@Isabelle Blackeney
Je m'arrête page 2 jusqu'à ce que vous corrigiez.
Je changerai alors ma note si je peux poursuivre la lecture.
Cependant, malgré vos imposantes tournures qui se veulent d'esprit, j'ai commençé à m'ennuyer.
"Mais pas que..." n'est pas une formule admise en français, même si ce bout de phrase commence à se généraliser avec la déstructuration de notre langue, lançée par les enfoirés au pouvoir en France, dont les moindres mots sont relayés en boucle par des médias tous soumis.
Si je lis "c'est dans notre ADN" ou "éléments de langage", je vous préviens que je vous fiche dans les Macronistes ou dans les zombies qui ont perdu leur libre-arbitre.
Veuillez corriger par : Mais pas seulement.
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La suite et je laisse inchangée ma note bien trop généreuse de 3/5...
Mes premières impressions :
Je dois, hélas pour vous, souffler encore et m'arrêter en page 4.
Voici mon analyse :
Le style est ampoulé, beaucoup de mots rares, qui peuvent paraître brillants (comme quoi tout ce qui brille n'est pas si précieux) mais qui compliquent simplement la lecture, sans qu'il en soit aucunement besoin, cela rappelle un peu la métaphore de la culture qu'on étale faute d'en avoir une réelle, mais pour moi lectrice, il est presque nécessaire de sortir le dictionnaire à chaque phrase, ce que je n'ai pas fait car cela n'aurait rien apporté de plus à la compréhension de cette histoire, qui est sobre, imaginaire (mais avec des poncifs empruntés au réel comme les défauts de telle ou telle catégorie de personnage), sans émotions et pauvre.
Énormément d'allusions au sexe (de type conversations de bistrot mais avec le style ampoulé en sus...) et d'obsessions là-dessus, qui paraissent extrêmement amusantes à l'auteur mais qui n'apportent strictement rien à l'histoire. Sauf qu'on devine bien que l'auteur n'est ni une femme, ni un jeune homme, ni même un homme dans la normalité et qu'il a de sacrés problèmes de personnalité et vis-à-vis du sexe ou de l'affection.
Un style rappelant exactement celui de Joseph Lestrange (le supposé troll) avec sa petite nouvelle parlant de sa compagne à deux têtes.
J'ai un peu peur que l'auteur souffre de troubles psychiatriques de déréalisation et d'obsessions. Schizophrène ?
Moi je résume ces 4 pages en 4 mots, 8 avec les articles : un maire, une commère, un garde-champêtre, un suicide (du maire).
Permettez que je reprenne plus tard ma lecture et mon analyse car cet écrit est totalement indigeste (pour moi bien sûr, ce n'est que mon avis).
Je rajoute cette analyse à mon commentaire étoilé.
Pardon, mais il fallait qu'on vous le dise !
Bon, après, exprimez-vous, même avec vos soucis.
Mais le problème sera le lectorat.
Quoique vous intéresserez peut-être les psychiatres qui auront sûrement un avis moins tranchant que le mien et plus constructif pour vous. Il y en a sur Mon Best Seller.
NB : Pas besoin d'être psychiatre moi-même pour analyser votre écrit. Cependant les trolls ou critiques anonymes qui se marrent de faire tourner en bourrique les auteurs ici, sont souvent changeants, parfois très habiles, ils peuvent être caméléons.
Alors avez-vous écrit comme si vous étiez un auteur très spécial, assez chiant à lire, un peu schizo et obsédé, sans l'être pour autant ? Mystère, puisqu'on ne sait pas qui se cache derrière un pseudo, ça peut être plusieurs personnes dans la vie réelle aussi, qui ont décidé d'oeuvrer ensemble pour s'amuser.
Publié le 02 Août 2023