L'accabadora

19 pages de Fernand Fallou
L'accabadora Fernand Fallou
Synopsis

Si vous voulez savoir ce qui se cache derrière ce mot singulier,
pas la peine d’ouvrir vos dictionnaires, d’aller sur Internet ou de demander à vos relations littéraires.
Ouvrez mon texte, je vous l’explique dès les premières lignes.
Cela dit, peut-être que les âmes sensibles et les jeunes gens ayant moins de dix-huit ans devraient s’abstenir de lire ce texte.
Après…
Après…
Accrochez-vous !
Bon voyage.
FF

Publié le 22 Octobre 2022

Les statistiques du livre

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"L'accabadora" est le "Livre le +" du 28 octobre. Retrouvez l’article qui vous donnera envie de le lire. N'oubliez pas de laisser un commentaire à Fernand Fallou, c’est pour cela qu'il publie ses nouvelles sur monBestSeller.

Publié le 28 Octobre 2022

Ce livre est noté par

32 commentaires , 15 notes
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Cher @Bahloul
Je suis très heureux que ce texte qui me tient à cœur vous ait plu. Ce sujet est peu connu.
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.

Publié le 23 Août 2023
5
@Fernand Fallou: C'est une très belle histoire, bien écrite(comme toutes vos nouvelles; du moins celles que j'ai eu l'occasion de lire). Vous maitrisez toujours vos sujets, qui sont bien documentés, ainsi que vos personnages. Bravo et merci pour ce beau moment de lecture.
Publié le 23 Août 2023

Cher @Stog 2
ça doit etre ça !
exact !
merci

Publié le 09 Mai 2023

Cher@Fernand Fallou,
En fait, la tradition orale racontait que chez les Inuits (Esquimaux), les personnes rendues trop faibles pour suivre la tribu en déplacement sortaient elles-mêmes de leurs igloos la nuit pour aller se perdre dans la toundra glacée et mourir de froid.

Publié le 09 Mai 2023

Cher @Stog 2
Il me semble avoir lu (lorsque j'étais très jeune) des histoires d'Indiens ou d'Esquimaux, je ne sais plus, où les tribus abandonnaient les vieux, trop vieux, comme ça tout seuls dans les "pampas" de glace ou de forêt. Sympa !
Rien de nouveau sous le soleil.
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.

Publié le 09 Mai 2023
5
Du gros marteau utilisé naguère par les éleveurs à l’euthanasie pratiquée par les vétérinaires, la mort peut prendre toutes sortes de raccourcis et les hommes; toutes sortes de déviances. C’est un texte courageux, comme tous ceux qui traitent de la mort, et...c’est bien écrit. J'ai aussi aimé cette leçon d'histoire concernant l'origine de la carte d'identité.
Publié le 09 Mai 2023

@Fernand Fallou
@monBestSeller
Ma formulation n'était pas très claire : le rapport étai entre moi (jbtanpi) et Six-Blaireaux à propos de la remarque sur les coquilles.
Cela est dû au fait que, pour une raison qui m'échappe, le texte que j'avais préparé (avec le bloc-notes de Windows) puis copié dans la case "ajouter un commentaire" est paru sans tenir compte des sauts de ligne qui ont été remplacés par des espaces. Je préfère une présentation aérée à un "pavé", même si ça prend un peu (trop) de place. Mais c'est tellement plus clair !
À mon âge, j'ai de plus en plus de mal avec internet... et notamment avec la gestion des commentaires.
À bientôt !
jbtanpi

Publié le 26 Janvier 2023

@jbtanpi
Mon cher Jean Pierre, très heureux que ce texte vous ait plu, et qu’il vous ait redonné l’envie de reprendre votre plume.
Je ne comprends pas très bien le rapport entre moi et Six-Blaireaux, mais en tous cas, soyez sûr que mes textes et mes mots ne sont copiés sur personne.
N’hésitez pas à me faire remarquer mes « coquilles »
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
FF

Publié le 26 Janvier 2023
5
Mon cher @Fernand Fallou Bravo et ***** pour ce texte très bien documenté (par exemple au sujet du marché aux puces), mais surtout qui "prend aux tripes" en faisant ressentir au lecteur la souffrance des personnages et l'angoisse de la mort... Pour un lecteur comme moi, qui a largement dépassé les 80 ans, l'euthanasie est un sujet sensible, mais je ne suis pas très chatouilleux de ce côté-là (ça serait mauvais pour le moral). En revanche, ce qui est effrayant, et que vous avez magnifiquement décrit, c'est le "démon de l'accoutumance" (votre expression est jolie) et le glissement inexorable des actions altruistes de Marcel (épargner des souffrances) vers des actions routinières (l'habitude), puis vers des actions incontrôlables (pour un plaisir égoïste). Cela dit, il y a des trouvailles au niveau des mots. Par exemple : "le cœur du corps de l'homme" (qui n'est pas seulement la pompe située dans la poitrine), Ou encore "l'hérésie du bonheur". Comme Six-Blaireaux (c'est peut-être moi le septième), j'ai remarqué quelques coquilles. Puisque vous autorisez le téléchargement de votre livre, je peux les noter facilement et vous les transmettre par messagerie. Merci pour ce texte, qui a réveillé mon envie de lire, d'écrire et de commenter mes lectures, ce qui fait partie des bonnes résolutions pour 2023. Bien amicalement et à bientôt !
Publié le 25 Janvier 2023

Cher @Patrick Le Tiec
Je rectifie immédiatement, cette histoire est complètement inventée.
Mais vous avez raison de dire que la réalité dépasse la fiction. J’ai empêché mon « héros » d’aller dans les contrées de la réalité qui provoquent le dégoût.
Ça me fait très plaisir de parler avec une personne qui connait physiquement Michela Murgia, c’est con ! Mais c’est comme ça. Je fais partie des gens qui croient qu’il y a sûrement quelque chose de vrai dans la théorie de Ernest Hartmann.
Je vous remercie d’avoir consacré du temp à me lire et de m’avoir commenté et étoilé.
FF

Publié le 13 Janvier 2023
4
J'ai bien aimé votre histoire. On a du mal à croire qu'elle est vrai. mais parfois la réalité dépasse la fiction. J'ai aussi apprécié vos annotations de bas de page qui resituent le contexte. Je connaissais l'acabadora par le roman de Michela Murgia que j'ai rencontré en Sardaigne, à Cabras. Je crois que cette fonction de passeuse d'âme se transmet de mère en fille. Il est très probable en effet que ce type de tradition a persisté dans les campagnes en France et ailleurs.
Publié le 12 Janvier 2023

@Monique Louicellier
Ma chère amie,
Vous avez sûrement raison, si on parle du problème au cas par cas, mais quand on parle d’une manière générale la plupart des serials killers violent leurs victimes.
D’ailleurs, la question, est-ce que la victime a été violée avant ou après sa mort, est une des questions obligatoires du cahier des charges d’une autopsie.
C’est une question très délicate et je ne suis pas qualifié pour aller au-delà de ce que j’ai déjà dit.
Très sincèrement, j’aimerais que ce soit moi qui divague et vous qui ayez raison. Le monde serait plus beau.
Je vous remercie de vous intéresser à mon travail.
FF

Publié le 17 Décembre 2022

@Fernand Fallou
Bonjour Fernand,
Merci, merci, vous semblez avoir tant de délicatesse, mais cela contraste avec la noirceur de certains de vos héros de roman...
Donc, je ne viendrai jamais boire un pot avec vous ! J'aurais trop peur...
Oui les assassins de circonstance ont de multiples motifs.
Les tueurs en série sont ceux ayant bien conscience de tuer, le recherchant et en éprouvant de la satisfaction, une bonne partie d'entre eux sont des tueurs d'humains correspondant à leurs désirs sexuels (femmes, enfants, hommes) ou d'humains à qui ils aimeraient s'identifier et qu'ils jalousent.
Imbus d'eux-mêmes, narcissiques pervers, dépourvus d'empathie, souvent assassins d'animaux dans leur enfance, se sentant inférieurs et éprouvant un plaisir à l'ultime pouvoir sur autrui, lui ôter la vie, ou à tuer qui pourrait se moquer d'eux.
Une bonne frange d'entre eux en éprouvent un plaisir sexuel, mais ce n'est pas une règle dans le monde du crime en série.
Certains hommes ou femmes ont tué en série de nombreuses personnes qu'ils ne désiraient pas, par appât du gain, par idéal politique et même écologique (pour sauver d'autres êtres ou la nature ou par vengeance), par peur aussi, et même par empathie mal comprise (on revient dans le thème de votre nouvelle : infirmières qui tuent des malades graves), mais sans aucun plaisir sexuel associé.
C'est pour cela que votre héros fait peur, parce qu'il éprouve de l'empathie au départ. Assez étrange sa découverte d'un plaisir sexuel lié aux crimes et qu'il se transforme en une espèce de lapin en chaleur armé d'un marteau qui saute sur tout ce qui bouge.
Bon, c'est une fiction, mais cela risque d'émoustiller les plus pervers, de normaliser par l'exemple de votre roman un soi-disant plaisir sexuel à tuer et une indifférence à tuer et leur donner des idées, hélas...

Publié le 17 Décembre 2022

@Monique Louicellier
Cher amie
Suite à la lecture de votre commentaire pour lequel je vous remercie, et comme votre avis compte énormément pour moi, je me suis empressé d’aller voir sur Internet les listes des assassins en tous genres de tous les pays.
Je ne vais pas entrer ici, dans des statistiques d’apothicaires, mais je constate que le mobile de tous les assassins est le bien (argent, mobilier, immobilier, social,) ou le sexe. Evidement dans ces listes interminables, j’ai constaté qu’il n’y avait que des hommes, très, très peu de femmes.
Alors c’est sûr, parler de serial killer sans aborder la question du sexe, pour moi, c’est passer à côté du sujet. Mais je peu comprendre que cela puisse choquer certaines personnes et cela bien avant votre commentaire.
FF

Publié le 17 Décembre 2022

@Fernand Fallou
Bonjour Fernand, je ne note pas cette fois. Voilà mon dilemne :
Cette nouvelle mérite 5 étoiles, pour le sujet, le style, l'intrigue, le suspense MAIS trop de trucs sexuels pour moi. Je veux bien croire que des tueurs en série lient leur libido aux meurtres, mais je crois vraiment qu'on peut faire aussi sans dans un roman ou laisser planer une suggestion légère... Ou on peut faire avec, mais là, c'est trop, vraiment trop pour moi. Cela n'apporte rien de plus au roman, juste de me brûler les yeux et de m'entraîner vers le dégoût... Pour ça, je note pas...

Publié le 16 Décembre 2022

Chère @Lilie Jiffrelo
Je vous remercie d’avoir passé de temp à me lire et à me commenter. Ce personnage qui sombre dans l’addiction de l’assassinat, c’est pourtant (pour moi) une suite logique à la situation dans laquelle il est. Quand j’étais petit j’ai été élevé à la campagne. Les fermiers tuaient le cochon de temps en temps et on entendait les cris du cochon sur des centaines de mètres. La fermière chez qui j’étais, tuait gaillardement canards, poules et lapins. Pour le lapin, après l‘avoir assommé, elle le pendait par les pieds, lui arrachait un œil à l’aide de son couteau comme dépiaute une bernique pour qu'il se vide de son sang et le dépouillait de sa peau alors qu’il était encore vivant, sans aucun état d’âme. Je viens de lire un truc sur la Révolution française. C’est incroyable toutes les atrocités qui ont été perpétrées au nom de la liberté sans parler du bourreau (Charles-Henri Sanson) qui aurait, en quarante ans, exécuté à la hache plus de 3000 personnes et guillotiné de 1992 à 1995 plus de 2000 personnes. Moi qui culpabilise, quand je tue une mouche ou une abeille, y a des gens dans les abattoires, qui tuent des vaches et des bœufs toute la journée sans discontinuer, sans état d’âme. L’habitude est la pire des habitudes.
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
FF

Publié le 28 Novembre 2022

Chère @Camille Descimes
Je vous remercie de vous intéresser à ce que je fais, et j’espère vous surprendre voire vous épater encore par la diversité de ce que j’écris. Trouver à chaque fois des sujets différents est une de mes préoccupations. C’est vrai que je fais beaucoup de recherches, même parfois sur des petits riens, pour donner plus de réalité et de cohérence à mes textes. Avec internet et Wikipédia, ça serait dommage de ne pas en profiter.
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
FF

Publié le 25 Novembre 2022
5
Jamais deux sans trois, j'achève mon tour chez vous ce soir par votre petit dernier ! Au départ, je craignais qu'il ne s'agisse d'une apologie de l'euthanasie, pour laquelle je ne suis pas contre, à condition qu'elle soit encadrée, qu'il y ait des limites. C'est un vaste débat. J'ai assisté à une euthanasie outre atlantique, très étrange, avec toute une mise en scène, éprouvante. Et puis j'ai assisté des malades lors de leurs derniers soupirs, dignement en France, entourés. Les médecins sont humains, pour la plupart, et agissent comme il se doit, comme la loi Léonetti le leur permet déjà (je suis d'accord, on peut toujours faire mieux, mais la perfection...). Cependant votre texte montre ce que j'espérais : prudence, un tueur (appelons les choses par leur nom...) désigné/auto-désigné peut perdre pied. Cette nouvelle montre que votre talent s'étend jusqu'à rédiger des histoires très sombres, mais sans obscénités. Et mine de rien, c'est une piste de réflexion. La communication (non violente ;) avec les médecins sera toujours la meilleure option pour solutionner ces derniers instants décisifs, dans la dignité, et l'affection. Et heureusement qu'il y a l'analyse ADN pour calmer les ardeurs de certains fous furieux ;) D'ailleurs j'en profite pour vous remercier aussi des précisions historiques qui émaillent vos écrits, c'est très appréciable, d'apprendre ces détails, grâce à vous !
Publié le 24 Novembre 2022

Chère @Annie Pic
La vie, la mort, ce texte m’a donné à réfléchir sur les deux états de l’être humain et de considérer effectivement les choses autrement. Une seule entité qui aurait deux états : vivante ou morte. Elle peut être ramenée à ce que l’on appelle l’âme. Sans tous les attributs qu’aujourd’hui l’âme dans les définitions modernes est censée posséder.
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
FF

Publié le 05 Novembre 2022
5
La vie, la mort ! Dès sa sortie du néant, la vie se dirige inexorablement vers sa double entité. Depuis l'aube des temps, le cycle est immuable. Chacun doit respecter la vie, mais, souvent, la nécessité devrait faire loi. L'accabadora justifie l'action au détriment de la morale. Le fils assure la relève ; mais attiré comme un aimant par le souffle ultime de la vie qui s'échappe et se réfugie dans la mort, l'assassin va prendre le pas. Votre belle plume, Fernand Fallou, franchit le seuil de l'insupportable. Le processus est décrit avec brio et fait froid dans le dos. Bravo pour la performance ! Bien à vous, Annie
Publié le 05 Novembre 2022

Chère @Lucie Delacroix
Je vous remercie d’avoir pris du temps pour lire ce texte, pour le commenter et le décorer de quelques étoiles. Ce texte est une fiction, basé sur une légende pour laquelle je n’ai trouvée aucune référence officielle. Je me suis inspiré d’un thème développé par Michela Murgia, une auteure Italienne. Sa façon de traiter le sujet et la mienne n’ont rien à voir, évidemment.
FF

Publié le 04 Novembre 2022
4
Je ne connaissais pas ce sujet, je me coucherai moins bête ce soir ! Ce récit est très intéressant, un peu dur parfois pour mon petit coeur de bisounours, mais cela dit j'ai dévoré ces quelques pages en quelques minutes seulement. Bravo pour cette nouvelle très prenante.
Publié le 04 Novembre 2022

Cher @Agostini Francois-Xavier
Mon texte parle d’euthanasie, et je suis d’accord avec votre façon de voir les choses concernant les abus qui peuvent se produire en cas d’autorisation non contrôlée. Mais ce que j’ai voulu développer c’est le thème de l’accoutumance.
Dans les années 80, j’avais un copain que j’ai perdu de vue qui était brancardier à l’hôpital Beaujon. Au début, c’est avec un grand respect et une grande émotion qu’il emmenait les personnes décédées à la morgue dans les sous-sols de l’hôpital. Puis l’habitude forçant les choses, il me racontait les courses qu’il faisait avec les autres brancardiers. Parfois dans les tournants, ils perdaient leur chargement. Ils n’avaient plus aucune émotion. Ils auraient pu transporter absolument n’importe quoi d’autre. Les alcoolos, les drogués, ont aimé les premiers verres, les premiers shoots après est venu l’accoutumance et puis l’addiction. C’est comme ça. C’est ce que j’ai voulu développer.
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
FF

Publié le 31 Octobre 2022
5
BONJOUR, 5 étoiles bien sûr sur le constat, le débat est difficile. L'euthanasie pourrait être pratiquée par avidité, vouloir récupérer la fortune rapidement de quelqu'un en prétextant qu'il n'y avait pas d'autre solution médicale. Elle pourrait être une forme de faux suicide, de meurtre déguisé, pour se débarrasser de quelqu'un de gênant politiquement que l'on interne et que l'on assassine pour le faire taire. Tout ceci me fait penser à cette personne me contactant un jour me disant clairement :" Désormais il va falloir faire attention en traversant la rue..." mon roman "Prophetia..." dérange beaucoup de gens très haut placés. Bref ! l'Eglise de France a raison de se méfier de la facilité devant l'autorisation excessive, abusive de l'euthanasie, on dit souvent : quand c'est l'heure, c'est l'heure, c'est le grand Maitre qui décide. En attendant bonne lecture à tous les auteurs libres COMME VOUS ET MOI SUR MONBESTSELLER
Publié le 31 Octobre 2022

Cher @Christian Vial
Très difficile de trouver des renseignements sur l’Accabadora, y en a même qui disent que c’est une pure invention légendaire de Sardaigne. Dont l’auteure Michela Murgia a su profiter. Bravo pour elle. Les gens, presque tous les gens sont friands des légendes. Adolescent, j’ai dévoré tous les contes et légendes qui me sont tombés sous la main. Ça fait rêver. Comme disent Johnny et Eddy « On veut des légendes ». merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
FF

Publié le 29 Octobre 2022
5
Eh bien, @Fernand Fallou, 18 pages lues à une vitesse que je crois inédite pour moi. À la fin, la première chose que j’ai faite, c’est chercher « Accabadora » sur le Net… Je ne trouve jamais trop de mots, voire pas du tout, pour commenter les récits d’autrui, je suis toujours maladroit… Alors, un grand et sincère : BRAVO.
Publié le 29 Octobre 2022

Cher @galodarsac
Merci Patrick, pour cet encouragement et ce soutien.
.

Publié le 29 Octobre 2022

@Fernand Fallou Bravo Fernand pour cette promotion amplement méritée ! Le talent est récompensé au final, ce n'est que justice !

Publié le 28 Octobre 2022

Bonjour, @Six-Blaireaux
J’espérais qu’une personne de la communauté de Saint Marcassin intervienne sur ma page pour laisser un commentaire éclairé.
Mon souhait a été réalisé au-delà de toute espérance. Je vous remercie pour vos observations emplies de pertinence. Merci de vous être mis à six pour rédiger un commentaire de cette qualité. C’est pas tous les jours que l’on fait rimer douille et couille.
Amis de la poésie, au secours !
Bon week end.
FF

Publié le 28 Octobre 2022

@Zoé Florent
Tour cela n’est possible que grâce à toi et quelques lecteurs/auteurs qui me suivent.
Merci à toi et à tous
FF

Publié le 28 Octobre 2022

Hé, hé, petit coeur rouge de plus à ta collection ! Voilà qui récompense à juste titre l'originalité, la singularité de tes écrits, bravo !

Publié le 28 Octobre 2022

Cher @Pascal Alliot
Je suis très heureux de lire que mon texte vous a plu. Merci d’avoir pris le temps de le lire et de le commenter sous cette pluie d’étoiles.
FF

Publié le 27 Octobre 2022
4
J'ai aimé. C'est un peu comme des allégories tendancieuses. C'est bien! Continuez ainsi, un genre à part qui me plaît!
Publié le 26 Octobre 2022

Chère @Parthemise33
Merci d’avoir pris du temps pour me lire et me commenter. J’ai beaucoup de textes en cours, mais quand j’ai découvert ce sujet, il m’a accaparé dès la première lecture. Je crois que mon crayon s’est mis à écrire tout seul. Comme vous dites, c’est badasse ! Encore faut-il savoir que « badasse » ça veut dire « puissant ». Le mot et sa signification sont à mon avis, mal accordés, messieurs les académiciens. Mais on va faire avec. Un seul personnage, je l’avais remarqué.
J’ai voulu réécrire la vache et le prisonnier, puis j’ai laissé tomber… Trop de personnages, la vache, Et 1, & le prisonnier…
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
FF
1 Et = Extra terrestre

Publié le 25 Octobre 2022
5
@Fernand Fallou Cher M FF Pour une nouvelle badasse, c'est une nouvelle badasse ! A dire vrai, je m'attendais à quelque chose tirant plus sur le genre fantastique. Ce n'est pas le cas, mais c'est formidable. Votre histoire incite à un remue-méninges puissant sur la vie, la mort : qui peut la donner, qui peut décider de la prendre ? Avec l'envie de devenir un Bruce Tout-Puissant s'abandonnant à une hybris mortifère. Sans garde-fou, la démesure s'immisce rapidement dans notre cerveau. Comme disait ma mamie : C'est la plante verte à tous les arbustes (elle lisait quotidiennement l'almanach Vermot dans un endroit propice à la réflexitude). Et vous avez réussi tout cela avec quasiment un seul personnage ! Bravo pour votre sobriété énergétique ! Bisous merci bisous pour cette claque mentale
Publié le 25 Octobre 2022

C'est bien d'avoir de belles jambes, c'est plus présentable ;°)

Publié le 24 Octobre 2022

Ma chère @Chanelle75

Je vous remercie d’avoir pris du temps pour me lire et me commenter. Je suis très heureux que cette histoire complètement inventée vous ait plu.
Heureusement que j’écris pour moi, pour me faire plaisir et faire plaisir aux lecteurs de MBS. Cela dit, pour que je sois édité un jour, il faudrait que j’envoie quelques textes à des éditeurs. Mais ces vingt ou trente dernières années, il y a aucun éditeur qui peut se vanter d’avoir reçu des manuscrits de ma part. Si ce que j’écris vaut quelque chose, alors je serai célèbre à titre posthume. Je suis sûr que ça va me faire une belle jambe.
Je vous remercie pour ce commentaire généreusement étoilé.
FF

Publié le 24 Octobre 2022
5
Mon Cher Fernand Fallou ! Le sujet est extraordinaire et aussi et surtout d'actualité. L'accabadora ose faire un travail d'une très grande responsabilité (aux yeux des hommes et aux yeux de Dieu), que personne aujourd'hui ne veut prendre, d'où les difficultés éthiques autour de l'euthanasie. Ce qui m'épate au delà encore de l'accabadora, c'est votre fiction bien ficelée et bien documentée qui ne nous laisse aucunement indifférents, ce personnage est prêt à être décortiqué et analysé. En effet, j'ai travaillé en hôpital psychiatrique et assistait à l'analyse de films dans le cadre de la clinique du cinéma, et votre récit pourrait très largement y être exploité tant il y a de sujets à l'intérieur de votre nouvelle qui y sont abordés. Vraiment je vous envoie toutes mes félicitations et je continue de vous suivre car je suis définitivement convaincue après cette lecture que nous entendrons parler de vous. Bien à vous Chanelle
Publié le 24 Octobre 2022

@galodarsac
Mon cher Patrick
Merci pour avoir pris le temps de me lire et de me commenter. Inutile de te dire que j’ai consulté les hit-parades et les curriculums vitae des grands serial-killers de la planète.
Mon héros se distingue par la quantité. Pour le reste c’est un enfant de chœur.
Pour ceux que ça intéresse de se documenter. Bref !
Sans aller chercher très loin. Fourniret, Landru, etc…
https://megazine.fr/top-des-tueurs-en-series-francais-15/
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
FF

Publié le 23 Octobre 2022
5
Mon cher Fernand, une fois de plus l'originalité est au rendez-vous, pour un récit aussi surprenant par l'aspect cru de certains passages et l'impression de naturel qui, si l'on se place du point de vue du "héros" (si j'ose dire en l'occurrence) mène logiquement la suite de ses (ex)actions. Ce parcours glaçant fait froid dans le dos si l'on imagine que des Bouniol, il y en a sûrement eu des dizaines, jamais vus, jamais connus... Bravo pour cette nouvelle publication, comme d'habitude on en redemande !
Publié le 23 Octobre 2022

Ma chère @Catarina Viti
Merci pour ce commentaire élogieux. C’est vrai que j’ai mis beaucoup d’énergie dans ce texte qui m’a accaparé pendant plusieurs jours.
Je voulais faire un texte plausible qui sorte des sentiers battus.
A t’entendre je ne suis pas loin d’avoir réussi. Et je te remercie pour ce décor clinquant surchargé d‘étoiles.
FF

Publié le 22 Octobre 2022

@Fernand Fallou Ouf, je suis soulagée ;-) ! Et, petite précision, associer jouissance sexuelle et meurtre est un sujet hyper délicat, voire explosif ; c'est la raison pour laquelle j'ai salué ta plume, à mes yeux la seule capable de l'exploiter sans choquer.
Bises et bonne soirée,
Michèle

Publié le 22 Octobre 2022
5
Alors, là, mon Fernand, tu as visé juste et frappé fort (non mais!). Je te le dis tout net, j'ai adoré ton texte, et franchement, tu sais que ce n'est pas tous les jours que je sors un truc pareil, même à toi, mon Fernand. ...///... J'ai adoré ton audace, ta liberté. Cette nouvelle m'a rappelé un auteur qui vécut un peu par ici : Sol Ferrières, un grand, un très grand, qui fait dans l'étrange aussi bien du point de vue du fond que de la forme. ...///... Ton machin est un scénario pour une bande dessinée (pour un des meilleurs auteurs de notre époque entre horreur, fantastique), pour un roman illustré. ...///... Ce que tu as fait (encore) mieux que d'habitude : tu t'es centré sur le sujet, tu l'as parcouru, tu l'as mené de bout en bout sans te perdre. Mince, c'est de l'excellent boulot et je suis particulièrement heureuse de te le dire en étoiles bien clinquantes comme il se doit. Bises et merci pour le quart d'heure de lecture décoiffante.
Publié le 22 Octobre 2022

Chère @Zoé Florent
Je pense que je m’y suis mal pris, le « bien sûr » du départ c’est parce que lorsque j’ai découvert Michela Murgia j’ai été subjugué par son personnage. Mais à la lecture du résumé de son livre, j’ai été très déçu par la fin.
Concernant ton analyse de ma nouvelle sur l’euthanasie et ses possibles dérives, tu es complètement dans la vérité.
Ne t’inquiète pas, je ne suis pas du tout fâché.
Amicalement
FF

Publié le 22 Octobre 2022

@Fernand Fallou Je n'avais aucune intention de te moucher, Fernand. Je m'en fous de qui écrit le premier tel ou tel truc, crois-moi ;-)... Réflexion faite, je vois dans le dérapage du personnage de ta nouvelle une forme de mise en garde contre les dangers des dérives de l'euthanasie, mais peut-être me trompes-je, une fois de plus ; comme quand j'ai voulu simplement échanger avec toi à propos de Michela Murgia et de son roman... En bref, je crains d'avoir tout faux, aujourd'hui :-) !

Publié le 22 Octobre 2022

Chère @Zoé Florent
Bien sûr que je sais, que c’est Michela Murgia qui a parlé de ce sujet la première. Elle a eu un prix pour ça. Et on en a même fait un film (en italien, pour l’instant).
J’ai cru comprendre que pour Michela Murgia, le mot est d’origine Sarde. Je n’ai pas traité le sujet de la même façon. Mais au début mon « Accabadora » est bien la femme affectueuse et compatissante dont tu parles. Quoiqu’elle fasse ça pour survivre. Sauf qu’elle est malade et qu’elle a un fils qui bien qu’intelligent n’a aucun avenir professionnel.
Pour moi c’est une suite tout à fait logique même si je fais déraper mon personnage dans cette période de guerre.
Mais je te remercie d’avoir pris du temps pour me lire et de m’avoir étoilé généreusement.
À toi aussi, bon week end.
FF

Publié le 22 Octobre 2022
5
@Fernand Fallou "L'accabadora"... Sais-tu que Michela Murgia a écrit un roman portant le même titre ? Je ne l'ai pas lu, mais son résumé précise : "L'accabadora, mot qui tient son origine de l’espagnol acabar, est celle qui finit, et, comme on le lit sur la couverture de l’édition italienne, « aux yeux de la communauté son geste n’est pas celui d’une meurtrière, mais celui d’une femme affectueuse et compatissante qui aide le destin à s’accomplir. Parce qu’elle est la dernière mère. » /// Toi, tu exploites le sujet autrement, tu vas loin, tu dérapes, et ce qui ne passerait pas sous une autre plume, eh bien force est de constater qu'une fois de plus, ça passe comme une lettre à la Poste sous la tienne ;-) /// Merci pour cette petite dernière et à bientôt de te lire, à l'occasion de votre prochain défi de Noël, avec Parthemise33. Bises et bon week-end, Michèle
Publié le 22 Octobre 2022