Monique Louicellier

Biographie

Je remplirai ma biographie plus tard, quand j'aurai aussi ma date de décès...
Ah une chose cependant, si vous ne voulez pas hâter l'achèvement de ma bio, voilà : j'ai d'adorables chats de sauvetage, certains déjà depuis longtemps avec moi, qui ont besoin d'un humain très attentionné pour eux seuls.
Stérilisés, tatoués, deux solitaires femelles, une sociable mais rêvant d'être bichonnée , un couple de mâles amoureux (l'urgence car dedans un tueur de chats !) et un binôme fraternel. Ils rêvent tous de moins de promiscuité et cela allégerait aussi mes chaînes. J'en garderai déjà tant. Je peux les placer dans toute la France mais de préférence à 200 km maxi (Bourgogne entre Autun et Nevers).
NB : Et tant que je suis dans les petites annonces. Important ! J'attends toujours mon amoureuse...

Monique Louicellier a noté ces livres

5
@alban paulh Cher Alain Paul ou Alban Paulh, j'ai adoré cette nouvelle ! Votre style est excellent, remarquable !!! Néanmoins, je suis restée un peu sur ma faim car j'aurais bien vu une chute où vous nous donneriez l'épilogue pour l'histoire du cheval. Rester dans cette première histoire, revenir dessus à la fin, qu'en pensez-vous ? Et si vous creusiez vos fuites, vos évanouissements (fort comme terme !) ? Surtout qu'un docteur véto, à priori, ne doit pas s'évanouir si facilement. Si vous les affrontiez et si vous gardiez les yeux ouverts pour tout ressentir (on peut passer la douleur pour arriver dans la ouate où on ne sent plus rien...), afin d'en tirer le meilleur de votre écriture, encore mieux, si c'est possible. Au lieu de fuir... Commentaires à la suite, d'après moi, un peu longs et plus complexes encore que la nouvelle, que je ne trouve pas indispensables, car au fond, un texte se comprend ou pas, mais se suffit à lui-même... Du coup, ces explications m'ont gâché un peu le plaisir de vous lire, mais ce n'est que mon humble point de vue... Ah et par ailleurs, notant que votre nouvelle était disponible à l'achat sur Amazon, j'ai quand même trouvé cela étrange, j'ai jeté un coup d'oeil et sous votre premier roman, j'ai lu que vous vous déclariez l'auteur préféré des 4000 lecteurs de Mon Best Seller... Hem, hem, et la mégalomanie, ça vous parle ?
Publié le 21 Mai 2023
5
@Jean-Louis Ermine Salut, salut, je passe en vitesse et n'aurai pas le temps d'aller plus loin que la page 10 ce soir car j'ai contracté des dettes de lecture énormes, chez une bonne cinquantaine d'écrivains ou de scribouillards, je ne saurais juger, qui m'ont beaucoup plu... J'aurai bientôt aussi de lourdes dettes de sommeil, qui ne vont pas me louper, elles, car je travaille demain, donc je n'irai pas plus loin avec votre écriture aujourd'hui. Et j'aime déjà énormément votre bouquin, belle fluidité dans les dialogues et les enchaînements, belle imagination en prise avec le réel, génial, vous avez même créé de nouveaux jurons, évidents à une autre époque et dans un monde similaire, facilité de représentation de cet univers (et je n'ai là pas le même avis qu'un autre de vos lecteurs...), un univers légèrement décalé qui vous a soufflé son histoire et nous parle de la nôtre, d'une des manifestations qu'elle aurait pu prendre. J'adore ! Je meurs d'envie de continuer la lecture mais je ne peux pas car mon réveil sonnera demain. Je note donc au maximum cette belle introduction ! Un grand merci pour la confection de cette histoire, dont le fumet semble déjà très appétent ! Monique
Publié le 16 Mai 2023
5
Je note mon futur bouquin (pour avertir mes fans qui ont pris l'habitude de regarder mes commentaires étoilés... Si, si, je sais tout...). C'est outrecuidant, de se noter, n'est-ce pas ? Mais c'est la première fois... Juste pour vous dire de patienter, j'ai autant de dettes de lectures, comme vous le savez déjà, que d'écriture, alors venez donc voir de temps en temps Rouanda. Je le supprimerai peut-être pour le faire réapparaitre terminé, je verrai, mais si je le termine, j'en serais assez fière je crois ! Je n'autorise pas le téléchargement pour le moment, non parce que j'aurais l'envie ou l'espoir d'être éditée, mais parce que je dois réfléchir en termes de conséquences, d'atteintes à la vie privée, de représailles y compris politiques, et même d'assassinats... J'aimerais écrire Rwanda, mais voilà, je tâche d'écrire en français. Bises !
Publié le 05 Avril 2023
5
@KRISSLEROUX Bonjour Christelle, je note en maximum votre courage, votre sincérité, votre naturel, votre parcours, vos interrogations, votre angoisse, votre excitation, votre tendresse, vos contradictions livrées telles quelles, ce que vous nous faîtes partager sur cette maladie dont vous n'êtes pas si sûre d'être atteinte, votre langage jeune encore plus authentique et croustillant avec ses fautes, ainsi que vos capacités, je le sens, à passer un jour de la confidence ou du monologue inquiet de passer le cap superfétatoire d'un nombre de pages ou d'une publication possible à une écriture plus libre et plus profonde. Les livres peuvent être exutoires, médecines de l'âme et de l'ego, mais aussi tout simplement la manière de ceux qui les accouchent d'être au monde, en relation. Vous êtes forcément une écrivain, puisque vous nous avez accrochées jusqu'au bout (dont moi, et au fait je suis lesbienne, il y a aussi plusieurs façons de l'être). Par contre, comme le souligne fort justement Catarina, faîtes attention à vous, à ne pas subir la relation avec le gougou dont vous nous aviez pourtant dépeint tout l'abus, à ne pas couler votre société en vous affichant, à ne pas risquer un procès en diffamation. Comprenez ce qui est derrière l'angoisse, une émotion ignoble et sournoise certes, mais juste un véhicule présent uniquement pour avertir que quelque chose ne va pas bien (qu'on ne se fait pas du bien, par ex. ou qu'on a eu mal dans le passé), et qui vous fait procrastiner ou être en dépendance ou passer des nuits blanches. Peut-être aussi un problème de dérégulation hormonale. J'ai des problèmes aui peuvent ressembler en partie aux vôtres et je me soigne avec les plantes. Contactez-moi si vous voulez que je partage cela. Je connais l'angoisse qui tenaille et vous dévore vivante, sans aucune raison apparente et vous laisse en statu quo, sans plus d'énergie vitale et avec la paralysie de la bête traquée, qui sait la fin et ne désire plus avancer. Maladie ? Clairvoyance sur notre mort ? Derrière, sans doute une grande sensibilité avec un manque de confiance en soi et de respect pour soi, qu'on ne nous a pas donnés et qu'on peut difficilement se donner seule, et pourtant il le faudra... Car attendre des autres peut être un leurre. Derrière l'angoisse, souvent aussi des phrases qui ne nous appartiennent pas et qui tuent ou rendent tous les aspects de notre vie instables (du genre, de toutes façons, tu n'es bonne à rien...), des comportements appris dans l'enfance (du genre, dépêche-toi donc...) qui nous feraient agir impulsivement, et il y a ainsi plein d'autres exemples, également l'accumulation de traumatismes ou des traumatismes réactivés récemment qui vont nous faire plonger en maladie ou aggraver celle présente. Un an et demi déjà... Donnez-nous des nouvelles !
Publié le 05 Avril 2023
5
Bonjour @Marius Youssouf. Votre écriture poétique est très belle, ainsi que vos sentiments. J'ai vraiment adoré. A lire et relire pour garder en son coeur. Pour moi, à finir déjà, car j'avoue, je n'ai lu que la moitié, mais mes yeux se ferment (faute en est à l'heure tardive où j'ai découvert votre magnifique ouvrage mais je reviendrai vite)... Bravo ! Merci !
Publié le 21 Février 2023

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