Si vous voulez savoir ce qui se cache derrière ce mot singulier,
pas la peine d’ouvrir vos dictionnaires, d’aller sur Internet ou de demander à vos relations littéraires.
Ouvrez mon texte, je vous l’explique dès les premières lignes.
Cela dit, peut-être que les âmes sensibles et les jeunes gens ayant moins de dix-huit ans devraient s’abstenir de lire ce texte.
Après…
Après…
Accrochez-vous !
Bon voyage.
FF
Cher @Bahloul
Je suis très heureux que ce texte qui me tient à cœur vous ait plu. Ce sujet est peu connu.
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
Cher@Fernand Fallou,
En fait, la tradition orale racontait que chez les Inuits (Esquimaux), les personnes rendues trop faibles pour suivre la tribu en déplacement sortaient elles-mêmes de leurs igloos la nuit pour aller se perdre dans la toundra glacée et mourir de froid.
Cher @Stog 2
Il me semble avoir lu (lorsque j'étais très jeune) des histoires d'Indiens ou d'Esquimaux, je ne sais plus, où les tribus abandonnaient les vieux, trop vieux, comme ça tout seuls dans les "pampas" de glace ou de forêt. Sympa !
Rien de nouveau sous le soleil.
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
@Fernand Fallou
@monBestSeller
Ma formulation n'était pas très claire : le rapport étai entre moi (jbtanpi) et Six-Blaireaux à propos de la remarque sur les coquilles.
Cela est dû au fait que, pour une raison qui m'échappe, le texte que j'avais préparé (avec le bloc-notes de Windows) puis copié dans la case "ajouter un commentaire" est paru sans tenir compte des sauts de ligne qui ont été remplacés par des espaces. Je préfère une présentation aérée à un "pavé", même si ça prend un peu (trop) de place. Mais c'est tellement plus clair !
À mon âge, j'ai de plus en plus de mal avec internet... et notamment avec la gestion des commentaires.
À bientôt !
jbtanpi
@jbtanpi
Mon cher Jean Pierre, très heureux que ce texte vous ait plu, et qu’il vous ait redonné l’envie de reprendre votre plume.
Je ne comprends pas très bien le rapport entre moi et Six-Blaireaux, mais en tous cas, soyez sûr que mes textes et mes mots ne sont copiés sur personne.
N’hésitez pas à me faire remarquer mes « coquilles »
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
FF
Cher @Patrick Le Tiec
Je rectifie immédiatement, cette histoire est complètement inventée.
Mais vous avez raison de dire que la réalité dépasse la fiction. J’ai empêché mon « héros » d’aller dans les contrées de la réalité qui provoquent le dégoût.
Ça me fait très plaisir de parler avec une personne qui connait physiquement Michela Murgia, c’est con ! Mais c’est comme ça. Je fais partie des gens qui croient qu’il y a sûrement quelque chose de vrai dans la théorie de Ernest Hartmann.
Je vous remercie d’avoir consacré du temp à me lire et de m’avoir commenté et étoilé.
FF
@Monique Louicellier
Ma chère amie,
Vous avez sûrement raison, si on parle du problème au cas par cas, mais quand on parle d’une manière générale la plupart des serials killers violent leurs victimes.
D’ailleurs, la question, est-ce que la victime a été violée avant ou après sa mort, est une des questions obligatoires du cahier des charges d’une autopsie.
C’est une question très délicate et je ne suis pas qualifié pour aller au-delà de ce que j’ai déjà dit.
Très sincèrement, j’aimerais que ce soit moi qui divague et vous qui ayez raison. Le monde serait plus beau.
Je vous remercie de vous intéresser à mon travail.
FF
@Fernand Fallou
Bonjour Fernand,
Merci, merci, vous semblez avoir tant de délicatesse, mais cela contraste avec la noirceur de certains de vos héros de roman...
Donc, je ne viendrai jamais boire un pot avec vous ! J'aurais trop peur...
Oui les assassins de circonstance ont de multiples motifs.
Les tueurs en série sont ceux ayant bien conscience de tuer, le recherchant et en éprouvant de la satisfaction, une bonne partie d'entre eux sont des tueurs d'humains correspondant à leurs désirs sexuels (femmes, enfants, hommes) ou d'humains à qui ils aimeraient s'identifier et qu'ils jalousent.
Imbus d'eux-mêmes, narcissiques pervers, dépourvus d'empathie, souvent assassins d'animaux dans leur enfance, se sentant inférieurs et éprouvant un plaisir à l'ultime pouvoir sur autrui, lui ôter la vie, ou à tuer qui pourrait se moquer d'eux.
Une bonne frange d'entre eux en éprouvent un plaisir sexuel, mais ce n'est pas une règle dans le monde du crime en série.
Certains hommes ou femmes ont tué en série de nombreuses personnes qu'ils ne désiraient pas, par appât du gain, par idéal politique et même écologique (pour sauver d'autres êtres ou la nature ou par vengeance), par peur aussi, et même par empathie mal comprise (on revient dans le thème de votre nouvelle : infirmières qui tuent des malades graves), mais sans aucun plaisir sexuel associé.
C'est pour cela que votre héros fait peur, parce qu'il éprouve de l'empathie au départ. Assez étrange sa découverte d'un plaisir sexuel lié aux crimes et qu'il se transforme en une espèce de lapin en chaleur armé d'un marteau qui saute sur tout ce qui bouge.
Bon, c'est une fiction, mais cela risque d'émoustiller les plus pervers, de normaliser par l'exemple de votre roman un soi-disant plaisir sexuel à tuer et une indifférence à tuer et leur donner des idées, hélas...
@Monique Louicellier
Cher amie
Suite à la lecture de votre commentaire pour lequel je vous remercie, et comme votre avis compte énormément pour moi, je me suis empressé d’aller voir sur Internet les listes des assassins en tous genres de tous les pays.
Je ne vais pas entrer ici, dans des statistiques d’apothicaires, mais je constate que le mobile de tous les assassins est le bien (argent, mobilier, immobilier, social,) ou le sexe. Evidement dans ces listes interminables, j’ai constaté qu’il n’y avait que des hommes, très, très peu de femmes.
Alors c’est sûr, parler de serial killer sans aborder la question du sexe, pour moi, c’est passer à côté du sujet. Mais je peu comprendre que cela puisse choquer certaines personnes et cela bien avant votre commentaire.
FF
@Fernand Fallou
Bonjour Fernand, je ne note pas cette fois. Voilà mon dilemne :
Cette nouvelle mérite 5 étoiles, pour le sujet, le style, l'intrigue, le suspense MAIS trop de trucs sexuels pour moi. Je veux bien croire que des tueurs en série lient leur libido aux meurtres, mais je crois vraiment qu'on peut faire aussi sans dans un roman ou laisser planer une suggestion légère... Ou on peut faire avec, mais là, c'est trop, vraiment trop pour moi. Cela n'apporte rien de plus au roman, juste de me brûler les yeux et de m'entraîner vers le dégoût... Pour ça, je note pas...
Chère @Lilie Jiffrelo
Je vous remercie d’avoir passé de temp à me lire et à me commenter. Ce personnage qui sombre dans l’addiction de l’assassinat, c’est pourtant (pour moi) une suite logique à la situation dans laquelle il est. Quand j’étais petit j’ai été élevé à la campagne. Les fermiers tuaient le cochon de temps en temps et on entendait les cris du cochon sur des centaines de mètres. La fermière chez qui j’étais, tuait gaillardement canards, poules et lapins. Pour le lapin, après l‘avoir assommé, elle le pendait par les pieds, lui arrachait un œil à l’aide de son couteau comme dépiaute une bernique pour qu'il se vide de son sang et le dépouillait de sa peau alors qu’il était encore vivant, sans aucun état d’âme. Je viens de lire un truc sur la Révolution française. C’est incroyable toutes les atrocités qui ont été perpétrées au nom de la liberté sans parler du bourreau (Charles-Henri Sanson) qui aurait, en quarante ans, exécuté à la hache plus de 3000 personnes et guillotiné de 1992 à 1995 plus de 2000 personnes. Moi qui culpabilise, quand je tue une mouche ou une abeille, y a des gens dans les abattoires, qui tuent des vaches et des bœufs toute la journée sans discontinuer, sans état d’âme. L’habitude est la pire des habitudes.
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
FF
Chère @Camille Descimes
Je vous remercie de vous intéresser à ce que je fais, et j’espère vous surprendre voire vous épater encore par la diversité de ce que j’écris. Trouver à chaque fois des sujets différents est une de mes préoccupations. C’est vrai que je fais beaucoup de recherches, même parfois sur des petits riens, pour donner plus de réalité et de cohérence à mes textes. Avec internet et Wikipédia, ça serait dommage de ne pas en profiter.
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
FF
Chère @Annie Pic
La vie, la mort, ce texte m’a donné à réfléchir sur les deux états de l’être humain et de considérer effectivement les choses autrement. Une seule entité qui aurait deux états : vivante ou morte. Elle peut être ramenée à ce que l’on appelle l’âme. Sans tous les attributs qu’aujourd’hui l’âme dans les définitions modernes est censée posséder.
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
FF
Chère @Lucie Delacroix
Je vous remercie d’avoir pris du temps pour lire ce texte, pour le commenter et le décorer de quelques étoiles. Ce texte est une fiction, basé sur une légende pour laquelle je n’ai trouvée aucune référence officielle. Je me suis inspiré d’un thème développé par Michela Murgia, une auteure Italienne. Sa façon de traiter le sujet et la mienne n’ont rien à voir, évidemment.
FF
Cher @Agostini Francois-Xavier
Mon texte parle d’euthanasie, et je suis d’accord avec votre façon de voir les choses concernant les abus qui peuvent se produire en cas d’autorisation non contrôlée. Mais ce que j’ai voulu développer c’est le thème de l’accoutumance.
Dans les années 80, j’avais un copain que j’ai perdu de vue qui était brancardier à l’hôpital Beaujon. Au début, c’est avec un grand respect et une grande émotion qu’il emmenait les personnes décédées à la morgue dans les sous-sols de l’hôpital. Puis l’habitude forçant les choses, il me racontait les courses qu’il faisait avec les autres brancardiers. Parfois dans les tournants, ils perdaient leur chargement. Ils n’avaient plus aucune émotion. Ils auraient pu transporter absolument n’importe quoi d’autre. Les alcoolos, les drogués, ont aimé les premiers verres, les premiers shoots après est venu l’accoutumance et puis l’addiction. C’est comme ça. C’est ce que j’ai voulu développer.
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
FF
Cher @Christian Vial
Très difficile de trouver des renseignements sur l’Accabadora, y en a même qui disent que c’est une pure invention légendaire de Sardaigne. Dont l’auteure Michela Murgia a su profiter. Bravo pour elle. Les gens, presque tous les gens sont friands des légendes. Adolescent, j’ai dévoré tous les contes et légendes qui me sont tombés sous la main. Ça fait rêver. Comme disent Johnny et Eddy « On veut des légendes ». merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
FF
@Fernand Fallou Bravo Fernand pour cette promotion amplement méritée ! Le talent est récompensé au final, ce n'est que justice !
Bonjour, @Six-Blaireaux
J’espérais qu’une personne de la communauté de Saint Marcassin intervienne sur ma page pour laisser un commentaire éclairé.
Mon souhait a été réalisé au-delà de toute espérance. Je vous remercie pour vos observations emplies de pertinence. Merci de vous être mis à six pour rédiger un commentaire de cette qualité. C’est pas tous les jours que l’on fait rimer douille et couille.
Amis de la poésie, au secours !
Bon week end.
FF
@Zoé Florent
Tour cela n’est possible que grâce à toi et quelques lecteurs/auteurs qui me suivent.
Merci à toi et à tous
FF
Hé, hé, petit coeur rouge de plus à ta collection ! Voilà qui récompense à juste titre l'originalité, la singularité de tes écrits, bravo !
Cher @Pascal Alliot
Je suis très heureux de lire que mon texte vous a plu. Merci d’avoir pris le temps de le lire et de le commenter sous cette pluie d’étoiles.
FF
Chère @Parthemise33
Merci d’avoir pris du temps pour me lire et me commenter. J’ai beaucoup de textes en cours, mais quand j’ai découvert ce sujet, il m’a accaparé dès la première lecture. Je crois que mon crayon s’est mis à écrire tout seul. Comme vous dites, c’est badasse ! Encore faut-il savoir que « badasse » ça veut dire « puissant ». Le mot et sa signification sont à mon avis, mal accordés, messieurs les académiciens. Mais on va faire avec. Un seul personnage, je l’avais remarqué.
J’ai voulu réécrire la vache et le prisonnier, puis j’ai laissé tomber… Trop de personnages, la vache, Et 1, & le prisonnier…
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
FF
1 Et = Extra terrestre
C'est bien d'avoir de belles jambes, c'est plus présentable ;°)
Ma chère @Chanelle75
Je vous remercie d’avoir pris du temps pour me lire et me commenter. Je suis très heureux que cette histoire complètement inventée vous ait plu.
Heureusement que j’écris pour moi, pour me faire plaisir et faire plaisir aux lecteurs de MBS. Cela dit, pour que je sois édité un jour, il faudrait que j’envoie quelques textes à des éditeurs. Mais ces vingt ou trente dernières années, il y a aucun éditeur qui peut se vanter d’avoir reçu des manuscrits de ma part. Si ce que j’écris vaut quelque chose, alors je serai célèbre à titre posthume. Je suis sûr que ça va me faire une belle jambe.
Je vous remercie pour ce commentaire généreusement étoilé.
FF
@galodarsac
Mon cher Patrick
Merci pour avoir pris le temps de me lire et de me commenter. Inutile de te dire que j’ai consulté les hit-parades et les curriculums vitae des grands serial-killers de la planète.
Mon héros se distingue par la quantité. Pour le reste c’est un enfant de chœur.
Pour ceux que ça intéresse de se documenter. Bref !
Sans aller chercher très loin. Fourniret, Landru, etc…
https://megazine.fr/top-des-tueurs-en-series-francais-15/
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
FF
Ma chère @Catarina Viti
Merci pour ce commentaire élogieux. C’est vrai que j’ai mis beaucoup d’énergie dans ce texte qui m’a accaparé pendant plusieurs jours.
Je voulais faire un texte plausible qui sorte des sentiers battus.
A t’entendre je ne suis pas loin d’avoir réussi. Et je te remercie pour ce décor clinquant surchargé d‘étoiles.
FF
@Fernand Fallou Ouf, je suis soulagée ;-) ! Et, petite précision, associer jouissance sexuelle et meurtre est un sujet hyper délicat, voire explosif ; c'est la raison pour laquelle j'ai salué ta plume, à mes yeux la seule capable de l'exploiter sans choquer.
Bises et bonne soirée,
Michèle
Chère @Zoé Florent
Je pense que je m’y suis mal pris, le « bien sûr » du départ c’est parce que lorsque j’ai découvert Michela Murgia j’ai été subjugué par son personnage. Mais à la lecture du résumé de son livre, j’ai été très déçu par la fin.
Concernant ton analyse de ma nouvelle sur l’euthanasie et ses possibles dérives, tu es complètement dans la vérité.
Ne t’inquiète pas, je ne suis pas du tout fâché.
Amicalement
FF
@Fernand Fallou Je n'avais aucune intention de te moucher, Fernand. Je m'en fous de qui écrit le premier tel ou tel truc, crois-moi ;-)... Réflexion faite, je vois dans le dérapage du personnage de ta nouvelle une forme de mise en garde contre les dangers des dérives de l'euthanasie, mais peut-être me trompes-je, une fois de plus ; comme quand j'ai voulu simplement échanger avec toi à propos de Michela Murgia et de son roman... En bref, je crains d'avoir tout faux, aujourd'hui :-) !
Chère @Zoé Florent
Bien sûr que je sais, que c’est Michela Murgia qui a parlé de ce sujet la première. Elle a eu un prix pour ça. Et on en a même fait un film (en italien, pour l’instant).
J’ai cru comprendre que pour Michela Murgia, le mot est d’origine Sarde. Je n’ai pas traité le sujet de la même façon. Mais au début mon « Accabadora » est bien la femme affectueuse et compatissante dont tu parles. Quoiqu’elle fasse ça pour survivre. Sauf qu’elle est malade et qu’elle a un fils qui bien qu’intelligent n’a aucun avenir professionnel.
Pour moi c’est une suite tout à fait logique même si je fais déraper mon personnage dans cette période de guerre.
Mais je te remercie d’avoir pris du temps pour me lire et de m’avoir étoilé généreusement.
À toi aussi, bon week end.
FF
Chers amis
Je m’empresse de mettre cette photo (de moi) en ligne avant qu’elle ne devienne comme toutes les photos du monde entier, une photo...
"L'accabadora" est le "Livre le +" du 28 octobre. Retrouvez l’article qui vous donnera envie de le lire. N'oubliez pas de laisser un commentaire à Fernand Fallou, c’est pour cela qu'il publie ses nouvelles sur monBestSeller.