L’autre monde, forcément ça fait un peu science-fiction, certes, mais on n’est pas obligé de mettre des soucoupes volantes dans le ciel, des stations spatiales dans les étoiles et des mecs qui errent dans l’espace avec des chapeaux de cheminée anti-pluie (d’étoiles évidement) Dark Vader poursuivis par le syndrome de la paternité tardive.
Bref !
Je sais pas vous résumer cette histoire de science-fiction ou y a même pas un avion…. Même un tout petit navion.
Bon voyage quand même.
Bonne lecture.
FF
@jbtanpi
Mon cher Jean Pierre, je vous remercie pour ce long commentaire positif. Ce n’est pas Lucas qui voyage, comme moi, il est beaucoup trop gros pour voyager dans les ondes d’internet, c’est son avatar qui existe pour la forme mais qui pourrait très bien ne pas exister.
Comme vous, j’ai un petit peu de nostalgie envers les petits bals de campagne où on dansait au son de l’accordéon en buvant du vin blanc.
Mais les temps changent. On vieillit. J’ai jamais été très beau mais maintenant j’ai une tête patibulaire mais presque.
Je suis comme l’animal du sphinx, j’attends incessamment sous peu ma troisième patte.
Merci pour ce commentaire tri-palpitant. Ça va faire un boum d’enfer dans les chaumières.
Et roule ma poule.
FF
@Fernand Fallou
J'ai pris beaucoup de plaisir à lire cette aventure ébouriffante où un logiciel permet à Lucas de voyager à sa guise "de l'autre côté du miroir"... Reviendra-t-il vivant (et sain d'esprit) dans le monde terrestre actuel ?
Vous avez très bien posé le problème des "geeks" qui passent la majeure partie de leur existence devant un écran d'ordinateur et le monde virtuel d'internet (et sa "réalité fausse", comme vous dites).
Ce monde virtuel paraît beaucoup plus riche et passionnant que la "vraie réalité" de notre petit monde de tous les jours... C'est bien possible, mais il est à consommer avec modération.
Lucas utilise un puissant logiciel pour accéder à "l'autre monde" et à "la vérité".
D'autres moyens existent, mais ils sont à consommer avec modération, n'en déplaise aux Romains qui affirment : "In vino veritas". Ce qui n'est pas sans danger. Cela peut nous pousser à l'oubli. Ou à des actions regrettables lors d'une cuite sévère. En revanche, une ivresse modérée peut être bien agréable...
Je garde la nostalgie des "p'tits bals" de ma jeunesse (il y a soixante ans, déjà !!!) où on pouvait danser au son de l'accordéon après avoir payé une entrée donnant droit à "un p'tit verre de muscadet".
C'était bon pour le moral (en ce temps-là)... tout comme la lecture (en 2024) de votre "voyage dans l'autre monde".
jbtanpi
@Jean Gilissen
Bonjour, et tout d’abord bonne année bonne santé.
https://www.monbestseller.com/actualites-litteraire/20118-voila-ca-y-est-nous-sommes-en-2024#comment-106555
Ça a été très difficile de rester cohérent en écrivant cette histoire.
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
FF
Bonjour Monsieur Fallou,
Merci pour ce récit original, qui joue à nous y perdre avec l'effet double de la mise en miroir et les retours-arrières sur la ligne du temps. L'effet d'écrire en premier la deuxième partie augmente encore le trouble dans la logique narrative ; l'impression d'être pris dans un tourbillon de lecture.
C'est d'autant plus touchant que vous en profitez pour régler quelques comptes avec les violents en tout genres, le tout en jouant avec les nouvelles technologies.
@Fernand Fallou
J’espère avoir tout compris mais il m’a semblé que les actions du personnages allaient surtout dans le sens de ses propres désirs et plaisirs? Je vois que l’autorisation de télécharger votre écrit a fait d’autres curieux:) bon voyage à eux!
@Brigitte Deleruelle
Merci d’avoir pris le temps de lire mon texte.
On peut considérer que mon personnage fait des « aller-et-retour » au gré de ses émotions mais son but est de faire ces voyages en fonction de leurs conséquences sur la réalité.
Mais effectivement, c’est un personnage qui aime les voyages. Je le libère, et voilà qu’à peine téléchargeable, il part en avion avec vous. Si j’avais su, je l’aurais travaillé un peu plus, rien que pour l’harmonie des technologies. Et où donc est allé ce petit garnement ?
Bonjour @Fernand Fallou j’ai lu votre livre dans l’avion il se lit facilement c’est déroutant tous ces allers-retours dans le temps pour ce personnage qui efface et recommence au gré de ses émotions. Bien que virtuel, ce personnage est terriblement humain. Et j’oserais dire terriblement masculin:) un peu shooté à la testostérone?
je me suis bien amusée, merci!
Merci!! C’est adorable @Fernand Fallou pour tout vous dire l’écriture m’épuise très vite et je serais incapable d’écrire un livre entier. Toutes ces nouvelles ont pris naissance dans un atelier d’écriture et j’admire les vrais écrivains capable d’écrire autant de pages !
Je m’amuse beaucoup à raconter des petites histoires et j’admire votre courage et le courage de tous ceux qui écrivent de longues histoires qui forment un vrai livre pour mon plus grand plaisir alors merci!!!!
@Brigitte Deleruelle
Merci de vous intéresser à ce que j’écris. Je ne vous ai pas encore lu, mais je vous ai remarqué. Je me pose chaque jour la question, vaut-il mieux publier les nouvelles dans un recueil ou indépendamment les unes des autres. Vous avez trouvé une solution et je vous félicite pour vos résultats. Je travaille sur plusieurs textes à la fois. Déjà vers, 1600, un certain « j’expire » disait : la grande question de l’écrivain, « être ou ne pas être ? » Ce qu’il voulait dire, c’est roi ou pas, cordonnier ou pas, forgeron ou pas… et scribouilleur ou pas (je n’ose pas écrire « écrivain » moi et mon crayon on fait un briefing sur ce sujet tous les matins :« lire ou écrire, That is the question ? » en vérité, on n’a pas le choix. On né comme on n’est ! Point à la ligne. Mais je vais vous lire très prochainement c’est promis, c’était dans mes projets. Pour les téléchargements c’était volontaire, mais je vais changer les choses, rien que pour vous.
Bonjour @Fernand Fallou je me régale à lire les commentaires et suis très tentée par la lecture de votre livre mais le téléchargement est impossible…. Une volonté ou un oubli…. À bientôt j.espère amitiés Brigitte
@Lou Alpin2
Quand j’ai commencé à écrire cette histoire, je me suis dit que c’était mieux de commencer par la deuxième partie. C’est-à-dire que l’essentiel de l’histoire est déjà vécu. Et Lucas, mon héros, reçoit un cd-rom qui va la lui raconter. Je reconnais que j’ai été à fond sur certains passages en faisant attention de ne jamais tomber dans le gore ou le porno. Ça me fait très plaisir que ça vous ait plu.
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
@Elran Valceka
Cher monsieur j’ai lu votre commentaire généreusement étoilé que je ne suis pas sûr de comprendre et pour lequel je vous remercie malgré tout. Puis j’ai lu votre pedigree de présentation et j’ai terminé par le synopsis de votre livre sur le grand requin blanc. Moi qui adore les histoires de mégalodon… Je me suis dit : « ce gars est probablement aussi dingue que moi ».
@alban paulh
Bien que j’aie relu ce texte des dizaines de fois, moi aussi je suis d’accord pour dire qu’il y a quand même pas mal de petites erreurs qui gênent sa compréhension. c'est commun à tous les textes qui parlent de voyages dans le temps. Même les âmes bien nées, s’y reprennent à plusieurs fois. Je sais qu’il y a encore quelques fautes, à chaque relecture j’en trouve une ou deux. Comme je dis souvent, je ne laisserai à la postérité que des œuvres inachevées.
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
@Lafaurie
Les voyages dans le temps sont des choses qui dépassent notre entendement naturel. J’ai regardé avant hier « Terminator Genesis » j’ai eu beaucoup de mal à suivre. Je crois bien, qu’à un moment, il y avait trois fois dans l’image, le même personnage, venant d’époques différentes. Peut-être que ça viendra. Merci d’avoir passé du temps à me lire.
Bonjour Fernand Falcou
J ‘ai beaucoup aimé votre écriture.
Je me suis parfois un peu perdu en me laissant embarquer dans ce voyage schizophrénique….
Merci pour votre imagination et j’espère que de nombreux lecteurs en profiteront.
Patrick LAFAURIE
@Annie Pic
Chère Annie, toutes ces différentes polices et couleurs, à l’origine étaient pour que moi je m’y retrouve. Après je me suis dit que le lecteur éprouverait les mêmes difficultés. Je les ait laissées. Je me pose encore la question. Je vais reprendre ce texte qui contient une petite erreur que pour l’instant personne n’a vue. Le voyage dans le temps et ses conséquences sont des choses difficiles à imaginer
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
Cher @Antony Erb
Parfois je me plais, je m’epatate, mais c’est vrai que parfois je suis moins content de ce que j’écris. Mais je m’améliore de jour en jour. Je suis ouvert à tous les conseils qui pourraient m’aider à améliorer mon style.
Merci pour ce commentaire étoilé.
@Saphir Demetria
C’est sûr, ce n’était pas facile de rester compréhensible et cohérent. J’ai encore quelques doutes à ce sujet. Vous avez un million de questions, c’est à ça que servent les livres, envisager d’autres cieux, d’autres montagnes, d’autres sources et d’autres vallées. Et peut-être avec d’autres gens. Je ne saurais peut-être pas répondre à vos questions mais on peut en parler.
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
FF
@Monique Louicellier
J’ai lu ce commentaire surréaliste et je vais tenter de te répondre poliment et gentiment.
Dès le début, tu dis que tu n’aimes pas, ok ! Pas de problème ! Je peux très bien comprendre qu’on puisse aimer ou ne pas aimer une œuvre littéraire en l’occurrence ou n’importe quoi d’autres entre autres, il y a des gens qui n’aiment pas ce que j’aime et d’autres qui aiment ce que je n’aime pas. C’est comme ça que la terre fonctionne.
Pour moi, les deux plus grands plaisirs de la vie sont : le cul et la bouffe ! Je ne t’impose pas cette idée, je t’expose mon point de vue sans aucune obligation d’adhérer.
Pendant toute l’écriture de ce livre, j’ai fait très attention à ne pas décrire une seule scène pornographique. Tu ne trouveras aucun des mot grossiers qui font la littérature pornographique, hormis une fois le mot « cul »
Tu reconnais qu’il y a un certain suspens, quant au reste qu’entends-tu par le reste ? Tu critiques plusieurs pages (en vrai de 32 à 36 soit 4 pages) « décrivant à répétition des femmes-objets fantasmées, dans un univers onirique pornographique et poétique, coloré, et long, » je reconnais que c’est peut-être un peu long, mais c’est une envolée littéraire poétique, et pas du tout pornographique, de mon crayon. Tu as arrêté page 35, dommage, ça s’arrêtait page 36.
J’ai bientôt 78 ans et je pense que j’ai touché par ce texte ton point faible. Désolé. Tu veux prendre la défense des femmes à travers mes écrits alors qu’elles ne sont attaquées en aucune façon et surtout qu’elles ne t’ont rien demandé.
Je ne vois vraiment pas à quel endroit dans mon roman j’insulte les femmes.
Je veux bien admettre que dame nature est facétieuse quelque fois, mais je n’y suis pour rien. Et ce n’est pas parce que j’admets qu’il puisse y avoir des identités sexuelles différentes que je vais effacer les milliards d’identités simples et non différentes de la planète. Va falloir t’y faire.
Bref ! je ne vais pas aller plus loin dans ma réponse.
J’ai lu plusieurs de tes textes, je ne les ai pas aimés, mais je ne les ai pas critiqués.
Tu n’aimes pas ce que je fais ça tombe bien parce que moi, j’ai lu ton caca de ta bonne femme seule et à poil dans la jungle et je me suis bien fais iéche. Mais tu vois, j’ai pas aimé, je ne t’ai rien dit.
Il n’y a que dalle dans ton texte. La femme fait partie d’une expédition scientifique, un jour, elle décide de partir sans aucune raison, et un autre jour elle s’aperçoit qu’elle erre comme ça toute seule à poil dans la jungle en bouffant des racines depuis 50 ans.
Psychologie, que dalle ! cohérence, que dalle ! suspens, que dalle ! intérêt, que dalle ! historique, que dalle ! réalité, que dalle ! féerie, que dalle ! fantastique, que dalle ! scientifique, que dalle ! aventure, que dalle !
Si tu n’as que ça à écrire n’écris rien. Ça sera mieux.
Quant au troll, je ne vois pas pourquoi tu le mêles à cette histoire.
Pour conclure, cette polémique est insignifiante à l’échelle de l’univers et même sur la troisième marche de mon escabeau.
FF
@Zoé Florent
@Galodarsac
@Fernand Fallou
@émilie brack
@Jzbl
@Jack and Jill
Aïe, décidément...
J'ai vu que ce roman était mis en vedette et j'ai commencé à lire.
Je n'ai pas aimé.
Il a effectivement un certain suspens comme qualité, mais pour le reste, que dalle !
Je ne mets pas de note, de toutes façons, je suis sur le portable.
J'ai totalement décroché en page 35, après avoir supporté vaillamment plusieurs pages décrivant à répétition des femmes-objets fantasmées, dans un univers onirique pornographique et poétique, coloré, et long, répété et répété, mais qui me laisse, moi, dégoûtée, par toutes ces longueurs et répétitions, par l'insulte faite aux femmes, quand on ose dire que (de mémoire car je ne replongerai pas dans cet écrit...) la valeur de ces personnes se trouve dans leur pubis/sexe !
J'avais déjà classé l'affaire en lisant la maxime hautement philosophique et existentielle de Monsieur Fallou, qu'il affichait déjà dans d'autres de ses écrits, quand il prétend gaillardement, comme si nous devions tous et toutes en être d'accord, qu'il n'y a que deux richesses pour l'être humain, bouffer et baiser.
C'est très limitant et limite brute.
Quand je vois son regard porté sur les femmes dans ses écrits, j'ai tout compris.
Je pense qu'il s'agit là d'un écrivain obsédé et frustré, à ne pas chercher au-delà de sa fourchette et de sa saucisse.
Je suis étonnée des bonnes critiques à son égard de la part d'auteurs que je respecte et même admire
Mais cela les regarde.
Je suis par ailleurs intriguée de constater que notre troll de service y trouve étrangement son compte, car pour le moins, il y a des fautes chez Fallou et pas seulement des virgules absentes, il y a des fautes d'accord de temps, des mots en trop, un style un peu simplet .
Mais il est vrai qu'il y a des points communs entre Fallou et le troll, quand on y réfléchit bien, alors même que le troll est bien plus habile en écriture que Fallou.
En effet après avoir lu quelques unes des productions littéraires du troll (aux multiples pseudos...), qui s'apparentent à des délires scribouillés sexuellement marqués et déviants, tout comme mortifères, et où l'orgueil transpire à grosses gouttes surtout, force est de constater que Fallou et le troll jouent dans le même registre, l'orgueil en moins pour Fallou...
La seule qualité du troll n'est pas dans ses nouvelles débiles, mais plutôt dans ses commentaires critiques, où il marie fort bien mots alambiqués, culture et ironie (excessive mais souvent très amusante !).
Il montre aussi de l'obsession, des critiques et insultes gratuites et ne répond jamais, s'il est pris au piège et ne peut se justifier. Il n'est donc en aucun cas bon joueur, et il lasse vite du coup.
Bref, ce roman de Fernand Fallou, non, toujours les mêmes travers, et je n'irai pas lire plus loin.
@Kroussar
Cher ami, Désolé pour le temps que j’ai mis à vous répondre, mais j’étais en voyage et je viens de rentrer.
Je ne m’attendais pas à tant de réussite avec ce texte difficile et j’en suis ravi. Merci pour votre commentaire généreusement étoilé.
@galodarsac
Mon cher Patrick
Si on arrive à établir un lien, même tout petit, avec mon texte et Philip K. Dick, alors vraiment je suis comblé. Ce commentaire m’étonne parce que je ne connaissais pas Tennessee Williams et que forcément dans mes nombreuses élucubrations imaginaires et philosophiques sur ce texte, je suis arrivé, à son état d’esprit sur les objets adaptés aux êtres humains : N’importe qui aurait pu être avec n’importe qui. Je n’en parle pas dans ce texte mais tu ne manqueras pas de le reconnaître dans un essai que je vais publier très prochainement.
Merci pour ce commentaire positif généreusement étoilé.
@Fernand Fallou Eh bien une fois de plus voilà du grand FF ! Et avec du paradoxe temporel en plus ! Difficile de na pas penser à Philip K. Dick, grand maître du genre, en lisant ces pages particulièrement captivantes !
Quelle dose d'imagination, et quelle virtuosité pour tordre les lois du temps tout en restant logique (une fois admis le voyage temporel évidemment).
Avec en plus une réflexion intéressante sur les destins parallèles, conséquences de nos actions à l'instant T... Bref, la démonstration que la réalité d'une vie n'est qu'un instanciation parmi des milliers d'uchronies possibles, et que comme disait Tennessee Williams "n'importe quoi aurait pu être n'importe quoi d'autre, et cela aurait autant de sens."
Du grand art, qui mérite les grandes orgues, comme on dit à Bort (blague d'initiés :)
Merci à toi pour ce morceau d'anthologie
Patrick
Chère @Parthemise33
Quand on sort sans chapeau, par certaines bises on risque le rhube de cerbeau.
J’en ai connu plus d’une qui se sont pécho un rhube fessial d’être sortie sans culotte. Que voulez vous, la terre se réchauffe, et les gens se croient tout permis. D’ailleurs il est question de changer le nom des mois, vous savez comme pendant la révolution Ventôse, Pluviôse, Thermidor, Messidor etc…
Les mois vont s’appeler maintenant janvil, fevril, marsil, avril, etc… Enfin vous avez compris tout les mois vont se terminez en « il » pour prévenir le rhume fessial
Pendant les mois en « il » ne te découvre pas d’un fil. Je vois d’ici la faillite de plus d’un marchand de strings.
FF
@Jzbl
c’est sûr, ça fait un peu rustre, voire peczouille, mais j’adore dire ça
Pour le bisous…
Roule ma poule !
Quoique ma copine s’y oppose fermement.
FF
@Fernand Fallou
Désolée pour les étoiles, mais, depuis que j'ai quitté la primaire, il me reste une certaine allergie pour les bons points. Et, à la place, si je vous fais une grosse bise, ça marche ?
@Jzbl
cet acronime me rapelle quelque chose. un nom de fille....
Malgré votre diffèrent avec Zoé, j’aime lire vos commentaires plein de bons mots qui m’amusent. Même si mon copain Crayon, un autre auteur sur Mbs (y a que moi qui l’appelle comme ça), me dit : « mine de rien, c’est miné ! » Mais on prend des notes. J’ai toujours pris les observations de vos commentaires très au sérieux. Derrière la remarque, condescendante, railleuse, haineuse, agressive, flatteuse, fielleuse, vulgaire, il y a une réalité qu’il ne faut pas négliger Comme dit l’adage : « il n’y a pas de fumée sans feu. »
Qu’un auteur le veuille ou non, son style s’améliore grâce à ces conseils et je vous en remercie.
Même si parfois avec vous, et quelques autres, ça grince un peu. Je prends bonne note de vos remarques, mes problèmes avec la virgule, et mes notes de bas de pages qui faisaient parties de mes préoccupations actuelles (entre autres).
Merci pour ce commentaire pauvre en étoiles, certes, mais qui a le mérite de faire avancer le shmilili, le shmilililili, le shmilblic de papy Mougeau.
FF
@Fernand Fallou
Quoique n'étant guère de nature paranoïaque, j'imagine aisément que s'adresse à moi le "ceux que cela défrise" de l'impayable M'ame Zozo. (M'amuse beaucoup sa technique du sous-entendu ; c'est très commode pour elle, car, selon les circonstances, cela lui permet d'affirmer, rétrospectivement, qu'elle a dit ou n'a pas dit quelque chose - c'est à cela qu'on reconnaît une probité intellectuelle exemplaire.) Quoi qu'il en soit, je vous ai lu, et ma première réaction est celle-ci : en voilà une surprise qu'elle est bonne ! Parce que, entre votre opus précédent et celui-ci, c'est le jour et la nuit. Ce que je veux dire, c'est que vous démontrez ici que vous êtes fort capable de produire une prose qui ne s'égare pas dans les embrouillaminis. Reste, évidemment, quelques problèmes avec l'emploi de la virgule ; j'ai bien l'impression qu'entre elle et vous c'est une querelle ancienne ; chacun tire à hue et à dia, et advienne que pourra. Une dernière chose, avant de vous saluer bien bas : peut-être devriez-vous éviter les notes en bas de page. Elles donnent franchement l'impression que vous prenez vos lecteurs pour des attardés...
@Zoé Florent
Ma chère Michele
Je te remercie d’être la première à mettre un commentaire sur un texte particulier et difficile à suivre. Ce que je reconnais. Les textes qui traitent du voyage dans le temps sont difficiles à suivre, c’est comme ça.
Dans retour vers le futur, Lorsque Macfly qui est dans le passé, vers la fin des années 50, et joue à la guitare la chanson « Johnny B Goode » de Chuck Berry, et qu’un des organisateurs appelle le vrai Chuk qui n’a pas encore écrit la chanson et lui dit : « écoute ça, c’est super, prends en de la graine ». Ce sont des situations qui dépassent notre logique et qui forcément sont difficiles à comprendre. ( et là, mon exemple est simple.)
D’ailleurs c’est pour ça que tout au long du récit certains paragraphes sont sous-titrés pour aider le lecteur à ne pas s’égarer. J’ai mis beaucoup de choses dans ce texte. Chacun sera touché par les sujets qui le préoccupent. Quant à intervenir au secours de certains personnages subissant quelques maltraitances physiques voire sexuelles, j’en parle du bout de mon stylo, ce n’était pas et ce n’est pas du tout mon sujet, mais lorsque l’on possède l’outil que possède Lucas (mon héros) on ne peut décemment pas, ne pas en parler. C’est une des conséquences ! Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
FF
Chers amis
Je m’empresse de mettre cette photo (de moi) en ligne avant qu’elle ne devienne comme toutes les photos du monde entier, une photo...
"le voyageur de l'autre monde" est le "Livre le +" du 25 août. Retrouvez l’article qui vous donnera envie de le lire. N'oubliez pas de laisser un commentaire à Fernand Fallou, c’est pour cela qu'il publie ses textes sur monBestSeller.