Monique Louicellier

Biographie

Je remplirai ma biographie plus tard, quand j'aurai aussi ma date de décès...
Ah une chose cependant, si vous ne voulez pas hâter l'achèvement de ma bio, voilà : j'ai d'adorables chats de sauvetage, certains déjà depuis longtemps avec moi, qui ont besoin d'un humain très attentionné pour eux seuls.
Stérilisés, tatoués, deux femelles, un couple de mâles et un binôme fraternel.
Je les placerais en priorité en Bourgogne, entre Autun et Nevers...
NB : J'ai d'énormes dettes de lecture et je réponds avec du retard, pardonnez-moi...
NB bis : Naissance en 66, négligence familiale doublée de harcèlement scolaire, mise à la rue après mon bac, reprise d'études à Genève en travaillant à côté, hypersensible...

Monique Louicellier a noté ces livres

5
@Patrick Le Tiec Bonjour et bonne année ! Comme c'est mon anniversaire aujourd'hui et que j'en suis à ma deuxième crême au chocolat avec le cidre paysan qui a explosé partout, y compris sur mon clavier étanche (ah, ah, j'avais tout prévu !), rompant ainsi tous mes serments de diète et de bon sommeil, car il est quand même 3 h 30 du matin,, et alors même que j'ai tenté fort de résister, car je suis trop grosse, la rupture de la digue n'en étant que plus spectaculaire, péchant par lecture abusive également, ayant vu votre livre co-écrit avec votre arrière-grand-Ma, je ne peux que vous envoyer le max d'étoiles pour vous récompenser de la transmission faite des vaillants efforts aux fourneaux de votre aïeule !!! Chère pinmprenelle que vous embrasserez pour moi... NB : Mais parce qu'avec moi, c'est jamais tout cadeau, pourquoi ne pas prendre le temps de collectionner des photos de de la Belle Epoque, voire celles de préparations maisons à l'ancienne authentiques dans nos campagnes qui y ressembleraient ? Et refaire un autre guide avec l'histoire des gens, leur photo à coté de celles de leurs petites boissons ou préparations fétiches... J'ai la chance d'avoir des amis âgés qui font tout eux-mêmes selon des anciennes recettes et qui ont une cave bien fournie, peut-être en avez-vous aussi près de chez vous ?
Publié le 12 Janvier 2023
5
@galodarsac Salut ! Bonne année ! Voyant la colère de Pierre d'Arlet en réaction à mon commentaire, et ne sachant quoi faire au mieux pour sauver son âme et la mienne, j'ai vu sa dernière note assez basse sur votre petite fable ! Tiens donc ! Eh bien elle me plait énormément, celle-ci, sans m'amuser à chercher où se trouvent les coupures et les vers, elle sonne simplement génialement à mes oreilles. Quant au sujet, il est parfait et dans la veine de Lafontaine ! De même pour le rythme, les dénouements de l'histoire et mon accord plus qu'enthousiaste à sa morale ! Bravo ! Du coup, je crois que je ne vais pas remonter les étoiles de Monsieur Pierre d'Arlet... Oh, non, le pauvre... Allez, une prière pour les grivois, qu'ils s'attachent plutôt au sens de la vie, en feriez-vous donc partie ? De la grivoiserie... NB : S'il y a des rimes, elles sont involontaires, zut, il va falloir que je fasse attention de n'en point faire... Surtout qu'elles seront moches... Ca recommence... Une solution, je vais écrire en suisse et ajouter des ou bien ? derrière chaque phrase, hein, c'est pas mal, ça, ou bien ?
Publié le 11 Janvier 2023
4
@Jacques Heitz Cher Jacques, Je viens de lire jusqu'en page 15, toujours par manque de temps et je modifie hélas ma note pour un 4. En effet les deux premières pages sont bien, l'intrigue semble alléchante, mais il y a de nombreuses fautes dans le formatage du texte, virgules oubliées, espaces, longs dialogues en italique, qui sentent l'improvisation. Ce ne serait pas le pire, si effectivement le narratif n'était pas si pressé, faisant l'impasse sur le réalisme, par exemple, les considérations à la limite du paranoïaque du diplomate, contrastent avec sa volonté de venir et son acceptation de cet hébergement à priori imprévu. Les dialogues ne semblent pas plus réalistes, trop de confidences sur la musique alors que ces personnes ne devraient être encore qu'à s'étudier. Ensuite, pourquoi au bout de 5 minutes d'échanges, la dame réciterait-elle à son invité un traité d'histoire ? Le vocabulaire, les tournures d'esprit et de phrases ne sont pas ceux qu'on pourrait en attendre d'un haut diplomate et d'une aristocrate qui se rencontrent. Et même si justement, d'après mon expérience, les aristocrates que j'ai rencontrés, que j'ai connu leur qualité par avance ou pas, étaient tous très simples, terriens, par contre ils ne parlaient et n'auraient jamais parlé de leur famille, comme un historien serait tenté de le faire, tout simplement parce qu'il s'agit de leur famille et qu'accessoirement nous ne sommes plus en monarchie ! Ils n'ont jamais fait l'étalage de leur noblesse, certains cachent même leur particule, mais ils ont par contre tous reçu une éducation religieuse, fruit d'une longue tradition et du fait que la noblesse était au départ une qualité accordée par Dieu, ils ont souvent été enrôlés chez les scouts, ont eu une éducation soignée, et même si certains ont pu perdre la foi entre-temps et faire diverses expériences, je ne pense pas que ce formatage de départ les incite à parler érotisme à un parfait inconnu, à propos de ses ancêtres et surtout à un frère potentiel ! Le passage direct au tutoiement de la part du diplomate, avant même qu'il ne connaisse le fin mot de l'histoire, ne me semble pas plus réaliste. Bref, tout ce qui hélas ne semble pas réaliste et va trop vite en besogne, en oubliant que les personnages ne se connaissent pas, plombe donc le suspense et la note. En espérant que ce commentaire soit constructif.
Publié le 10 Janvier 2023
4
@Pierre d'Arlet. Hélas, on ne s'improvise pas Phèdre, Molière ou même Nostradamus (dans un autre genre), sans encourir les critiques ! L'intrigue parait crédible pour la question, les mots par contre mal choisis n'en donnent guère l'illusion. Je vous la refais avec les doigts et sans les pieds : De poèsie nul ne peut anoblir la rime, Et quel bellâtre, Ne verrait alors lever bâtons pour le battre, Si ses accords n'étaient nécéssaires au théatre, Puisque la rime au phrasé vulgaire y apporte le rythme, Et l'alexandrin, Souhaitons-lui du bien sans point l'élever aux cîmes ! Au moins j'ai lu jusqu'à la fin, mais c'est d'une banalité et d'un soporifique, même en matière de sexuenlettrée, sans émoustillement ni émoustillage et encore moins d'accastillage de vos galères en rade, hormis le scénario et l'envie de copier les classiques, qui en donnent brièvement l'espoir. Allons, allons bons matelots ! Ohé, hoé et hisse et ho ! Hisse la drisse tout en haut ! Donne ma bibine et l'tord-boyau ! J'largue les amarres et j'fendre l'eau ! Morale aux gens sans morale, étudiez les anciens et... heu, non, y'a pas de morale...
Publié le 10 Janvier 2023
3
@Pierre d'Arlet Toutes mes excuses pour cette mauvaise note qui se passera d'étoiles car je ne veux pas vous pénaliser. Vous étiez à l'honneur en page d'accueil donc j'ai visité votre place forte (à moins que ce ne soit un lupanar ?). A mon sens et cela n'engage que moi, tant je n'aime pas donner de mauvais commentaires, cette page ne peut pas être un poême, tout ce qui rime n'en est pas. Prose banale et vulgaire. Mais votre écrit a au moins le mérite de ne pas pousser au vice, car on cesse la lecture ou on n'en retient rien ! Oh et puis si, je donne une note, un 4, en pensant 2 ou 3 ou moins... Non, pardonnez-moi mon Dieu, un 3 ! Bonne année quand même !
Publié le 10 Janvier 2023

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