À mon avis, les philosophes, qui font la bonne philosophie, n’ont pas de pays ni de frontières.
Donc nos philosophes ont répété solennellement, voire par écrit, ce que nos poivrots (qui n’ont pas de frontières non plus) ont éructés dans les relents de dégueulis et d’alcool, en pétant et en rotant, accrochés au zinc du fin fond d’un bistrot, esseulés, dans une rue déserte bordée de bagnoles pas encore épaves, mais presque, écrasée par le ciel blafard de la banlieue grise.
Voici une dissertation qui ne se termine pas par l’affirmation d’une pseudo vérité, mais par une question. Question d’ivrognes, certes, mais peut-être que les grandes questions sont nées entre deux verres de gros rouge qui tache sur le zinc sale d’un rade abandonné ?
Allez savoir ?
Ce livre est noté par
Cher Jacques Lauzel
Vous avez raison, je suis d’accord pour dire que sans le sexe la vie serait vraiment moins drôle
Et maintenant que je sais qu’il y a quatre couleurs de culotte, c’est un encouragement à avoir quatre femmes. Je sais pas si ça fait pas un peu beaucoup pour moi maintenant, comme je dis dans un de mes textes : plusieurs femmes c’est multiplier les emmerdements. On va revenir à une, c’est pas beaucoup, mais ça me suffit comme dirait mon copain Sam suffy.
Merci pour toutes ces étoiles sur mon texte « la culotte » ça va attirer l’attention.
FF
Moi c culotte, toujours & partout !... surtout la nuit ! et si string : culotte à changer illico (la ficelle frottant l'anus, c pas possible), et comment met-on la main dans la culotte derrière s'il n'y en a pas ?... Je n'en ferai pas trop sur ce sujet qui me passionne, m'échauffe, que je connais jusqu'à la dernière serviette, précise qu'il y a 4 couleurs de culottes sexy comme il y a "les 4 couleurs du sexe". Blanc, noir, rouge, chair : non je ne développe pas ici !... Drôle de texte de Fernand Fallou dont je lis de bonnes pages de ses romans pour le mesurer mieux... En tout les cas : salut frère paillard, gaulois, grivois, rabelaisien, que je sens pratiquer l'amour courtois comme Bibi... "Le cul est la seule raison de vivre" j'ai tout envisagé. Bien à toi frère d'amour ! Jacques
Chère @Fauvette
Je suis trop fainéant (et trop vieux) pour écrire un bouquin de 600 pages sur le sujet.
Merci de m’avoir lu, commenté et étoilé.
FF
Salut @Annie Pic
Merci d’être venue te balader sur ma page. Ce texte, comme je le dis dans le synopsis et à la fin est une gageüre, paroles d’ivrognes à ne pas prendre au sérieux.
Merci pour les étoiles.
@Chanelle75
Chère amie, je suis très heureux de vous revoir dans mes commentaires, vous arrivez tel le père noël, chargé d’étoiles en avance sur la saison et je vous remercie. Avec ce réchauffement climatique on ne sait plus où on en est. A vous lire, je me dis, y a encore des femmes qui ont de l’humour, et ça me fait plaisir.
@Fernand Fallou
Peut-être qu'il existe des strings en bambou ? Un chouette cadeau de Noël sous le sapin :-)
@Anne Clécie
Ça y est, je suis découvert, je suis un collégien. Un grand merci pour cette mise à jour. Comme je dis toujours à ma compagne, lorsque nous partons en vacances « transporte tes strings en pelote, ils prendront moins de place ». Elle ne m’écoute pas.
J’ignore tout de la culotte en « bambou » mais je peux envisager des hypothèses.
Quant à la deuxième partie de votre commentaire, c’est effectivement de l’humour. Bravo !
Merci d’avoir passé du temps à me lire et à me commenter.
Bonjour @Fernand Fallou,
J'ai lu votre texte plutôt comme une rédaction de collégien, qui se serait scrupuleusement documenté dans l'encyclopédie "Tout L'Univers" (à mon âge) ou sur Wikipédia (pour les connectés d'aujourd'hui).
Si vous le voulez bien (même si vous ne le voulez pas d'ailleurs), voici un florilèges des culottes féminines d'aujourd'hui : la culotte traditionnellle (taille basse ou taille haute), le string tellement vilipendé pour sa pseudo vulgarité, le tanga qui en laisse voir un peu plus mais pas trop, le shorty plus sportif et le grand retour de la culotte menstruelle, plus écologique et bien connue de nos aïeules. L'évolution actuelle de la lingerie se dirige plutôt vers le bio-éthique que vers la culotte invisible. Avez-vous entendu parler des culottes en bambou ?
Voilà pour le complément de rédaction, ces précisions me paraissant de la plus haute importance ;-)
Et enfin concernant votre dernière question, je dois l'avouer, elle ne me passionne pas trop, mais comme c'est une question de poivrot, cela se comprend mieux ;-) Et de toute manière, on dit ou pas si on porte une culotte, le coeur du sujet serait donc la liberté d'expression...
Bien à vous,
Anne
@galodarsac
Mon cher Patrick
J’aime ce commentaire qui établit le lien invisible entre mon synopsis et le texte qui suit. C’est dans les bistroquets (maintenant bars à vin) où on appelle un chat un chat, une femme avec culotte et une sans. Merci d’avoir rétabli une réalité tombée dans le déni général. Quant à mes idées, il y a des gens comme toi qui pensent que c’est comme les champignons, j’ai un coin ! Eh bien pas du tout. Ce n’est pas moi qui les cherche, c’est elles qui me trouvent, elles me pourchassent, elles me suivent, que dis-je, elles me poursuivent, où que j’aille, où que je sois, elles sont partout, elles sont là à l’affût de ma plume, je ne sais plus où me cacher. (Ça vaut pas Edmond, mais j’essaye)
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé
Chère @Parthemise33
Merci de me mettre au courant des péripéties entre Catherine de Médicis et Diane de Poitiers. Compte tenue de la bronca déclenché par ce texte sur « la culotte de femme » je ne suis pas près de recommencer. J’avais un truc sur les slips à col roulé des hommes et les chaussettes cagoules spéciales braqueurs de banlieue mais j’abandonne les projets. Quant à votre idée sur les dangers des slips d’hommes à fermeture éclair c’est trop moderne, je vais parler des slips à fibule tout aussi dangereux des Grecs et des Romains.
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
En écrivant cet essai à tendance humoristique je ne m’imaginais pas déclencher des tempêtes neuronales. D’ailleurs toutes ces divergences de vues font le charme de Mbs.
@Zoé Florent
J'imagine que vos étoiles sont "de visibilité", comme vous les appelez. Parce que, sinon, j'ai du mal à comprendre comment on peut ainsi récompenser une panouille pareille. Que ferez-vous, le jour où vous tomberez sur une oeuvre de mérite, si tant est que vous la reconnaissiez ? Remarquez, d'un autre côté, je ne saisis pas non plus comment on peut s'attacher à rendre visible un texte qui, quel que soit le bout par lequel on le prend, est un désastre sans appel. Quelle étrange perversité vous anime donc ?
Rendez-nous notre Fallou, lorsqu'il ne se piquait pas de philosophie !!!
@Fernand Fallou
"De nos jours, est-ce qu'une femme qui n'a pas de culotte a les mêmes droits qu'une autre femme ?" Vous posez là, cher et philosophique ami, une question primordiale, et je vous en remercie parce qu'il est plutôt rare qu'un auteur, mâle de surcroit, s'inquiète du sort des femmes déculottées. Encore que je ne sache pas très bien ce que vous entendez par "moralité universelle de surface" (les mineurs, par exemple, en seraient-ils privés ?) et quoique je ne comprenne pas clairement ce que le Dark Web vient faire dans cette affaire (mènerait-il une offensive pour ou contre le port de la culotte féminine ? On ne pige pas très bien), je vous félicite de prendre tant à coeur le sort de mes congénères privées de sous-vêtements, à travers un texte et une réflexion où vous atteignez, mine de rien, des sommets.
Bien à vous.
@Fernand Fallou Dans la vraie vie, je dirais, en tant que femme, que le fait de porter ou non une culotte est un choix, qui a l'avantage d'être assez discret pour que les notions de droit, de permission n'entrent pas en jeu. Quant au Dark World, à partir du moment où les exhibitions sont volontaires, consenties, idem, même si n'en étant pas friande, je ne les recherche ni ne les cautionne... Bon dimanche ! Michèle
@Zoé Florent
Ma chère Michèle, devant cette « bronca » comme tu dis, je me suis vu dans l’obligation de compléter mon texte. Mon texte n’est pas une enquête sur l’histoire de la culotte. (Quoi que, quoique ! ) C’est un raisonnement qui nous amène à penser à une question qui va a l’encontre des droits de l’homme et donc de la liberté. (de la femme en l’occurrence)
J’avais pensé que les lectrices et les lecteurs feraient le chemin de la liberté eux-mêmes entre la moralité universelle de surface et la moralité universelle du Dark World..
Comme ce n’est pas le cas j’ai changé la fin de mon texte.
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
@Tino R.
Cher ami, j’ai écrit ce texte dans un état d’esprit qui apparemment vous échappe. Mais ce n’est pas grave, chacun de nous perçoit les choses d’une manière différente. C’est ce qui fait la beauté de notre monde. La beauté est dans la diversité. Je note que vous m’accordez deux étoiles, et vraiment je vous en remercie, ça veut dire que derrière mes mots, il y a quelque chose qui vous touche.
Amicalement.
@émilie brack
Tout d’abord, la culotte était en projet bien avant que Mbs ne décide de me distinguer. J’avais besoin d’une crise de déconnade. Rien que pour vous faire plaisir, je vous dédierai ma prochaine histoire, une histoire de sorcière qui commence au 11ème siècle et qui finit peut-être à notre époque. C’était l’époque ou les sorcières était un excellent combustible et tellement moches, comme celle qui donna la pomme à Blanche-Neige qu’il ne me serait jamais venu à l’idée de lui donner le numéro de ma chambre. Mais comme disait Caldera « le pire n’est pas toujours certains » Gare au gorille !
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.