Je déterre ici une ancienne nouvelle, écrite au cours de l'été 2003, quand j'ai concouru in extremis le dernier jour, attirée comme un aimant par la prime de 1000 francs suisses en jeu, entretenant l'espoir insensé de gagner le premier prix, mûe par de fortes carences alimentaires et mon obésité, afin d'en finir avec mon régime exclusif de pâtes, à défaut d'en finir avec mes traumatismes.
Je remportai par miracle ce concours, organisé par le département de bio-informatique de l'EPFL de Lausanne, et ma nouvelle se trouva ainsi publiée sur leur journal mensuel Flash Informatique, dont on me fit cadeau de quelques exemplaires, journal qui recensait déjà à l'époque les dernières découvertes édifiantes des chercheurs de l'EPFL accouplant sans vergogne le vivant et l'informatique.
Ce livre est noté par
@Kroussar
@Jack and Jill
Cher Kroussar, oui mais me faut tout recopier et je manque de temps.
Cher Jack, bien vu, il n'y avait qu'une dizaine de candidats ! Je pense aussi qu'ils voulaient éliminer la dissidence ou toute critique en lui filant un bifton, cela s'appelle la paix du travail en Suisse.
En fait c'est Big pharma qui a filé les 1000 francs.
Pour l'écriture des scientifiques, c'est quand même à nuancer, voyez galodarsac par exemple.
En fait certains et certaines touche-à-tout ont pu pratiquer les sciences au lieu de la littérature et manquent alors de votre belle culture et de beaucoup d'entraînement.
Ils ont dans doute jugé plus utile d'être fin prêts pour la prochaine invasion de cafards ou cultivent avec amour les araignées au plafond.
OK, c'est très flatteur pour votre ego, mais très difficile à lire !
Pourriez-vous, SVP, nous la rejouer en A5 police 14, et autres paramètres recommandés pour une bonne lisibilité ?
Bien à vous, Kroussar.