jbtanpi

Biographie

Né en 1939.
Fasciné dès l’enfance par des super héros comme Gaston Lagaffe et ensuite par des bons auteurs comme Marcel Aymé, Courteline, ou Brassens.
Très tôt, j’ai aimé écrire, mais aussi étudier et bidouiller l’électronique et la musique.
Plus tard, j’ai rêvé de paradis langoureux sous les tropiques.
Doté d’une maladresse de très haut niveau, mon parcours d’adulte n’a jamais été sans histoires.
C’est pour ça que j’aime écrire.
Avec l’espoir de partager ce plaisir avec mes lecteurs.

jbtanpi a noté ces livres

5
@Fernand Fallou Un récit bien agréable à lire et qui a évoqué pour moi les dorloteuses que j'ai eu la chance d'avoir (très) près de moi sur une période qui a duré plus de 80 ans, par exemple les slows ou les tangos de ma jeunesse. Cette histoire m'a fait un bien fou en me déconnectant d'une actualité assez déprimante pour me rebrancher sur des souvenirs délicieux. Merci Fernand pour cette belle histoire!
Publié le 04 Novembre 2023
0
Mon cher Fernand, votre texte m'a fait du bien. Je dirais même plus : il m'a soulagé car l'époque actuelle me prend la tête. Pour quoi ? Pour la farcir de pubs et de news déprimantes ? Pour la remplacer par une I.A. comme "chat GPT" (qui me fait penser à un animal domestique porteur d'un drôle de nom) ? Et les mésaventures de "Jacques le péteur" (mais pas péteux, ce qui le rend sympathique) m'ont bien fait rigoler. Elles restent dans la vieille tradition d'auteurs comme René Fallet ("la soupe aux choux") ou Gabriel Chevallier ("Clochemerle" ou "Sainte-Colline"). J'ai lu autrefois ce dernier roman dont l'action se passe en 1912 dans un pensionnat de garçons très sévère, et j'ai beaucoup aimé le lyrisme potache de l'auteur (je cite de mémoire : "un pet sublime à la résonance admirable"). Et très sincèrement, je trouve que votre texte ne démérite pas. Il est très vivant (la salle d'attente chez le docteur) et finit bien. Merci Fernand.
Publié le 21 Octobre 2023
5
Mon cher @Fernand Fallou Bravo et ***** pour ce texte très bien documenté (par exemple au sujet du marché aux puces), mais surtout qui "prend aux tripes" en faisant ressentir au lecteur la souffrance des personnages et l'angoisse de la mort... Pour un lecteur comme moi, qui a largement dépassé les 80 ans, l'euthanasie est un sujet sensible, mais je ne suis pas très chatouilleux de ce côté-là (ça serait mauvais pour le moral). En revanche, ce qui est effrayant, et que vous avez magnifiquement décrit, c'est le "démon de l'accoutumance" (votre expression est jolie) et le glissement inexorable des actions altruistes de Marcel (épargner des souffrances) vers des actions routinières (l'habitude), puis vers des actions incontrôlables (pour un plaisir égoïste). Cela dit, il y a des trouvailles au niveau des mots. Par exemple : "le cœur du corps de l'homme" (qui n'est pas seulement la pompe située dans la poitrine), Ou encore "l'hérésie du bonheur". Comme Six-Blaireaux (c'est peut-être moi le septième), j'ai remarqué quelques coquilles. Puisque vous autorisez le téléchargement de votre livre, je peux les noter facilement et vous les transmettre par messagerie. Merci pour ce texte, qui a réveillé mon envie de lire, d'écrire et de commenter mes lectures, ce qui fait partie des bonnes résolutions pour 2023. Bien amicalement et à bientôt !
Publié le 25 Janvier 2023
4
Un joli conte à lire le soir à ses enfants (ou petits enfants) plutôt que de les laisser devant un écran.
Publié le 12 Février 2022
5
Votre récit très original est rythmé par le boléro de Ravel (et le coton-tige), et assez éloigné des actualités rabâchées par les médias d'aujourd'hui. Paradoxalement, c'est peut-être ce qui m'a poussé à lire votre livre jusqu'au bout. En effet, je m'intéresse à la musique (populaire) de l'époque de Ravel. Celle qui a fait danser mes parents (tangos, boléros, rumbas...) et sur laquelle j'ai dansé moi aussi il y a plus de 50 ans. Vos personnages sont attachants et bien typés, le rythme est soutenu, la structure implacable et vos dialogues percutants. Votre roman est très bien documenté. Peut-être un peu trop car un excès de détails risque de rendre la lecture plus difficile à certains lecteurs, notamment ceux qui sont âgés et dont la vue baisse. Pour la même raison, je préfèrerais une typographie plus aérée (par ex. en séparant les scènes par un saut de ligne). La morale de votre histoire pourrait être : la force de la farce. La morale de cette morale nous invite à réfléchir sur les conséquences d'un mensonge. Cet énorme canular et les situations hilarantes et imprévisibles qu'il provoque me paraît bien plus efficace (et agréable à lire) qu'un traité de philosphie. Bravo !
Publié le 09 Janvier 2022

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