends moi le cœur qu’on en finisse et qu’on boive un pastis. Bravo ! FF

@Bernard Delalande Vous êtes né un jour spécial BéBé, normal ! C’est un signe. Je suis épaté par votre texte et votre culture. Vous êtes un érudit, fin connaisseur des réalités contemporaines. J’ai beaucoup aimé, « ainsi va la vie », parmi toutes les idées loufoques qui me passent par la tête, je n’ai jamais pensé à faire ce calcul, par contre j’ai écrit une nouvelle quand j’étais très jeune sur le même thème que « chambre noire ». Paniquez pas elle n’est pas sur Mbs. Il y des tas de mots pour féliciter, mais pour moi qui a eu son certificat d’études avec la mention « tout juste », je n’ai rien de plus fort que Bravo ! FF