Monique Louicellier

Biographie

Je remplirai ma biographie plus tard, quand j'aurai aussi ma date de décès...
Ah une chose cependant, si vous ne voulez pas hâter l'achèvement de ma bio, voilà : j'ai d'adorables chats de sauvetage, certains déjà depuis longtemps avec moi, qui ont besoin d'un humain très attentionné pour eux seuls.
Stérilisés, tatoués, deux femelles, un couple de mâles et un binôme fraternel.
Je les placerais en priorité en Bourgogne, entre Autun et Nevers...
NB : J'ai d'énormes dettes de lecture et je réponds avec du retard, pardonnez-moi...
NB bis : Naissance en 66, négligence familiale doublée de harcèlement scolaire, mise à la rue après mon bac, reprise d'études à Genève en travaillant à côté, hypersensible...

Monique Louicellier a noté ces livres

3
@Pierre d'Arlet Toutes mes excuses pour cette mauvaise note qui se passera d'étoiles car je ne veux pas vous pénaliser. Vous étiez à l'honneur en page d'accueil donc j'ai visité votre place forte (à moins que ce ne soit un lupanar ?). A mon sens et cela n'engage que moi, tant je n'aime pas donner de mauvais commentaires, cette page ne peut pas être un poême, tout ce qui rime n'en est pas. Prose banale et vulgaire. Mais votre écrit a au moins le mérite de ne pas pousser au vice, car on cesse la lecture ou on n'en retient rien ! Oh et puis si, je donne une note, un 4, en pensant 2 ou 3 ou moins... Non, pardonnez-moi mon Dieu, un 3 ! Bonne année quand même !
Publié le 10 Janvier 2023
5
Coucou @Michel CANAL ! Vous ayant vu assez souvent poser des commentaires, j'ai été curieuse de savoir si vous écriviez... Quelle surprise de me retrouver à lire un roman érotique, alors que je n'en ai jamais lu de ma vie et alors que rien que le titre me laissait présager le pire ! En plus de l'érotique entre un homme et une femme, alors que ce n'est pas ma sexualité... J'ai dû m'arrêter dans les pages 90, mais qu'on le sache, juste par manque de temps, mais je reviendrai, curieuse de découvrir tout le roman et surtout la partie annonçée lesbienne, dans une partition hétéro, mais cela me donnera l'occasion justement de donner un avis davantage averti. Donc je récapitule : 1. Je n'ai jamais lu un roman érotique de ma vie, et les passages un peu osés des romans m'insupportent. 2. Donc je ne peux comparer avec ceux évoqués dans ce roman, je ne sais si cela ressemble, s'en inspire, ou si vous avez un style totalement original. 3. Je ne suis ni une écrivain expérimentée ni une experte en lectures variées (sauf en papiers de biologie moléculaire, mais il n'y en a pas sur mBS !) et je n'aurai que mes mots à moi, pas forcément analytiques, surtout à minuit passé... 4. Je n'ai pas encore fini le roman et je compléterai ma lecture et mes commentaires. Mais ma conclusion est d'ores-et-déjà celle-ci : Bravo, remarquable et magnifique écriture, sur un sujet pas évident et surtout avec des dizaines ou centaines d'épisodes érotiques qui se succèdent et qui se ressemblent vaguement, sans qu'à aucun moment on n'éprouve de lassitude, tant l'écriture est belle, riche, la trame intelligente, l'envie de lire fluide. Je précise n'avoir été en rien émoustillée - (ni choquée !) -par la lecture : Est-ce le but cherché par un roman érotique ? Est-ce parce qu'il n'est pas lesbien et écrit par un homme alors qu'on sent pourtant vraiment l'écriture et la sensualité d'une femme, peut-être, je ne sais pas... Ah, je crois voir dans un de vos commentaires que c'est bien une femme qui a écrit son journal, cela me rassure sur mon radar... Est-ce parce qu'il est bien écrit ? J'ai relevé une coquille de script, à la page numérotée 59, l'emploi de la première personne au lieu de la troisième pour Eric. Bravo à Claire et à vous et merci !
Publié le 08 Janvier 2023
5
@Catarina Viti Un chef d'oeuvre condensé ! Je ne pensais pas que tu écrivais aussi magnifiquement... Je ne commenterai pas davantage en essayant d'être analytique, impossible, je suis anxieuse de certaines nouvelles que j'espère bonnes, pardon...
Publié le 06 Janvier 2023
5
@Gégé la Laponie Ah, génial, je mets déjà mes 5 petites étoiles car je sais que je vais me régaler (j'avais lu l'extrait sur Amazon et je commence à connaître la <<bête>>)... Puis j'écrirai mes vrais commentaires, dès que j'aurai lu votre vaillant road trip (zut, pas d'anglicisme...), votre excursion libertaire en solitaire vers le pays anciennement réputé pour ses glaces éternelles et actuellement pour sa radioactivité non moins pérenne ! Merci, Gégé, merci !!! Signé : la Groupie ------ PS : la photo d'époque avec le bonnet, trop cool (zut !), trop trop !!! ---------ADDENDUM : Ah oui, hélas, Gégé La Vertu, il faut se méfier, car j'ai souvent repioché dans les étoiles en découvrant la fin !!! Je ne répéterai pas les commentaires précédents qui sont de fines analyses ! Voilà, j'ai lu d'une traite et ce qui m'a fait hurler de rire, c'est quand Gérard craint pour Sa vertu, alors que lui n'hésitait pas à emballer toute donzelle se trouvant sur son chemin sans aucunement s'attacher... A l'époque pas de ligue anti-homophobie ni anti-racisme non plus, car Gérard serait passé à la caisse aussi... Et justement, si les jeunes d'Helsinki qui parlaient français avaient lu ses notes de voyage (nid d'homosexuels, regard fuyant et autres réflexions pas forcément très obligeantes sur ses hôtes...) ? Mais on lui pardonne son authenticité ! La toute fin du récit est trépidante et marrante, on découvre le Gérard plus humain qui a pris de la bouteille, un mois de plus, qui s'est fait largué, mais qui pourra accrocher une langue de plus à son palmarès ! Je crois savoir que vos fictions sont encore plus alléchantes, à en juger par le début sublime des Poussières du néant et dans un autre genre, votre très bon roman d'espionnage le Bruit du Silence !
Publié le 03 Janvier 2023
3
@Francois-Xavier Agostini Eh bien désolée, mais j'ai dû m'arrêter en page 60, je n'ai pas du tout accroché, même si j'ai bien compris qu'il s'agissait de fiction, et je reviendrai peut-être continuer, mais pour le moment, la vie est courte et c'est trop pénible pour moi. Pour résumer, on a une femme Julia, qui a une puce lui dictant ses volontés politiques et en tous domaines, mais qui, en fait, discute politique avec Noam, comme si elle n'avait pas la puce en question... Encore incohérent, cela me rappelle les 150 dernières pages du bouquin Les Veilleurs de Mark Miller... Et comme dans la fin du bouquin de Mark Miller et surtout, je trouve que c'est plein de machisme, plein de séquences sexuelles pénibles et pas indispensables, qui servent de ponctuation à ce très long dialogue entre Julia et Noam, réduisant cette Julia à l'état d'objet sexuel pour Noam dont le discours est philosophique mais assez vague et perché et me réduisent moi lectrice au dégoût et bientôt à la migraine. L'intrigue me semble onirique, pas si prophétique, sombre, peu accrocheuse, même si elle se réfère aux pierres Guidestones de Géorgie... Désolée.
Publié le 01 Janvier 2023

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