Vous parvenez en quelques mots à planter un décor et créer une histoire qui rappelle à ceux qui voudraient l’oublier que la vie peut-être sans pitié. Est-ce simpliste, voire niais ? Malheureusement, une inattention, une bêtise, une insouciance de quelques minutes suffisent pour que la vie bascule.
La brutalité de la vie peut prendre toutes les formes et, féminisme ou pas, la barbarie n’a pas de limite lorsque le mal habite son hôte.
Ca me renvoie à une autre question, celle de l’inné ou de l’acquis de la méchanceté. On dit « d’un âne on ne fait pas un cheval de course », je dirais « d’un méchant on ne fait pas un gentil ».
Merci
Publié le 11 Octobre 2023